Trois mille policiers en prévision du nouvel an

La sûreté de sidi bel abbés a prévu 3.000 policiers en prévision de la fête du nouvel an 2017. Ce n’est ni de nos habitudes ni de nos coutumes encore moins de notre religion de fêter la fête du noël, sauf que le vide, le chômage et le manque de loisir ont joué en défaveur d’une exactitude de notre société musulmane. Les gens sont devenus assoiffés de moyens de décontraction. La manière, la façon n’incombent nullement.

A chaque nouvelle année, le 1er janvier c’est l’ombre de la débandade : des accidents de voitures, des crimes, des agressions…la consommation extravagante de boissons et de drogues de toutes natures accompagnent à merveille cette dégringolade collective. L’insécurité devient généralisée, les villages, l’enfer est peut-être meilleur. Les conditions de vie ici sont d’un apport encourageant à cette décadence occasionnelle. La boisson et les drogues immergent la société et déverse vers une situation de chamboulement pas facile à maitriser.

Les policiers, de crainte de cette situation, et en prévision d’assurer une sécurité, le nouvel an devient pour eux un tracas qui nécessite des mesures à prendre afin de surpasser cette décadence sociale mystérieuse qui prend des racines dans notre societé réservée. Les policiers sont instruit d’occuper chaque permettre de la ville, de même dans les communes. Les lieux publics seront sous haute surveillance, les banques et même les débits de boissons qui ne respectent pas les horaires de vente et certaines consignes relatives à la sécurité.

Les policiers assureront en parallèle une fluidité dans la circulation dans cette occasion qui connait un trafic immense vu la journée chômée payée de l’autre frange de la société qui ne découle pas des reproches des chômeurs.

Djillali T