Moins d’une année avant l’appel d’offre pour le projet de réalisation de l’actuel Tramway de Sidi Bel-Abbès en cours, l’entreprise des transports urbains de la ville (ETUSBA) était venue pour combler le vide existant de l’époque mais c’était vite oublier ou faire semblant d’ignorer les grandes difficultés qui ont entaché le dépôt de bilan suivi d’une vente aux enchères de la fameuse EPCTU ou du moins ce qui en restait, c’était une entreprise communale qui s’est lancée dans les activités de transports dans les mêmes conditions que l’actuelle ETUSBA créée par TOU Amar ex ministre des transports. Cette entreprise communale a été tout simplement disloquée et ses bus repris par quelques privés qui les ont utilisés sur plus de 10 ans après.
L’ETUSBA actuelle semble se diriger dans le même sens à voir quelques bus qui commencent déjà à montrer des signes de détériorations alors que d’autres ont des accessoires de l’intérieur complètement arrachés mais les problèmes ne résident pas seulement de ce coté là qui s’apparentent à des signes précurseurs d’une descente à l’enfer,mai surtout d’un dysfonctionnement dans les navettes assurant les liaisons du centre-ville vers les quartiers de la ville.
Hier, le constat était amer et loin d’être satisfaisant, en effet, nous avons voulu vérifier des faits rapportés par quelques usagers de ces bus sur un probable dérèglement des navettes . A partir de l’hôtel des finances (centre ville), nous avons emprunté la ligne à destination des 400 logements (Sidi Djillali) en passant par le rocher, rien à signaler jusqu’à notre descente au milieu du trajet ,au niveau du lycée ENAL hormis une barre latérale à l’intérieur arrachée surement par la force régulière des usagers mais qu’on semble n’y avoir même pas pensé à la réparer. Le retour au centre ville par la même ligne était difficile puisque il fallu attendre plus d’une heure et quart dans un arrêt fictif sans panneau ni abribus pour qu’un autre bus apparait alors que dans l’autre sens , au cours de la même période , quatre bus de la même ligne se sont suivis . Il n’y a rien à comprendre lorsqu’on voit cette situation , de l’une ou l’autre ou ce sont les conducteurs ou receveurs qui décident des heures des départs sans programmation ou il existe anguille sous roche que seul les responsables peuvent en déchiffrer. Sinon comment expliquer qu’il faut attendre dix minutes à un quart d’heure pour aller dans une direction et plus d’une heure pour l’autre ?
Je prend le temps d’attendre l’autobus qui ne passe jamais .
Ou bien L’ETUSBA ne fourni pas en dehors des heures de pointe!?
S.V.P. changer votre façon de faire pour le bonheur de tous!
Je trouve ça ridicule!!!!