Des squatters défient l’autorité de l’état et entament des constructions illicites

Cet après-midi,une cinquantaine de familles composée d’une centaine de personnes se sont retroussés les manches et ont commencé à bâtir grâce au parpaing, des habitations de fortune (sortes de bidons ville) juste derrière l’hôtel Beni-Tala défiant ainsi toute autorité. Seul une ambulance et autres véhicules de pompiers se »” tenaient un peu plus loin à une centaine de mètres .En effet, selon leur représentant qui signale que cette action est entreprise puisqu’ils n’ont rien vu venir du coté de l’administration locale en vue de satisfaire leur demande pour un logement décent et croient que cette action (de bidonvillisation) va pousser les autorités à réfléchir sérieusement sur leur cas.Ainsi,ils ont pris le taureau par les cornes en se regroupant ensemble, derrière le nouveau hôtel et où existe déjà quelques bidons villes dans cette partie cachée par la foret ,tout va ! Chacun traça son lopin de terre et s’y mis à entasser les pièces de parpaing en vue de construire une habitation de fortune. Toutes négociations entreprises depuis hier avec les principaux antagonistes et les autorités locales n’ont pas abouti et ces squatters ont commencé à ériger ces habitations juste à une dizaine de mètres des installations de gaz naturel où il leur a été signifié du danger encouru.A l’heure où nous rédigeons ce papier, aucune solution n’a été trouvée et les squatters semblent persister dans leur voie.

5 thoughts on “Des squatters défient l’autorité de l’état et entament des constructions illicites

  1. Le Pâtre,le Berger,ou encore le Pasteur ,c’est qualificatif dont est démunie notre nationet le chaâb qui n’est qu’un troupeau humain pour ne pas le confondre à des cervidés et je pense à une phrase que me lançait mon défunt père en parlant de nos compatriotes incultes ,il ne cessait de dire :(ces gens ont été nourris mais jamais éduqués.

    Henri De Rochefort journaliste et politicien de la fin du 19ème siècle avait dit:(–Il y a deux sortes de bergers parmi les pasteurs de peuples: ceux qui s’intéressent au gigot et ceux qui s’intéressent à la laine. Aucun ne s’intéresse aux moutons.

    C’est exactement ce qui se passe en Algérie les poli-technocrates ne s’interressent qu’à ce qui les enrichit et à ce qui les engraisse.

    Et pour ce qui est de notre peuple d’aujourdh’ui ,voici quelques proverbe qui le détermine ,à la perfection.

    —La faute du troupeau vient du Berger (Proverbe Arabe)

    —Berger sans Taureau finira san troupeau (proverbe Sénégalais )

    —Le cul du berger sentira toujours le Thym (proverbe Provençal)

    —La vache connait son Berger mais pas son propriétaire,et celui-ci est un proverbe Amharique,qui est une langue d’une Ethnie d’Ethiopie .

    Sans Animosité et sans rancunes………..Adil

  2. Bonsoir Abdou;
    «Cette fois-ci, le coup n’a pas réussi. J’aurais pu le revendre…» Ça résume un peu tout!
    Des individus sans foi ni loi. Constamment à la recherche du gain facile, leur cupidité n’a plus aucune limite. Très souvent, malheureusement, ces «parasites» nous font oublier les vrais pauvres qui, par décence, n’osent même pas se manifester. Ils font du tort à notre société et méritent donc d’être dénoncés puis sanctionnés sévèrement.

  3. Demandons à ces gens d’ou vient ils? et ou habitaient ils avant,et pourquoi ils ont tout cassé derrière eux ,ils ont arraché toute la tuyauterie des appartements ,de quel droit. Parmi ces gens là il n’y avait pas un seul natif de la ville.Hamdoulilah les gens de bel abbes sont très bien éduqué Je vous dit cela parce que j’ai assisté à une conversation entre deux individus ou l’un disait à l’autre,c’est dommage ,le coup n’a pas réussi cette fois ci ,j’aurai pu le revendre comme celui de Belouladi .

    1. Quand je lis ce genre de commentaires ça me donne de la nausée,et je n’ai que dégoûtça me donne envie de gerbé,le peuple algérien me fait rappeler les huns ou qu’ils passaient n’est que désolation,d’ailleurs y’a qu’à voir tout fout le camp tout est cassé,rien de beau on s’ennuie à mourir quoiqu’on fasse pas un immeuble digne de ce nom, pas un café digne de ce nom si ce n’est que saleté des êtres humains en apparence mais pas de cerveau comme une calbas vide de toutes substances.on est imbus de nous même,fiers comme des poux,d’autres nations avancent vers le progrès quand à nous faisons le chemin contraire,d’ou le mal-être à tout point de vue,la seule chose qui marche chez nous c’est la pance et rien d’autres d’ou les maladies de toutes sortes,et ça ne fait qu’empirer.J’ai essayé de comprendre durant mon séjour de comprendre le pourquoi du comment,et il m’a était impossible de voir ne serait-ce qu’un bout de lumière pas d’espoir pour le lendemin oualou!nada,niente,nothing que les bonnes âmes m’en excusent,mais je crois que quelque part ce qui se passe chez nous,nous le méritions jusqu’à quand sonne le glas? Dieu seul le juge.

      1. M. Hakim!
        Nous sommes comme un troupeau de mouton.
        C un e verité parabolique.
        Aussi, il nous faut un berger.
        Notre berger à nous emmène paitre là où on se remplit la panse, pourvu qu’il soit tranquille pendant le broutage.
        Il peut même nous emmener dans un champs interdit, qui ne lui appartient pas (pourvus qu’on se remplit la panse).
        Alors, la faute à qui ? au berger, ou au moutons ?
        Le bon berger est une denrée très très rare.

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