Malgré l’importation massive du ciment (au delà de 90 000 tonnes mensuellement) pour faire face à la rareté du ciment qui s’est installée durablement ces derniers temps à l’ouest du pays. Le secteur du bâtiment continue de subir ce déficit et se trouve parfois paralysé à faire avancer le programme du million de foyers d’ici à 2016 ceci a engrangé une demande plus forte que l’offre. On dit que toutes les cimenteries de l’ouest (La Cado,Beni Saf, Sig et Saida) fonctionnent à plein temps et n’arrivent pas à satisfaire cette demande toujours croissante d’où Ce déficit qui a fait grimper le prix du sac de ciment aux environs de 1000 Da. Les professionnels du bâtiments qui y voient leur projets au ralenti ou à l’arrêt ne savent plus à quel saint se vouer. De plus ces cimenteries sont dirigées par des partenaires étrangers avec leurs staff technique donc point de doigt accusateur en matière de gestion.Reste le coté spéculation de ce produit rare qui dit-on, fait le bonheur des spéculateurs de tout bord.