Combien, sont ceux, qui comme moi, lorsqu’ils étaient, jeunes hommes, en bonne constitution physique, fonçaient sans trop se poser des questions,, avec leurs amis, dans toutes sortes d’aventures, qui se livraient à eux et relevaient d’extravagants défis, pour jauger leurs capacités de faire mieux. Même les scénarios sentimentaux étaient de la partie. Nous n’avions pas peur de quitter le foyer familial, pour nous expatrier très loin des notre, si cela était nécessaire afin de subvenir à nos besoins, et ce grâce, au bénéfice d’un emploi, que nous obtenions après de long et difficiles marathons.
Nous vivions notre vie, tant que celle-ci, nous paraissait belle et bonne à croquer. Nous osions l’impossible sans inquiéter nos parents, et demeurer éternellement accroché à leur charge ; et cela parce que nous croyons, pleinement en nos chances de réussites et de bonheur
Mais, avec ce nombre d’années qui déferlent expressément, l’on devient plus campé sur nos avoirs, sur nos expériences de vie multiples et devenions moins hasardeux, pour entreprendre de nouveaux projets ou même une nouvelle vie. Nous recherchons d’avantage de garanties et des points d’appuis et nous nous fions d’avantage à se qui est notre raison, plutôt qu’a notre cœur, comme c’étais le cas, lorsque nous étions plus jeune. Il est certain qu’a notre âge, prendre des risques peut être fatal pour notre bien être et notre sécurité sociale.
Autre fois, nous n’avions pas peur de foncer et si nous subissions des échecs, cela nous faisait mal, mais on avait le courage de foncer et de recommencer à le faire, car nous avions la vie devant nous, se qui n’est pas notre cas actuellement. Peut-être, devrions-nous apprendre à revenir à nos considérations de jeune et le doser de notre expérience, pour savoir prendre plus de décisions avec un cœur qui a l’âge de la raison ?