Nous vous avons promis des révélations sans interférer dans les travaux de la commission de discipline reportée au 15 mai 2013,mais les faits étant matérialisables et irréfutables,il est de notre devoir de mettre fin à des tergiversations, qui ne font qu’attiser les ressentiments à la fois des lecteurs et de la communauté universitaire en particulier.
Le statut de la fonction publique ne laisse aucune hésitation à l’interprétation des décisions à prendre en stipulant notamment dans son article 173 et que nous citons « En cas de faute professionnelle grave commise par un fonctionnaire,pouvant entraîner une sanction du quatrième (4) degré,l’auteur de la faute est immédiatement suspendu ,par l’autorité investie du pouvoir de nomination ». C’est dire qu’il aurait fallu suspendre à titre conservatoire, les concernés dès constatation des fraudes avant, même leur traduction devant un quelconque conseil. Dans l’esprit et à la forme de la loi. La suspension des sus visés n’a guère besoin d’attendre la tenue de la réunion,en conséquence la suspension devrait être signifiée aux concernés avant le 15 mai, date retenue en dernier ressort, si nos informations s’avèrent exactes.
Le décret exécutif n°98-254 du 17 août 1998 relatif à la formation doctorale,à la post-graduation spécialisée et à l’habilitation universitaire stipule dans son article 88:
« Tout acte de plagiat,de falsification de résultats ou de fraude en relation avec les travaux scientifiques revendiqués dans la thèse,dûment constaté pendant ou après la soutenance expose son auteur à l’annulation de la soutenance ou au retrait du titre acquis, sans préjudice des sanctions prévues par la législation et à la réglementation en vigueur ».
Commentaire retiré par ADMIN
CONNIVENCE + TOLERANCE = COMPLICITE PASSIVE
Il s’agit d’escroquerie morale au sens étymologique du terme .pour pouvoir tromper la confiance et la vigilance de tant de personnes durant tant d’années il faut être très très fort ou des véritables fripouilles.Les directeurs de thèses ,le doyen,
FAUX AVEC UNE INTENTION COUPABLE
Le faux ou l’usage de faux commis par une personne dépositaire de l’autorité publique ou chargée d’une mission de service public, agissant dans l’exercice de ses fonctions, est un crime très , très grave très sévèrement réprimé
Ce qui est étonnant c’est le silence des responsables de l’Université et le premier d’entre eux est le recteur de L’Université Liabes Djillali. Le proverbe dit que : ce lui qui ne dit rien consent, autrement dit les responsables acceptent tacitement cette situation flagrante de fraude et donc par leur silence contribuent au pourrissement de la situation. J’ai honte pour cette université et pour ses responsables car ils se devaient d’agir dès qu’ils avaient eu connaissance de ces délits. Sous d’autres horizons, celui qui représente les intérêts de la société se doit de se saisir pour de l’affaire pour éviter à la société les dérapages et les égarements que nous connaissons. Y-a-il des responsables à l’université et à quoi ils sont occupés ? Y-a-il un procureur dans la ville ? Y-a-il une justice dans ce pays ?
vous avez complètement raison Monsieur KAMARA
Même après la divulgation de l’affaire ; la paralysie et l’indifférence étaient totales ,aucun membre de l’administration n’a pris le relais pour défendre les intérêt de l’administration , l’intérêt du service public et l’intérêt de na nation. Car en Falsifiant des faux doctorat ,il se sont octroyer des augmentations de salaires très conséquentes .
BAI s’honore de bénéficier d’un commentaire aussi lucide que le vôtre. Ce qui nous chagrine tous, c’est ce regard passif des responsables de l’Université alors qu’il y a péril en la demeure. Ils font le dos rond et laissent passer la tempête, c’est cette erreur –et sûrement des protecteurs occultes- qui leur fait croire qu’ils seraient maintenus par oubli. Ils ont été désignés par un clan ils seront défaits par la raison, l’éthique universitaire et la morale.
Si la justice avait envie de se manifester, elle a suffisamment de grains à moudre, elle ne veut pas qu’on lui suggère des procédures proposées par des professionnels de la dérobade et de la fuite en avant. Le rôle de l’investigateur est de s’en tenir aux faits et d’éviter la délation. Or les faits sont têtus et assez explicites pour que le lecteur se fasse une opinion et les intervenants de BAI veillent à l’authenticité des documents. Seul le salut de l’Université lui importe avec le respect de sa mission originelle qui est celle de dispenser un savoir dans une dimension universelle et moderne. Les tricheurs ne peuvent s’honorer d’y être car nous les pourchasserons en nous attachant à la même éthique que nous appelons de nos vœux, sans acharnement et en toute sérénité. Il ne nous est guère permis d’être complices d’une quelconque mascarade et, s’il y a d’autres révélations, nous ne ferons pas la sourde oreille quoi que l’on puisse en penser ; ils sont déjà allés si loin sur la pente qui mène à la déraison que des Départements entiers ne sont pas à l’abri de tricheries outrageantes que la rumeur ne sera plus seule à déterrer et dévoiler.
Monsieur le Recteur doit savoir qu’une responsabilité se donne, se retire et ne se partage pas et qu’un homme responsable est un homme seul et spécialement vis-à-vis de sa conscience. Allons de l’avant ! L’opinion publique finira par n’y rien comprendre à la volonté des tricheurs, des faussaires, des plagiaires et de leurs tuteurs d’imposer leur volonté irréfléchie si nous ne réagissons pas avec fermeté et détermination.
Notre seul regret, à ce stade, c’est que les journaux ne relaient pas –ou très mal- un sujet aussi vital qu’explosif, il ne leur en coûtera strictement rien. Savoir c’est comprendre et espérer pouvoir dénouer les fils de l’écheveau que nous ont légués nos aïeux.
Concentrons nos efforts sur les cas et notamment celui de l’Université qui nous préoccupent au lieu de nous disperser sur une étendue très difficilement quantifiable. Ce n’est pas le procès de l’enseignement que nous devons mettre en exergue, nous nous limitons à l’Université de Sidi-Bel-Abbès, que chacun s’attelle à nettoyer devant sa porte.
Ce qui est étonnant c’est le silence des responsables de l’Université et le premier d’entre eux est le recteur de L’Université Liabes Djillali. Le proverbe dit que : ce lui qui ne dit rien consent, autrement dit les responsables acceptent tacitement cette situation flagrante de fraude et donc par leur silence contribuent au pourrissement de la situation. J’ai honte pour cette université et de ses responsables car ils se devaient d’agir dès qu’ils avaient eu connaissance de ces délits. Sous d’autres horizons, celui qui représente les intérêts de la société se devaient de se saisir de l’affaire pour éviter à la société les dérapages et les égarements que nous connaissons. Y-a-il des responsables à l’université et à quoi ils sont occupés ? Y-a-il un procureur dans la ville ? Y-a-il une justice dans ce pays ?
AFFAIRE du MCA
L’affaire du MCA doit service d’exemple dans la méthode de traitement .C’est un exemple a suivre dans tous les domaines .Leur comportement à porté atteinte à la dignité ou au respect des ministres et leurs fonctions,
il est interdit d’outrager une personne appartenant à certaines catégories, protégées par la loi.
Jugée en flagrant délit Parce-que portant atteinte à l’honneur du souverain,l’attitude des sportifs du MCA à été assimilé à un crime de « lèse-majesté ». Dans le cas des universitaires usurpateurs (faculté des sciences de Sidi bel abbes), pourtant codifiées par la loi, les sanctions traînent en longueur; c’est à croire que le savoir passe bien après l’honneur.
Je suggère à nos législateurs pour rétablir l’équilibre de faire une proposition de loi visant à punir sévèrement tout citoyen pour offense à l’honneur de l’université.
Vous avez complètement raison Mr A;Seddik
Si tous les problèmes de corruptions , crimes économiques ,de fraudes ont traités avec autant de rapidité ,de fermeté et rigueur . L’Algérie retrouvera la place qu’elle mérite dans le concert des nations .Et nos dirigeants seront gratifiés de tous les honneurs et tous les respects dus à leur rang.
Oui on nous cache la vérité : dans quel but ?
Pourquoi tant de mystère ,pourquoi tant de non-dis autour de cette affaire de faux docteurs .Pourtant c’est une affaire de délinquance. Une histoire de faits divers L’université doit se débarrassée de cette vermine en confiant le dossier a la justice. Et le problème est réglé définitivement .L’Université pourra s’occuper le l’enseignement et des examens
J’ai l’impression que personne a l’université ne connaissait cet article 88 .Car on ne peut plus être clair .Si et seulement si une seule personne de l’administration universitaire avait connaissance de cet article le problème serait réglé depuis 2010 .Ou Alors toutes autres suppositions pourraient êtres évoquées ,la couverture ,la complicité,la complaisance ,la corruption ,ect……………
Le décret exécutif n°98-254 du 17 août 1998 relatif à la formation doctorale,à la post-graduation spécialisée et à l’habilitation universitaire stipule dans son article 88:
ARTICLE 88
« Tout acte de plagiat,de falsification de résultats ou de fraude en relation avec les travaux scientifiques revendiqués dans la thèse,dûment constaté pendant ou après la soutenance expose son auteur à l’annulation de la soutenance ou au retrait du titre acquis, sans préjudice des sanctions prévues par la législation et à la réglementation en vigueur ».
Corrigez: la coquille:
….sous préjudice des sanctions prévues par la législation et la réglementation en vigueur »
Amicalement vôtre!
C’est dans votre court message que s’est glissée une coquille, Mr Memoria.
Amicalement.
Salamou Aleïkoum !
Effectivement Si Bendida cette coquille s’est avérée mienne et ce n’est aucunement une faute d’inattention…!
J’assume….. ma traduction devant le tribunal de l’Académie littéraire du Cercle des Amis d’Assia Djebbar pour « Linguicide involontaire » et atteinte à la langue de Molière avec comme avocat Mme le Cygne si elle accepte !
Je n’oublie pas de présenter mes excuses à Si Ibrahim et les lecteurs comme je prends acte Si Bendida de votre vigilance…
Je n’omettrais pas aussi de rendre le Salut à mon camarade Dr Reffas!
Djoumouâ Makboula !
Bonjour monsieur Memoria
L’erreur peut-être humaine et la reconnaître spontanément traduit un réel sens de l’éducation et du sens de la valeur morale de la personne qui a commis cette erreur .
Le dicton dit bien: « Faute avouée est à moitié pardonnée ».
Cette expression populaire ne peut pas s’appliquer à votre cas. De ce fait, il sera inutile de passer par cet auguste tribunal (sourire). Certainement, madame Le Cygne sera d’accord avec moi. En plus, vous avouez cette erreur, un jour saint: le vendredi. Que voudront -ils en plus tous ces lecteurs de BAI?
Le véritable problème de la reconnaissance de la faute se pose avec une réelle acuité aux faussaires de la faculté des sciences exactes
Ces trois compères ne veulent pas reconnaître leurs fautes et là, ils font abstraction de la valeur du système moral qui régit la société , la famille auxquelles ils appartiennent.
Pire encore, l’impunité leur a donné des « ailes » . Devenus FAUX DOCTEURS, ils ont accédé à des postes de responsabilité: VICE DOYEN, DIRECTEUR de l’UFC. Quel SCANDALE!!!!!!!!!!!!!
» Qui n’a pas honte de sa faute est deux fois coupable. »
Proverbe de Publilius Syrus.
Détrompez-vous, Mr Mémoria ! Je dois reconnaître que je suis rarement aussi vigilant. Cette fois-ci, ma vigilance je la dois justement à la vôtre. Cela pour oublier cette histoire de tribunal. Merci pour ce savant brin d’humour !
Bien amicalement.
Merci, monsieur AMMOURI de nous éclairer sur les lois
Il est regrettable de constater que c’est les journalistes qui donnent des leçons de droit aux universitaires . Nul n’est censé ignoré la loi . Il importe que la menace de sanction soit ressentie par le citoyen, sinon c’est la loi de la jungle.
« Sans la justice que seront les états sinon des groupes de brigands » d’après Saint Augustin