« Ce qui me scandalise le plus ce n’est pas qu’il y ait des riches et des pauvres , c’est le gaspillage» M.Teresa
En cette période de subventionnement du gaspillage :
* Pour ce qui se rapporte à l’énergie , il est certain que l’entreprise productrice de l’énergie trouve des difficultés de financement devant le cout dérisoire de l’énergie produite qui ne permet pas de couvrir les charges de l’entreprise, il est de même pour la commune algérienne qui oublie souvent d’éteindre pendant le jour , son réseau électrique fournissant l’ éclairage publique que le citoyen paye par ses propres impôts sans que personne ne conteste ,revendique ou proteste, un gaspillage qui coute cher à la commune au citoyen et à l’entreprise de l’énergie et que les responsables devront pays de leur poche ce laxisme.
*A l’eau dont les fuites sont quasiment permanentes à travers les quartiers sans qu’aucun citoyen ne rouscaille, des fuites souterraines que personne ne voit et, et, et demain la facture serait bien trop salée.et le robinet de la fontaine sera bien surveillé à la goute pres.
* Au pain que l’on bénissait pendant la période misérable aujourd’hui il est mis à la poubelle avec toutes les saletés possibles qui peuvent y avoir une denrée de grande valeur que les algerien ne connaisse pas bien.
*Aux denrées alimentaires que les chats et chiens trouvent un malin plaisir pour se régaler en plein espace publique.
En effet, il existe plusieurs moyens pour éviter le gaspillage à commencer par les valeurs civiques, le statut de la citoyenneté, et la morale sociale. Sommes nous aussi têtu ( kh –chane)à ce point, on évite toutes façons et les manières possibles pour lutter contre le gaspillage à commencer par la formation sociale du citoyen par le biais des moyens utiles et nécessaires, aucun statut social de la citoyenneté n’existe pour l’instant pour bien et mieux rationaliser la consommation des individus pour ne pas dire du citoyen car le citoyen il a toujours dans l’idée le partage équitable du bien et il est très solidaire avec les concitoyens .Le citoyen fait peur aux responsables car son champs d’action dépasse ce coté sinon il va devoir demander des comptes aux responsables de tout niveau.
La facture est trop salée
– Gaspillons moins pour un premier temps pour le respect des pauvres!
il est peut être préférable que nécessaire sinon utile de faire des achats de nos produits en temps et en heure, quitte à devoir retourner faire les courses par nécessité dans la semaine si quelque chose venait à nous manquer au lieu de s’alourdir d’une dizaine de baguettes de pain par jour ,deux ou trois sachets de lait et de plusieurs sachets bleus remplis de denrée alors que la satisfaction nécessite même pas le tiers de ce que l’on vient d’acheter le reste fini à la poubelle qui est mises sur la chaussée publique sinon baladée par-dessus la falaise ou le bâtiment . Un très grand bac en fer situé en face de l’école Ibn Rochd et devant le marché de fruits et légumes de Benisaf est gorgé journalier ment de fruits et légumes en phase de pourrissement alors qu’ils devront être au moins distribué aux nécessiteux avant cet état d’avancement.
Pour acheter moins, il faut aussi avoir cette confiance en nos commerces de proximité ! Bien souvent, les produits sont vendus au détail et nous permet de limiter les dépenses inutiles. L’exemple de l’Epicier, Belbachir , une superette accompagnée d’un primeur.. situé au quartier de la plage du puits de Benisaf , nous sommes gâtés , tout est disponible et des ventes promotionnelles incitent à la surconsommation , un abus sans pareil, une chose est bien un bac situé devant la superette utilisé par l’association de bienfaisance « Erafik » de récupérer les donations des gens de bienfaisance en biens alimentaires .
Gaspiller autrement par la bienfaisance
De la plage du puits en plein centre ville de Benisaf , ce n’est pas ce qui manque. Et les prix sont souvent moins attractifs que le marché hebdomadaire.
D’autres solutions peuvent être mise en place au niveau des foyers de famille ,comme par exemple réduire les portions cuisinées, éviter de jeter le surplus cuisiné en le conservant dans une boite puis le manger au prochain repas sinon les distribuer pour les nécessiteux de proximité!
Gaspiller mieux !
Aujourd’hui, le plus gros du gaspillage alimentaire n’est pas lié uniquement au foyer à qui l’on demande déjà beaucoup chaque jour. Car Remettre constamment les gens en cause est devenue légion chez certains médias oubliant le rôle principal de l’état qui néglige l’application des règles de la république.
Il (le gaspillage) est aussi et surtout assimilé aux pratiques de tous les agents de distribution et des restaurateurs.
Il est concevable de mieux sensibiliser cette catégorie de distributeurs afin de donner les invendus et ceux dont les dates de péremption arrive à terme à des associations caritatives comme le croissant rouge ou les associations des handicapes des personnes âgées, de bienfaisance….. Pour les gens, certes, ce n’est qu’un détail mais pour les nécessiteux, ça fait beaucoup de chaleur !
En Algérie, les statistiques ne sont pas disponibles pour nous éclairées, renseignées sur l’état réel des nécessiteux surtout avec le temps des vaches maigres le nombre va s’accroitre davantage par la voie du chômage, de l’inflation et de la mal vie…. . Ce gaspillage peut représenter des milliers de repas utiles et sauveteurs pour une tranche de la société.
Distribuer pour la catégorie pauvre ceci pour ce qui consterne l’alimentation il est de même pour les habits non utiliser qui devront être récupérer.
sachez que les marges et les bénéfices sont toujours plus grands en terme de bienfaisance et surtout de penser à autrui un valeur humaine qu’il faut surtout bien nourrir, que de s’emballer dans un gaspillage insensé au vu et au su des pauvres qui n’arrivent pas d’assurer le pain quotidien .
De petits gestes feront de grandes traditions
Qu’est-ce qui vous a empêché durant des années de faire ce geste ? Qu’est ce qui vous pousse à gaspiller tant de nourriture plutôt que de la distribuer à des personnes n’ayant déjà pas le sous pour venir vous l’acheter ?
Vous avez un rôle central à jouer en tant que citoyen et vous le savez. Très bien excusez cette façon moralisatrice qui ne fait plus partie de nos us et coutumes.
Pensant aux démunis en éliminant le gaspillage
En cette journée nationale souhaitable de lutte contre le gaspillage alimentaire qui devrait être institué, une chose est sûre mais certaine. Il est important de changer nos habitudes et de se recentrer sur nos réels besoins, les algériens en sont bien conscients. De plus en plus de petits gestes permettent de limiter et même de faire baisser le gaspillage. Bien-sûr, la route reste longue mais tout n’est pas négatif quant il s’agit de bien faire.
Il faut se dire une chose : le gaspillage, devrait être fini !tout en prenant comme référence la parole de Dieu dans le verset 141 de la sourate les bestiaux : « C’est Lui qui a créé les jardins treillagés et non treillagés, les palmiers et les cultures au goût si varié, l’olivier et le grenadier de même espèce ou d’espèces différentes. Mangez de leurs fruits quand ils ont atteint leur maturité et acquittez-vous de la dîme le jour de la récolte. Mais évitez tout gaspillage, car Dieu n’aime pas ceux qui gaspillent.» le gaspillage étant prohibé dans la religion musulmane, les musulmans semblent ne pas tenir compte de ce phénomène et encore plus quand il s’agit des pétrodollars des pays du golfe alors que dans leurs palabres ils sont les champions à le dénoncer. Mais ne savent point que celui qui fait du bien se sent bien individus, responsables ou état alors que celui qui fait du mal se sent mal individus responsables ou état c’est la base de toute religion divine c’est pour cette raison que le Bon Dieu n’aime pas ceux qui gaspillent, qui mentent, qui fourbent, qui « tartuffent » , qui, corrompent, qui salissent ,qui volent ,qui trompent ,qui rusent, qui faussent qui font du mal aux gens et à la societe.
En Algérie, la quantité de déchet par habitant s’élève de plus en plus grande et importante. Il faut prendre en compte les déchets liés au foyer, à la restauration, à l’exploitation agricole et bien entendu la grande distribution.
BENALLAL MOHAMED un citoyen lambda