Plusieurs employés de l’unité de l’algérienne des eaux de sidi bel abbés, des cadres notamment, compris dans le staff du directeur, ont observé un sit-in devant le siège de l’unité sise à sidi Djillali. L’unique mot d’ordre était le départ immédiat du directeur.
Les insurgés dénoncent des pratiques graves de leur 1er responsable, qui n’ont comme conséquences que de nuire à la bonne gestion de l’entreprise.
Les traitements mensuel connaissent un déséquilibre depuis le mois de Ramadan passé, font-ils savoir. Les employés ne perçoivent plus un salaire stable malgré plusieurs requêtes auprès du directeur qui est aussi accusé d’abus d’autorité, de harcèlement moral, dont les faits peuvent être élucidés par un audit, expliquent-ils. Les chefs de départements et les chefs de services attestent détenir les preuves, et qu’ils sont disposés dans le besoin d’une stabilité générale de fournir pour mettre fin à une situation qui ne cesse de s’aggraver.
Les accusations sont allées plus loin dénoncer une mauvaise gestion dans les différents services. Le recensement des fuites d’eaux ne se fait plus comme avant, qui rend incontrôlable les besoins en matériel pour chaque réparation, insinuant des possibilités de vol. Les fournisseurs ne livrent plus de matériel, ajoutent-ils, par défaut de payement régulier de leur marchandise, qui provoque, de par des mécontentements à la clientèle, une mauvaise maitrise de gestion des réparations.
Le staff atteste aussi que le directeur refuse pour des raisons incompréhensibles, de signer le cheque de payement de cotisations à temps auprès de la CNAS, accusant un retard qui a provoqué une 3éme pénalité de 80 millions de centimes chacune. Il est lui est reproché encore d’agir contrairement aux lois et au règlement sensés gérés les affaires de l’entreprise. Leurs souhait est que la tutelle dépêche un audit pour vérifier et prendre compte de plusieurs anomalies qui n’ont pues être toutes divulguées, et qui auront pour conséquence avenir d’aggraver d’avantage la gestion des différents services de l’unité et mettre en ébullition le personnel.
Djillali T