
Durant toute la période post indépendance, l’Algérie a connu deux phases distinctes de développement local. Ce processus a été marqué, tant au plan institutionnel qu’économique par plusieurs modèles et expériences de développement, caractérisés par un système de planification centralise durant la période (1962- 1980), qui a connu la mise en œuvre d’un certains nombres de programmes d’intérêt local, destinés a réduire les disparités régionales.

Nombreux sont les sociologues qui, à propos de l’évolution de société contemporaine, abandonnent I‘appellation de société postmoderne pour parler désormais de société cognitive, de société de savoir. Le Dr Bouanani Brahim, explique dans une intervention consistance, qu’il faut d’abord comprendre ce que l’on veut dire par ‘’local’’ ! Se posant les questions : veut-on désigner les collectivités locales ?… parle-t-on de zones géographiques ? Parce que ni l’une ni l’autre ne devrait être à priori prise en considération, mais plutôt la société, ses caractéristiques, ses penchées, car elle constitue, dit-il, une force, si on arrive à la déterminer, on saura quelles solutions lui adapter pour créer en elle une dynamique, une valorisation et une mobilisation qui vont en faveur de l’acte, car « le développement c’est l’acte », a-t–il ajouté, pour conclure qu’il faut faire participer tout le monde, y compris les notables et les nobles. Le but du développement n’est pas seulement de construire des infrastructures, mais plutôt de créer une dynamique sociale.

Désormais, le temps est arrivé de passer de la centralisation à la décentralisation ou a la régionalisation comme l’a affirmé le vice-président du CNIES Mustapha Mekideche ou de réhabilitation des territoires, en dépit de la réalité historique, sociologique et économique du pays ? Peu importe I ‘appellation, estiment les intervenants, il suffit de redynamiser nos territoires pour se compléter sur le plan économique, social et culturel afin de mutualiser leurs moyens et leurs potentialités.
Djillali Toumi
je crois d’un point de vue développement il faut aborder le sujet du messianisme et de l’imamat qui ont envahi l’Algérie après la chute de baghdade. ce sont des gens imprégné par l’homme providence Imam chez les chi3ite fatimide ou catholique et juif du Messie. c’est l’imam qui fait tout c’est le messie qui aplanie toutes les confrontations. beaucoup d’homme politique et de partis sont imprégnés de l’un de l’autre d’où l’absence du travail en groupe , le retour au débat publique, et revenir au principe de la Choura introduite par les musulmans arabes partout dans leurs empires. le principe serait une démocratie qui était établi avant même que l’Europe l’adopte ou le Roi c’est lui le tout et les autres dans l’exécutif, même la détention de la bible était interdite. le Roi l’interprète pour tout le monde..Dans la formation de nos dirigeant il faut des cours sur l’histoire du messianisme et l’imamat chi3ite sur l’Algérie moderne. chez nous tu trouves les traces de la démocratie chez nos grandes mères qui n’avaient pas appris ni a lire ni a écrire donc elles n’avaient pas accés aux livres français ou turques, elle disent machawra ou elle ordonne a son marie »chaware » va prendre un avis de ton frère »rouh chaware khouk etc
donc notre culture était basé sur Choura prendre l’avis de l’ensemble d’un groupe ou d’un expert ou d’un voisin..