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Télagh : En l’absence de gynécologues, l’EPH « Haddid Aissa »  a  recours à des conventions avec des privés.

ByBenKhelouf K.

Mai 10, 2018

L’E.P.H « Haddid Aissa » de la daïra de Telagh, situé 50 km au sud di cgef lieu de wilaya, dont la renommée, avait jadis dépassé les frontières de son territoire de par la  qualité des prestations de services et la suffisance en médecins, accuse actuellement un déficit inquiétant en matière de spécialistes, dans diverses disciplines sollicitées par le public telle que la gynécologie ou celle accompagnant la chirurgie à savoir des anesthésistes-réanimateurs. Il va sans dire que ces manques  criant, ont été  la grande inquiétude des responsables de  cet EPH, qui n’ont jamais cessés, d’en exprimer les besoins. Et pour palier à cette insuffisance en  gynécologues, il fut décidé de recourir à l’établissement de convention avec (02) deux spécialistes du secteur privé exerçant dans la daïra dans le seul but de venir au secours des parturientes en attente à une césarienne.

Un grand nombre de  citoyens des  17 communes de  la daïra, que l’EPH prend en charge en matière de couverture médicale, se plaignent  et soulèvent  cette défectuosité. Ainsi, le service des accouchements, devant toute  urgence absolue, se  trouve dans l’obligation d’évacuer les malades vers la maternité du chef -lieu  de Wilaya ou de faire appel aux 02 médecins privés conventionnés et cela en raison de l’affluence des parturientes venant de toutes les régions du sud de Sidi Bel Abbes, notamment des localités éloignées. Cet état de chose est vécu par l’EPH de Telagh, depuis le départ l’été 2017, des « 03 gynécologues et 03 autres anesthésistes-réanimateurs. » L’absence de spécialistes au niveau des services,  crée la polémique et même avec la présence de certains médecins spécialistes, la couverture demeure très aléatoire. La gynécologie, semble être un grand  calvaire  pour les patientes et leur proches. Et les cas de souffrances, sont rappelés dans leur  urgence et gravité.

Ce déficit  de spécialiste et leur raison, ne sont  nullement comprises, par les citoyens, qui refusent qu’un EPH distant du chef lieu de wilaya ne soit plus renforcé par les médecins spécialistes après le départ de ceux qui existaient, Un citoyen nous dira, « l’on devrait planifier à l’avance le remplacement de tout départ prévus, afin de ne pas créer ce manque. Et puis la tutelle au niveau de la wilaya devrait répondre systématiquement à cette insuffisance, pour ne pas laisser dans l’embarras les EPH en besoin. »

Heureusement que  la convention avec les 02 gynécologues privés et la présence de sages-femmes répondent aux accouchements normaux, mais la solution est la présence en tout temps du spécialiste qui est une défaillance aux conséquences graves, qui ne préviennent pas. Alors quoique la direction de l’EPH  de Telagh, ne cesse d’être à la disposition des citoyens et des patients, elle se trouve affaiblit devant  les insuffisances existantes, qu’elle ne peut solutionner, toute seule sans  les réponses immédiates des besoins sollicités.

2 thoughts on “Télagh : En l’absence de gynécologues, l’EPH « Haddid Aissa »  a  recours à des conventions avec des privés.”
  1. Voilà on doit denocé cette nouvelle pratique de la médecine commercial typiquement national. Le transfert se fait que lorsqu’il y’a une objection imprévue et le transfert se fait vers une clinique ou publique qui a déjà acquit une grande réputation. Ta pas le droit y’a si Mohamed de décider a la place du malade si le malade savait que la clinique privé est réputé lui même n’ira pas chez le publique più être transféré contre son grès. Le corp appartient au malade lors d’une incapacité le malade appartient a ces proche c’est sa femme qui décide vers ou et par qui sera traité. On ne décide pas a la place du malade revoyez vos cours de médecine si vous n’avez pas fait la médecine faite autre chose laisser la médecine au vrai médecin laissez l’électronique au vrai électronicien laisser la politique au vrai politicien laisser la finance au vrai financier laisser le commerce au vrai commerçant celui qui ne sait pas son métier va faire autre chose y’a des algérien parti au Canada les vrai exerce la médecine les autre font autre chose lachi 3ayb de faire taxieur avec un diplôme de médecine ou électronique ou psycho.
    Il a ouvert une clinique il se delerdz ou il travail ou il va vendre la batata et vendre la pomme de terre il sera plus riche que faire médecine. Il achète la limonade pour 25 d’à et il la revende pour 50 d’à du jamais vu dans aucun pays du monde. Des produit de large consolation il prend une marge de 100℅alors que dans les large consommation il ne peut pas dépasser les 15% quel les ceux qui vendent île mobilier peut prendre une marge de 30%car il vend une chambre a coucher toutes année. C’est quoi ce commerce cette médecine ces usine cette industrie ils font n’importe quoi ..

  2. Chaque wilaya a une faculté de médecine et chaque Anne y’a des milliers de bacheliers. C’est a dire d’après le raisonnement par l’absurde un spécialiste du publique va rester chez et colle une enseigne et ordonné au publique de lui envoyer le patient chez lui. C’est quoi cette pratique de la médecine privé déguisé. Tout est redevenu déguisé dans ce bked l’incapable qui ne peut recevoir des malade car tout le monde vont vers des vrai médecin suite a aller en Tunisie en Turquie et en France la il oblige le publique de lui envoyer des malade car dans la concurrence les malade vont ailleurs et lui va devoir soit trouver une réputation soit fermer la boutique et changer de métier.
    Donc on le dénonce c’est une méthode qui enfrunt au principe de la concurrence et qui sort des pratique usuelle de la médecine. Tna ouvert une clinique privé delerde toi trouve une réputation et ferme boutique. Ou vient exercer chez le publique si tu réussira bien sûre au concours nationales.

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