C’est aux abord u CEM Beghalem Mokhfi, que nous avons rencontré l’handicapé moteur Abdelhadi Abdelkader âgé de 45 ans, résidant au bidonville de « Hai Sidi Ahmed » à Telagh, qui au moyen de sa chaise roulante, est venu en ce lieu espérant accoster le chef de daïra, pour lui exposer pour sa ième fois sa situation de grand handicapé, qui n’ à aucune rentré pécuniaire à l’exception des 4000DA qu’il perçoit dans le cadre de l’entraide sociale, se trouve dans une situation des plus indigente , vivant en surplus et au dépend de son frère. « Je suis désespéré » criera l’handicapé.
Son handicap l’empêche de vivre ne serait-ce que décemment. « Je ne peux manger à ma faim par manque de moyen et aussi pour ne pas avoir des problèmes de défécation». Les soins de mes escarres en pâtissent. « Parfois, ne pouvant me laver alors je n’allais pas à une consultation médicale » ou je ne peux m’y rendre faute de moyen de locomotion, même les transports n’acceptent pas de me transporter. Le pourcentage de son handicap étant important, l’ayant privé de sa mobilité des membres inférieurs, nécessite une intervention chirurgicale qui dépasse les 37.000 dollars avec 70.000 dollars pour la rééducation pendant 1 an, selon se qu’il avance. La Casoran a refusé de lui attribuer une prise en charge, pour subir une intervention à l’étranger et qu’en Algérie ladite opération ne se pratiquait pas encore.
J’ai vu le chef de daïra plus de 8 fois pour que l’on m’attribue un logement, après avoir formulé en 2006 sous le N° 260 ma demande pour un logement social, après son accident en 2004. L’on a logé des gens qui avaient formulés après moi et moi j’attends encore parceque je suis handicapé. Il nous expliquera que son état de santé nécessite qu’il épouse une femme.qui pourrait l’ accompagner dans son lourd handicap, qu’il combat tout seul, parceque vivant en surplus chez son frère et que sa prise en charge est difficilement assuré avec, sa toilette, le changement de ses couches et es vidanges de ses poches d’urine et défécation, le traitement de ses escarres et autres. Cependant depuis 14 ans aucune suite ne lui a été accordée dans un cadre humanitaire et de compréhension de son état d’handicap. En effet cette absence d’aide au logement frappe les personnes ayant de faibles revenus, dont notamment les handicapés et personnes âgées qui pour beaucoup survivent avec à peine plus de 4000 DA mensuels, soit 14.000DA en dessous du seuil de pauvreté.
C’est à travers nos colonnes, que cette personne, transmet son appel aux autorités de la daïra de Telagh, pour que son dossier de logement social soit pris en considération, afin de vivre dans la dignité. Comme il sollicite à ce que des associations caritatives l’aide dans l’acquisition de couches et de poche. Comme il espère toucher la bonté de donateur, pour l’aider à faire son intervention chirurgicale.