Agissant sur information, les éléments de la police de la 11éme sûreté urbaine de la cité BENHAMOUDA à sidi Djillali ont procédé à une enquête qui a mené à l’arrestation d’un falsificateur de documents officiels. En effet, le mis en cause, âgé de 40 ans et occupant la fonction d’agent de sécurité à l’annexe de L’APC de la dite cité et saisissant cette position bien informé des personne en besoin, il propose ses services pour l’établissement de cartes d’identité, permis de conduire, cartes grises et autres documents officiels contre des sommes d’argents conséquentes.
L’on apprend de source bien informée que le suspect suite à une perquisition, fut surpris et arrêté avant-hier en possession de scanner avec lequel il confectionnait ces dits documents. C’est une victime qui la vendu après qu’elle ait senti l’irrégularité du document qui lui a été délivré.
L’enquête a pris des élans et est arrivée jusqu’à une fonctionnaire dans le cadre de L’ANEM à l’annexe de L’APC de sidi Djillali tout prés de la daïra. La jeune fille qui rêvait un jour d’être enfin embauchée après 4 longues années d’attente, nous révèlent ses collègues dans son cas à percevoir un salaire loin d’égaler ses efforts et les préjudices qui peuvent en résulter s’est fait piégée par son collègue qu’elle n’aurait soupçonné pour rien au monde.
Le suspect lui a remis une carte d’identité scannée pour lui délivrer une résidence d’un de ses clients.
On se demande comment peut-on rendre ces jeunes, responsables de positions sensibles dans les différents secteurs sans qu’ils aient suivi des formations et des stages. Comment différencier un document scanné d’un autre original ? La réponse, en s’en fout éperdument. Les prisons peuvent être un jour aussi nombreux que les établissements d’éducations.
Sinon on devrait aussi faire recruter des policiers, des gendarmes et des militaires dans le cadre de cette procédure de tous les stigmates qui est devenue miraculeusement une règle.
C’est non, c’est claire on ne peut donner une arme à quelqu’un sans qu’il ait suivi une formation, premièrement pour sa propre sécurité ensuite celle des autres. C’est drôle, quelle dissonance. Comment peut-on savoir cela sans l’appliquer sur les autres secteurs pour protéger les jeunes novices dans la seule hâte de dénicher un boulot. Ça à un autre nom, un genre d’esclavage simulé, c’est l’exploitation de l’être par l’être érigée.
Cette jeune ‘’ ANEM’ISTE’’ que ces collègues et les habitants qui la connaissent lui témoignent de la bonté et la gratitude a passé une nuit dans la loge de la prison comme une vraie criminelle. Alors que le vrai criminel qui reste tout le temps impuni en faisant des millions de victimes c’est celui qui par réticence a négligé de prévoir une formation ou des stages pour leur offrir l’arme de la connaissance afin de se protéger et d’être vraiment responsable de leurs faits et actes. Si dieu a levé le châtiment devant la négligence, alors le vrai coupable sera celui qui était la cause de celle-ci.
Djillali T