Toute institution est le reflet des hommes et des pratiques qui s y déroulent. On a confié durant plus d’une décennie l’Université de SBA au frère d’un ministre pour la livrer aux Drabkias et à l’abandon. De l’aveu du ministre actuel, il y avait une non gestion de l’Université de SBA.
Une université de SBA, jadis prometteuse, s‘est transformée peu à peu en lieu où les pratiques les plus illicites s’y déroulaient. Ceci dans l’impunité la plus totale et au su et au vu de tout le monde. Selon un ami, le Recteur(le frère) est parti mais la quasi-totalité de ses collaborateurs sont toujours sur place pour poursuivre une activité sinistre. La descente a été top profonde pour espérer une remontée rapide. On a joué avec l’avenir d’une ville et d’une Wilaya sans jamais nommer les choses. On a protégé un homme mais on ne peut protéger une institution, l’Université. Le résultat est une Université où la formation des enfants devient vraiment incertaine. Il n y a pas que la fatalité , il y a aussi les causes et la facture qu’il faut payer.
* Commentaire paru le 9 juin 2014 – 21 h 31 min laissé sous l’article de Djillali C. paru le 9 juin 2014
Comme citoyen je réagis au déclassement de l’UDL. Ce déclassement dans le classement des universités est un véritable révélateur de l’état de santé de notre université. Avec des copains, on a établi un certain nombre d’hypothèses simples qui s’avèrent confirmées (par des enseignants) et qui éclairent sur la dégringolade de l‘UDL vers les fonds du classement international. La vérité est à portée de main, il suffit vouloir de la chercher.
1-Si l’on suppose que l’Université, UDL, n’était connectée au réseau internet, elle serait invisible (pour le réseau, pour le Web) et par conséquent ne peut être classée au niveau africain et mondial. C’est peut être le cas et c’est le cas, puisque beaucoup d’universitaires contactés ont confirmé s’être plaints de l’absence de connexion internet à l’UDL durant toute cette décennie « nomenklaturée ». Or tout le monde sait à travers la presse qu’un programme important intra et internet, au profit des universités algériennes, a été décidé par le MERS(Ministère) pour permettre un échange rapide d’informations au niveau national et international. Chose dont l’UDL n’a pas bénéficiée concrètement. Cette opération a coûté des milliards au trésor public. Cet argent a t-il été utilisé à cet effet et pourquoi ce résultat décevant? Si on a payé, il n y a pas eu de suivi et donc l’argent a été gaspillé. Le deuxième cas, on a pas payé et où est parti cet argent ? Dans les deux cas cela ne peut être expliqué que par la « mauvaise » gestion.
2- D’une autre part, en dehors de la pédagogie, on a tous entendu parler de détournement à l’UDL sans jamais aller jusqu’au bout de l’explication.
Cette question a été posé à des universitaires bien au fait du fonctionnement de l’UDL et voilà leur réponse : Il n y a pas respect des règles de gestion conformément aux statuts de l’Université (la loi). Le Conseil d’Administration(CA) et le conseil scientifique ne se sont presque jamais réunis durant la quasi-totalité de la période précédente (11ans). Des faux prétextes ont été souvent utilisés pour ne pas réunir ces conseils sous le regard bienveillant si non complice de l’ancienne tutelle.
Le conseil d’administration délibère sur l’exécution du budget de l’Université. C’est le premier organe de l’Université, il est composé du ministre (ou son représentant) et des représentants des autres secteurs (Education, formation professionnelle, de la fonction publique, Wilaya… ). Donc beaucoup de monde. Les délibérations du conseil d’administration sont exécutoires. Ordinairement, il se réunit deux fois par an. S’il ne s’est pas réuni, qui a défini les modalités de dépenses durant une décennie de l’Argent public ; Le recteur tout seul ? Dans une République crédible, on doit avoir des réponses appropriées à ces questions et s’assurer de l’utilisation des deniers publics. Sans la délibération du CA, le recteur n’a pas le droit d’engager l’argent du peuple. Quel artifice a été utilisé pour contourner la réglementation ? La Loi est-elle faite juste pour la galerie et pour les indigènes ? Evidement, durant cette période, L’UDL a brillé par l’absence d’activités scientifiques notables selon ces enseignants.
3-Pour la pédagogie : le deuxième conseil est scientifique(CS), constitué par des universitaires de L’UDL ; il émet des recommandations sur la formation et la recherche et ne s’est réuni qu’une ou deux fois durant 10 ans. Ordinairement, il se réunit au moins deux fois par an. Sil ne s’est pas réuni qui a décidé des orientations pédagogiques (types de formations) et de recherche durant une décennie ? Le Recteur tout seul et de quel droit ? Y-a–il eu orientations ? Est-ce que les choix faits étaient pertinents ? Evidemment non. Le classement est un diagnostic qui ne trompe pas. La persistance dans la durée des méthodes démontre qu’il y avait volonté de piétiner la loi. Cette attitude était confortée par l’impunité dont se prévalait l’ex-recteur.
C’est une rapide tentative d’explication sur le classement peu honorable de L’UDL. En grattant un peu on peut affiner les explications. Il devient évident que durant dix ans la gestion d’un établissement public a été privatisée comme dit dans l’article, au vu de tous.
on essaye de coller un problème sur le recteur ou x ou y le problème n’est dans hammou ou tamou, mais le problème c’est que les universités algériennes sont redevenus des lycées point barre..
il ne reste que 2 solutions
soit appliquer le systéme de l’éducation national sur les université c’est a dire balayer tout le monde et installer un proviseur un censeur des surveillants généraux ..et ensuite faire passer le rouleur..D’ailleurs une fois un chef de département dans la faculté des sciences avait voulu instaurer le rouleur..Les enseignants se sont monter contre lui, le doyen qui le soutenait était remplacé il n’a pas finit son mandat….c’est a dire on ne comprend pas certain enseignant qui n’ont rien avoir l’enseignement supérieur ils n’ont pas de cursus universitaire donc ils ignorent comment marche une université…il veulent donner des cours 3ala attirika athaniwiya (morceau de craie une brosse un video projecteur) devant des étudiants qui ne comprennent boulon du français et il refuse le rouleur…soit on est dans une université soit on est dans lycée..mélanger les deux ça n’aboutit a rien…
l’université c’est quoi??
En premier l’université est une »Bibliothèque et un Laboratoire ».Dans les années 79 oui nous avions une vrai université. La bibiotheque qui etait prise en charge par une allemande femme d’un algerien etait bien fournie. Les fiches des livres était préparé en triple exemplaire dans le cas une fiches etait arraché par un étudiant. Tu cherche un livres tu le trouves en 2 mn..tu prend le numéro tu le dépose et 2 mn aprés tu auras ton livre.Tu prépares ton travaille en établissant un rapport sur le chapitre ça peut prendre une heure comme ça peut prendre toute la soirée a la bibliothèque…la bibliothèque fermait jusqu’à minuit …ça c’est une université..ensuite le chimiste le biologiste le physicien etc t’attend au laboratoire..lorsque tu entre tu trouves 4 assistant en préparation d’une thèse sous la direction d’un prof national ou étranger..ils ont la fiche du TP ils la suivent sans discuter..le professeur devrait déposer obligatoirement au moins 6 fiches de TP pour un semestre au département ..sans ce depot son module sera annulé et le chef de département était tenu de ramener un autre professeur il se débrouille, c’est son travail. le chef de departement par mesure de respect il etait nommé dans les doyens des proffesseurs. c’est le plus vieux qui prend cette lourde charge..vue son expérience il a droit a l’estime. Le département n’avait pas besoin comme maintenant d’utiliser la violence verbale et physique pour faire tourner un département. A Oran ou la violence a atteint un degré inimaginable une simple secrétaire peut palir 10 chef de départements devant mille étudiants..a Oran on se parle sous la ceinture…elle averti en collant son nombril »loukanne t3awade tarssali les étudiants wallah nafdégue wahéd fihoum bchakour »….elle le fait parce que les chef sde département comme les doyens n’avaient aucun respect du poste qu’on l’avait donné..c’était des ex de l’UNJA et des neo du CNES, qui faisaient la pluie et le beau temps..ils ont chlier partout et ont collé des virgules partout..
Donc l’ex recteur n’a rien avoir avoir avec cette situation, il n’était pas Oran a l’époque…
il faut des maintenant passer a l’application de l’ordre universitaire partout appliqué même dans les ex république socialiste soviétique..certes l’université a un peu reculé mais elle reste une chose qui ressemble a une université…pas a une voiture monté avec un volant derrière le siège du conducteur..ensuite et pour être tranquille passer au vote. Passer au élection tout le monde..lorsque les universitaires choisiront leurs responsable, le ministère publique n’a qu’a entériner ce choix.
Tout fonctionnement et bonne gestion d’une institution si de surcroît concerne un établissement de l’enseignement supérieur par exemple l’UDL est une affaire de responsabilité d’Homme qui doit être à la hauteur de cette noble et lourde tâche.
Malheureusement, ceux qui prennent le pouvoir de la responsabilité pensent avant tout à leurs intérêts personnels. Ils veulent rester un temps maximum, un grand maximum dans ce poste de Recteur. Ils sont tellement sollicités par ceux qui sont plus importants qu’eux que le Koursi sur lequel ils sont assis devient de plus apprécié et collant à outrance car ils sont avides de reconnaissane.
Les différents scandales qui ont frappé l’UDL pendant cette dernière décennie ont eu un impact désastreux sur toute la communauté universitaire. Ces dossiers de malversation qui n’ont épargné aucune faculté ont été étouffés ou traités d’une manière à ne pas inquiéter ceux qui sont à l’origine de ces scandales et qui ont ou ont eu aussi des postes administratifs comme Vice-Recteur, Doyen, Vice-Doyen, chef de département , comme président de conseil scientifique, ex Recteur etc… Tout ce « BEAU MONDE » a eu tout le loisir de dissimuler les preuves de ces fraudes aux nombreuses commissions ministérielles venues enquêter suite aux plaintes d’étudiants et d’honnêtes enseignants ( ils sont très rares car beaucoup sont muets comme des carpes face cette situation de NON DROIT à l’université). Alors je ne parle même pas des commissions locales très complaisantes, faisant allégeance au Recteur pour profiter de sa grâce ou récolter quelques privilèges honteux.
lorsqu’on balance les quatre vérités en face, au lieu d’assumer on fait le geste de l’autruche. enfuir la tête dans le sable pour ne pas voir la réalité en face.
Depuis 63 les socialistes étaient au gouvernement, jusqu’à maintenant on ose pas parler de partis socialiste au gouvernement y’avait que ce Front qui cache un foisonnement de gens .Le FLN aime être désigné comme étant chef de l’Algérie. Il ne sait pas qu’on faisaient tout et lorsqu’il ya une débâcle on essuie le couteau sur son dos.
A l’université ce n’est pas un problème de personne. le fond du problème on l’avait mainte fois dit c’est une affaire de fond. On est pas dans une université
mais dans un lycée sans académie sans inspecteur sans proviseur sans surveillant général. l’université n’a ni tete nu queue. Elle ressemble a un montage d’une voiture une fois montée, le volant se trouve derrière le siège du conducteur. l’accélérateur entre le siégè du conducteur et du passager. Le frein et sur la porte de gauche. l’embrayage sous le siège du conducteur.
Allons y faire comme ion fait pour l’équipe de football faire au lieu de Plantini s’il est encore en activité on ramène Shaumakher le pilote de voiture de course. Ouvrer cette voiture et demander lui de la faire rouler.
En entrant dans la voiture il constate un Ovni ..il se penche et dit. »c’est quoi ce véhicule?? ».. »qui l’avait monté??
»Mais ya si schaumakher cette voiture roule »
schaumakher repond
»c’est possible elle roule mais comment la conduire? »
Ya si schaumakher rana éngoulou cette voiture roule et a roulé et blam’ha elle va rouler..dazz 3mah
Schaumakher revient chez lui en disant »et pourtant en Algérie elle roule » …
Donc dans cette situation ce n’est pas une affaire de personnes.
Kihamou kitamou et d’après l’expérience de nos grand parent ils disent
»el walfa khir matalfa »
Revenez vers la culture universitaire
élections des responsables
vacance interministériel
et instituts en remplacement des départements….
bibliothèque ouverte jusqu’à 5 heures du matin dans les cité U..
Dans ce systeme vous aurez monté un bonne voiture même si une R4
elle peut aspirer de redevenir pas une Golf mais une tres bonne Accent huyadai