Selon les quelques commerçants qui nous ont saisi par courrier , Il leur a fallu attendre plus d’une année pour que les agents de la Sonelgaz daignent indiquer « l’emplacement géographique » de la cité des 173 logements à l’entreprise afin qu’elle entame la pose de la ceinture en câble torsadé qui permet le raccordement des locaux commerciaux à l’énergie électrique sinon comment expliquer soulignent-ils , cette longue attente depuis juillet 2014 date à laquelle , la ceinture a été payée par l’agence immobilière de Wilaya.
Le calvaire des commerçant qui sont au bout de leurs nerfs et qui comptent saisir le PDG de Sonelgaz à Alger, ne s’est pas arrêté là puisqu’ils continuent d’attendre un raccordement de leur locaux pour se débarrasser des branchements anarchiques créés pour la circonstance et entamer leurs activités commerciales dans les plus bref délais. De toutes les manières,bien que la ceinture a été posée en décembre 2015 c’est à dire après plus de 15 mois de la commande faite par l’agence immobilière de wilaya auprès des services de Sonelgaz , les commerçants à l’image de ce gérant d’entreprise dont son bureau et ses activités n’ont pas encore démarré à cause de l’électricité, attendent toujours, à ce jour 05 février 2016, ce branchement.
L’agence sonelgaz de Sidi Djillali renvoie ces commerçants à la direction générale en leur avançant qu’elle n’a pas encore reçu la note de mise en service de la dite ceinture pour procéder au raccordement des nouveaux abonnés. Fatigués de faire des va-et-vient incessants entre ces structures, les commerçants parlent d’un laxisme ambiant qui ne dit pas son nom et qui frappe cette société depuis un certain temps, le tout conjugué à un manque d’une prise en charge sérieuse de leurs doléances en particulier et donc des activités économiques de la région en général particulièrement en ces temps de crise et ce n’est pas uniquement ça qui caractérisent les milles et un retards observés à Sidi Bel Abbès, selon des indiscrétions beaucoup d’autres cas similaires sont signalés régulièrement par des citoyens en quête d’un raccordement salvateur. Notre interlocuteur souhaite vivement l’implication du ministère dans cet imbroglio pour mettre fin au calvaire de tous les citoyens en attente d’un raccordement à l’énergie électrique.