Attention à ne pas être trop ébloui par le succès rencontré par Kamel Daoud et par le charme que provoquent ses idées et ses mots. Attention à ne pas tomber dans le jeu pervers de Hamadache. Attention aux antagonismes apparents qui cachent parfois des intérêts qui se croisent. Il ne peut en résulter qu’un clivage dévastateur qui bourgeonne déjà.
Kamel Daoud est un chroniqueur doué, reconnu et redouté. C’est un écrivain avéré. Et si on est jaloux de son talent, ce petit péché pardonnable est un peu légitime, surtout que cette jalousie cache une reconnaissance implicite de la part de celui qui jalouse le talent de l’auteur. Les passionnés de la finesse de la langue française, celle de Molière de Proust de Céline et de camus, les admirateurs des mots qui sortent comme d’un barillet et que l’on assume courageusement à son corps défendant, les reconnaissants à l’égard d’une modestie – même fausse-, ceux qui souffrent encore de la blessure causée par Camus et qui attendaient la venue d’un messie pour rendre justice, ne peuvent qu’être charmés, fans de Kamel Daoud qui, pour eux, doit avoir raison même quand il a tort ! Et ils sont légion.
Mais de l’autre coté du miroir il y a des centaines, des milliers, peut être même des millions de personnes, en tout cas plus nombreux, aphones, arabophones – et pas seulement- qui estiment que le talentueux Kamel Daoud a franchi le rubicond, que sa plume libre (son livre) et sa parole serve (sa prestation dans l’émission on n’est pas couché) sont un casus belli. Que l’auteur a remué le ciel (dieu) et la terre (l’Algerianité, l’arabité et la révolution sacrée). Que comme Meursault lui aussi tue l’arabe. Que contrairement à Camus lui n’a pas hésité à choisir entre la patrie et la mère.
Hamadache en fait partie. Il n’est pas représentatif ni mandaté par tous les déçus de Kamel Daoud qui appartiennent à des horizons différents. Mais c’est lui qui, grâce à la chaine de télévision Ennahar, crie plus fort. Et qu’on le veuille ou non, à l’intérieur au moins, il est plus audible, surtout quand il joue sur la fibre religieuse. Et il ne fait que cela.
Kamel Daoud se qualifie de réécrivain. Il a choisi d’écrire « l’étranger » à rebours. D’essayer d’égaler le maitre Camus. De déconstruire nos fondamentaux ; l’islam, la patrie et l’arabité. Il a choisi de faire de la littérature au marteau ! Donc trop de bruit. Donc trop de fureur. Ça pouvait faire mouche (et ça a fait mouche), mais ça pouvait péter à la gueule (et ça commence à péter à la gueule). Le risque était calculé.
Hamadache et Kamal Daoud, chacun s’est fixé un but, chacun a choisi une stratégie et chacun a ciblé un public, dans un échange gagnant-gagnant dans tout les cas de figure, sachant pertinemment qu’aucun ne piétinera sur le domaine de l’autre, deux terrains de chasse gardée, deux lignes parallèles qui se haïssent mutuellement et qui ne se rencontreront jamais. Mais au milieu, c’est la cohorte. Au final la déchirure : les bons d’un coté, les mauvais de l’autre. Les fidèles à Dieu et les suppôts de Satan ! Les tranchées qu’on creuse. Les couteaux qu’on aiguise. Le cauchemar en perspective.
Kamal Daoud a choisi de penser comme le français, d’écrire en français, de déconstruire le dogme, d’exagérer le doute méthodique à propos du dieu des musulmans, de la langue des musulmans, de la vie des musulmans, de ce en quoi ils ont toujours cru. Il a choisi en toute conscience. Et puis, il s’est éclos chez le français qui l’a attiré à lui comme un chant de sirène attire le marin: Prix sur prix, notoriété, éloge sur plateau de télé. L’Algérie, avec un lectorat réduit en peau de chagrin, est devenue trop petite pour son génie. Il n’est pas dupe, il sait que le français se sert de lui, alors il se sert du français; son butin de guerre, son allié avec qui il a fait la paix pour faire la guerre aux siens : Il décrit l’islam, il décrie l’algérien et l’arabe comme aiment l’entendre Salamé, Zemour, Polony et compagnie. Il se montre moderne et critique à la fois. Il a le beau sourire. Il a le beau rôle. Il crée le contraste avec les siens, ceux du bas niveau, indignes d’être invités chez Elkabbach ou Ruquier. Eux aiment ça. En récompense, ils lui ouvrent des comptes en banque et des tunnels sur le monde. En effet, combien de personnes à l’étranger connaissaient Kamel Daoud, l’écrivain ou le chroniqueur, avant qu’il ne soit édité en France, adopté par les français ? Et quelle proportion de la population algérienne lisait ses écrits ou entendait parler de lui avant qu’il n’importe, via Paris, en produit fini, une réelle notoriété, avec Meursault ressuscité et l’arabe ré-assassiné.
Et l’écrivain-chroniqueur devient polémiste. Chez Ruquier Kamel Daoud se laisse aller. Le lendemain Il titre une de ses chronique (du 13-12-2014) « Chez Laurent Ruquier, mais dans ma tête ». Comme s’il doutait. Comme s’il avait pris conscience, dés cet instant, de la réaction violente que ses déclarations allaient provoquer et qu’il ne pouvait plus rien, pris qu’il était par l’ivresse du succès. Hamadache rugit et vite on crie à l’appel au meurtre et vite Kamel Daoud devient le protégé de Robert Badinter, Benjamin Stora, Alex Khan, George Kiejman, P-A Tagui, de pierre Asouline de Roselyne Bachelot de Daniel Cohn-Bendit et de… Bernard Henri Levy. Ceux-ci, sur l’initiative de Mohamed Sifaoui (le vétéran transfuge) appelèrent « les instances judiciaires internationales à prendre les mesures nécessaires afin que le sieur Abdelfetah Hamadache, apologiste de la haine, du terrorisme et de la violence soit poursuivi devant toutes les juridictions compétentes susceptibles de l’appréhender ». Et ils demandèrent « à la communauté internationale et à tous les démocrates qui refusent les discours de haine et les appels à la violence à exprimer leur solidarité à Kamel Daoud, homme de paix et journaliste de talent ». Rendez-vous des pyromanes de France et de Navarre. Puis le relais à Alger chez, Amine Zaoui le néo-francophile, qui lui aussi allume son feu et rédige son manifeste. Et même chez mon ami Messaoud tire sur son allumette.
Ce que Kamel Daoud n’ignore certainement pas, c’est que l’algérien aime la France mais moins les français, tout comme le français aime l’Algérie et moins les algériens. Du je t’aime moi non plus. C’est pourquoi Hamadache et les autres n’ont pas aimé que Kamel Daoud parle d’eux, de ce qu’ils sont, de leurs tares, en bon français chez le français. « Zitna fi bitna », il ne faut pas transgresser cette règle. Tant que « Meursault contre enquête » était édité en Algérie seulement, et tant que les chroniques ne dépassaient pas les frontières d’une région de l’Algérie, on fermait l’œil, on laissait faire et on laissait jouer le chérubin. Mais en parler chez le roumi au roumi, c’est l’overdose. La transgression devient alors apostasie mortelle.
Gagnant l’est Kamel Daoud même quand on crie à sa mort ou qu’on la souhaite. Car on veut une mise à jour, que « Meursault contre enquête » prenne l’ampleur des « versets sataniques » et que Daoud soit la réincarnation de Rochdi, la victime de l’obscurantisme musulman! Cela sert la cause d’un choc des cultures que l’on nourri et que l’on cache à peine. Kamel Daoud en devient, conscient ou non, le témoin oculaire au soutien d’une partie. Alors au-delà d’Alger, au-delà de Paris, l’universalité comme récompense, on ne peut cracher dessus.
Tant que Kamel Daoud est utile il restera, pour une raison ou une autre, sous le feu des projecteurs, aimé et glorifié. Mais certainement pour un temps seulement, le réalisme occidental ne reconnait pas en effet, la pérennité. Il n’est que mouvance. Sauf s’il reste, en écrivain, en chroniqueur et en amis des francs, égal à lui-même. Ce qui n’est pas aisé. Il a commencé très fort, très original. Par son premier roman et ses prestations sur les plateaux, il a placé la barre très haut. Il doit faire mieux sinon c’est l’oubli. Tel fut le cas d’un autre écrivain génial qui comme lui, fit sensation par son premier roman et qui eut à trente six ans le Goncourt, mais qui faute de réitérer le même coup de génie, sombra prés de vingt ans. Il s’agit du breton Yann Queffelec, pour « les noces barbares ». Ce que nous ne souhaitons pas pour notre Daoud national (et c’est la une réappropriation) l’écrivain et le chroniqueur mais pas le polémiste. Les temps sont difficiles et il n’est pas bon de souffler sur le feu ni d’investir dans la polémique.
Hamadache, je ne connais pas. Il n’écrit pas. Je ne le lis pas. Et même s’il écrirait je ne le lirais pas. Pour moi il n’existait pas avant. Il n’existera pas après. Deux lignes parallèles qui sans se haïr, ne se rencontreront jamais. Je n’ai rien à partager avec les gens monolithiques, pleins à craquer de haine et de certitude. Je ne suis que doute. Je flaire à mille lieux l’odeur du sang humain dans une tête ou sur une main et ça éveille en moi les mauvais souvenirs; les cris des victimes et ma haine pour El Bahri Jilane alias « dib el ji3ane. » Je n’ai que mépris pour la tête qui guide et la main qui assassine.
C’est pourquoi j’aurai souhaité que Kamel Daoud n’investisse pas dans cette opération d’achat et de vente dangereuse avec Hamadache, qu’il ne lui offre pas une tribune internationale, qu’il ne lui prête pas l’oreille ni son porte voix, qu’il n’en fait pas une victime des laïcs, des communistes, des hizb frança, des sionistes et des occidentaux. Il ne pouvait espérer mieux.
Est-ce possible qu’il soit échappé à Kamel Daoud qu’une posture victimaire transnationale nait de cette surenchère, au bénéfice de hamadache peut avoir pour conséquence de fédérer autour de lui des nouveaux convaincus, d’ici et d’ailleurs, comme autour de daech des despérados du monde entier? Ou serait-il aveuglé par les chants des sirènes au point de crier après moi le déluge? Auquel cas, je ne vois aucune différence entre l’un et l’autre hormis la beauté du style.
A. MEKIDECHE
Sallamou allaykum M Mekideche
Loin de moi cette idée de divagation. Je ne vois pas en vous un premier venu, vous etes intelligent, et bien plus que ce « journaliste ».
Vos interventions devraient être plus régulières compte tenu de votre CV dans votre domaine pour éclairer fidèlement vos compatriotes.
Ce qui m’a interpellé dans votre billet, C que vôtre conclusion n’était pas à la hauteur de votre instruction de l’affaire.
Je ne considère pas comme une contreverse,les attaques de l’Islam,-que l’Etat a juré de « Respecter »-, pour la raison 1ere que Allah et son Processus ne peut en faire l’objet. Sauf par un Mulhid. Ce pourquoi,je ne vois pas de plue value chez ce « journaliste ».
Et puis cet ancien adage, « La plume est serve mais la parole est libre », sied bien mieux à Hamadach (ministère public [sic !]) qu’au journaliste.
Comme évoqué dejà, mieux vaut un Zitna fi bitna,qu’une collusion caractérisée avec l’exterieur.
D’ailleurs, que font les Institution de l’Etat, chargé de défendre les Constantes de la Nation. Leur intervention aurait coupé l’herbe à ceux disent une verité en cachant plusieurs autres. Nous ne les avons jamais vu intervenir quant au Respect de l’Islam.
Permettez moi de vous citer une sentence d’Allah, rapportée dans la surat 62 Jum3a, versets 3 & 4 :
≈ « Telle est la grâce d’Allah, Il octroie à qui Il veut. Et Allah est le Détenteur de l’énorme grâce. (4).
Exemple, ceux qui ont été chargés de la Thora mais qui ne l’ont pas appliquée sont pareils à l’âne qui porte des livres. Quel mauvais exemple que celui de ceux qui traitent de mensonges les versets d’Allah et Allah ne guide pas les gens injustes. (5) ».
Certe, ces versets sont adréssés aux enfants d’Israel ; Mais leur généralité nous concernent également en tant que Muslim chargés d’un Livre :Le Qoran qu’on laisse décrier par le premier venu.
DZiri
Merci MR DZIRI encore une fois.
Je viens de lire sur Yahoo le discours au CRIF d’Orléans de l’autre B SANSAL. « Mains sales » « et nausée » . Plus juifs que juifs. A lire impérativement. Je suis d’accord avec vous. Il semblerai qu’on est entrain de vivre une concurrence, une course, pour l’étoile jaune.Sans quoi c’est le mode OFF pour qui veut parvenir.
Personnellement (moi en tant que lecteur de ce journal) vous me décevez , M. Navajo, au lieu de nous convaincre avec un raisonnement contradictoire sain et dénué de tout terme insolent et autres bassesses que vous employez , vous sortez vos grands canons et tirez à boulets rouges sur tout qui ose faire une réflexion même négative soit elle , vous utilisez les termes de la même manière que ceux qui prônaient l’islam dans les années 90 et voilà justement, vous nous poussez à haïr ce que nous voyons juste, je suis sur que les sionistes vous aiment vous car vous salissez notre islam par vos propos agressifs et on dirait que vous agissez pour eux. Je suis sur que vous ne connaissez rien à l’islam ou tout juste des bribes comme ceux qui induisaient en erreur les pauvres citoyens pour les faire basculer dans les ténèbres . Et c’est ces propos qui créent ce que vous citez « L’islamophobie explose en France et ces actes d’agression contre les musulmans se multiplient. »
Sachez Monsieur que nous sommes tous majeurs et vaccinés, et que nous savons différencier le mal du bien c’est pas vous avec vos propos qui vont nous faire changer d’avis sur quiconque. J’aurais préféré que vous nous démontrez à nous lecteurs et à Kamel Daoud que l’arabe est « tout » à l’inverse de ce qu’il voit mais avec des arguments qui convainquent.
ya akhi, zitna fi bitna, critiquer la religion, les arabes, la patrie, chez l’ennemi (hadi makanch) cet individu s’il veut renié ses origines et sa religion c’est son problème, mais il n’a pas droit de parler au nom du peuple dans les plateaux franco-sionistes. les ennemis héréditaires de l’Algérie? le Cheikh Bachir Al Ibrahimi (rahimah Allah) Professeur, prédicateur, journalistes, littéraire. Une des prestigieuse figures des Oulamas algériens. Nous montre, que le colonialisme est une souillure morale, une profanation des valeurs de l’islam et une infamie sociale et culturelle qu’il faut combattre au même titre qu’il faut combattre Satan (ech-chaytane addou Allah) l’inspirateur de tous les maux et de fléaux. Cordialement.
Bonjour,
Il est clair qu’il ne s’agit pas de critiques historiographiques. La controverse est que Kamel D lui est « musulman » ! C’est l’ocas aussi pour certains d’étaler toutes les législations transcendantes.
Il faudra donc poser la question qui revient chaque fois dans notre longue Histoire ! Les critiques sont elles « littéraires » comme avant lui les poètes El-Maâri ,Abou Nouas ou Omar elkhayam…Ce qui explique un peu l’appel raté via « facebook » d’Amine ZAOUI. Sont-elles philosophiques : IbnRochd ,Ali Abderazak…??? Sont elles d’ordres Historiques .Rappelons nous : El-Tabari et la fetwa contre lui – refus de son inhumation dans un cimetière musulman ! Et Ibn-Khaldoun surtout ne l’oublions pas a fait une critique grammaticale sur l’historique de la langue du coran) . Sont-elles Politiques comme le fameux EL-HALAJ ? A mon avis elles ne sont pas d’ordre politique. Finalement sont-elles personnelles comme personne ?! Je ne pense pas qu’ils sont d’ordres éthiques encore moins théologiques !
Faut il aussi « classer » l’affaire « HAYLOULA » (mot juif Algérien)! Et dire que Kamel Daoud est tout simplement un disciple de : Alfred de Vigny,Flaubert,Voltaire,Bossuet……..pour ne pas résumé le tout par Albert CAMUS.
Mr Mekidèche nous étale la polémique dans un ordre que je qualifierai de « juridique ».Il remet l’un est l’autre à leurs place respective !!!
Toutefois ! J’introduis un désaccord quand il écrit : « HAMADACHE : Je ne le connais pas . Il n’écrit pas. Je ne le lis pas. Et même s’il écrirait je ne le lirais pas» . Pourtant ! Nous autres « Algériens » (tous musulmans) ! On sait qu’une FETWA est un AVIS juridique émanant normalement d’un spécialiste de la Charia ! Une Fetwa peut donc aussi être considérée comme « avis religieux ». On ne va pas faire comme le Qatar et son Cheikh El-quardaoui ! Surtout que le clergé n’existe pas dans l’islam (Sunnite tout au moins –El-AZHAR ???).Le plus surprenant pour les non-Musulmans est que le « métier » de Mufti ne suscite pas le débat ! Sans doute parce que la laïcité n’est venue qu’après l’avènement de ROME. Dans l’Histoire de l’occident on remarquera que l’Etat (Rome) a devancé historiquement l’église ! Ce qui n’est pas le cas dans l’histoire de l’Islam.
Mr Mekidèche : Nous pose le problème de la dangerosité de la situation dans laquelle se trouve notre pays (Si jamais : Un Mefti el-Diyar djazairiya est un « ignorant » !!! )! il n’y a pas de règle unanimement acceptée pour déterminer qui peut émettre une fatwa ! Le Fiqh dans le passé (Histoire) a tjr été référencié aux hommes et non à l’Islam (Malikisme,Hanbalisme…ect).
Cependant dans tous les cas !!! Il ne faut surtout pas dire « khatini batini » !
A mon avis ! La FETWA contre Kamel DAOUD n’a aucune authenticité ni autorité étant donné qu’elle est émise dans un cadre « personnel via facebook».Autrement dit : Un débat bénéfique !
Merci.Mr Mekidèche pour cet article courageux.
des symptômes décrits visibles pour ne pas dire criards chez un personnage des médias qui se fait remarquer par son écriture acerbe contre tout ce que Allah sobhanah a crée de noble et de sacré, contre toutes personne de noriete, contre tous ceux en qui la majorité des gens expriment sympathie ou affection au peuple, en un mot contre tous une sorte d’exterminator social qui a été programmé pour détruire tout ce que les gens vénèrent et respectent. Il est le profondeur de tout ce qui est noble sur terre et dans le ciel Allah et ses prophètes, l’islam et les musulmans, l’ arabe et sa civilisation. Une machine polluante de l’information. Ce caractère phénoménal n’a pour arme qu’un offensif clavier d’ordinateur. l’arbre qui cache la forêt d’une organisation dons le travail consiste en la fabrication de l’intox ciblant l’Algérie et son peuple et qui a pour support les médias laico-racismo-fascismo-franco-sionisto, contrairement a certains pseudo-ecrivains qui fuit le pays, notre grand intellectuel+écrivain+apprenti philosophe sur le modèle de BHL, Éric Zemmour…ect a lui adopte une tactique plus aventureuse. Cordialement.
Dans le troisième paragraphe, in fine, il y à une omission. Telle qu’elle , la phrase suivante n’a pas de sens « Que contrairement à Camus lui n’a pas hésité à choisir entre la patrie et la mère. J’avais pensé à une suite ainsi rédigé « … Il a renié et la patrie et la mère. Il est ingrat »
Cet écrivain fait la danse du ventre aux xénophobes laico-franco-sionistes, critique la religion musulmane, la langue arabe, la culture arabe, et la patrie, pour plaire aux néo-colonialistes? Voilà le piège que tend les franco-sionistes aux intellectuels maghrébins en général et algériens en particulier, prix, Goncourt ou autre, une table ronde et des questions pièges bien enrobés, et après on l’assomme avec une fetwa, parce que un bougnoul encore dans leur filet. Le problème vient du fait qu’il va rencontrer cela dans les médias racismo-fascismo-laico-franco-sionisto, en sachant très bien les arrières pensées de ses pseudo soutiens locaux qui sont foncièrement anti algériens il faut dormir debout que de croire a la sympathie des colonisateurs aux allures fasciste. (la défaite cinglante, humiliante et historique de la France face a une population de bougnoules (nous les algériens) je tiens a rappeler que le terme de bougnoul était utilisé par les allemands envers le bon français bon de teint citoyen saint de corps et d’esprit de ce petit pays la France a l’origine) de toute évidence le suppositoire fait des siennes et a du mal dans ce corps putréfié qui est fransa. la France cherche a réaliser un rêve colonial, la France cherche a affaiblir l’Algérie? la France des nostalgiques de l’Algérie de papa borgeau et la classe politique n’on jamais pardonné l’indépendance de l’Algérie? depuis juillet 1962, la France entretien des relations avec l’Algérie qui s’inscrivent dans la pensée coloniale. On croit mourir pour la patrie et on meurt pour les néocolonial l’êtes francaoui?. Cordialement.
Mr Mekideche,
Essayer de tenir le baton par le milieu n’est pas opportun. Vous affichez une compréhension maternelle envers un ennemi qui nous évoque des souvenirs atroces pas si lointains , Cette empathie pour Thanatos et cette amnésie fautive qui vous font oublier les cadavres qui jonchaient nos rues, des paisibles citoyens victimes des Fatwa .Tout ca me laisse perplexe. Vous devriez etre intransigeant, intolerant envers tout intolérant. Car Il est ici question de défendre avec une rage carnivore le principe fondamental de la liberté d’expression, ou quiconque ne peut s’attendre a des concessions et au dela une question cardinale dans le terrain des valeurs et des vertus combien meme existentielles.Nous sommes devant deux vertus diametralement opposées,l’une Aristotelienne et l’autre Machiavelique, Eros contre thanatos.
Mr Mekideche, n’oubliez pas que la puissance des ombres et son étendu nous enfonce tous dans l’abime des cavernes.
L’appreciation est une marque de grandeur, j’appécie votre billet.
Ami.
Tenir le bâton par le milieu, moi? Ou vous êtes myope ou je suis imprécis. J’ai condamné l’extrémisme en général et Hamadache en particulier de la manière la plus claire. Relisez les derniers paragraphes.
le titre, puisque vous parlez de caverne et donc vous etes au moins initié à la philo, reflète un choix certain. Être ou néant! Qui est de Daoud ou Hamadache est l’être ( l’existant qui mérite égard ) et qui est le néant qui ne mérite pas égard, celui qui n’existait pas avant et qui n’existera pas après comme je l’ai écrit?
Etre: c’est la fameuse interrogation » être ou ne pas être…. »
Le néant: c’est » après moi le déluge.
J’ai peur que les deux protagonistes arriveront à cela.
Vous savez, des esprits avertis ont distingué l’intérêt général de l’intérêt de tous , le premier peut se tromper , le deuxième jamais. Dans notre cas le « tous » c’est Daoud et ses fans d’un coté, Hamadache et ses fanatiques de l’autre. Quant à l’intérêt général il est celui de l’Algérie en tant que société et en tant qu’état, abstraction faite des égoïsmes individuels ou collectifs. Et cet intérêt là, infaillible, doit transcender Daoud et Hamadeche, vous et moi et tout le reste. Faut-il être plus claire?
Ps. Moi je signe de mon vrai nom et je risque de déplaire, ce qui n’est pas sans risque par les temps qui courent.
mes amitiés
Bai
@M. Mekkideche
Sallamou Allaykum
Heureusement que vous n’êtes pas [le] juge !
Grace à vous et à la video, G pris connaissance des propos [et non pas fetwa] duu Sieur Hamadach. GT pas convaincu des propos rapportés par les médias.
M Hamadache, avec qui je ne suis pas synchrone n’a fait qu’exprimer son opinion politique, avec un argument religieux fondé et légitime, et il faut le rappeler. Ce que vous reconnaissez vous-même (voir votre billet sur BA.info).en affirmant : « Porter la parole de la société, ou une partie de celle ci, est, cher monsieur, un acte politique ».
D’ailleurs, dans ce même billet, vous affirmez : « Si en littérature les mots ont un sens, en droit ils ont en sus, des effets et des conséquences. Ils n’admettent ni synonymes ni para-synonymes. Ils peuvent, dés leur prononcé, être constitutifs de délits et répréhensibles en soi.
C le Prof du Droit qui parle, la messe est dite !
Comparativement à Hamadach, quel est l’argument du journaliste ?
C 1 algerien, 1 compatriote, qui par hétéronomie, pour 1 strapontin, se ligue contre les « siens ». [voir les enfans de chœurs qui le soutiennentet et que vous citez].
Vous vous offusquez : « Tenir le bâton par le milieu, moi? Ou vous êtes myope ou je suis imprécis. J’ai condamné l’extrémisme en général et Hamadache en particulier de la manière la plus claire ».
Pourquoi Hamadache en particulier? N’a-t-il pas les mêmes droits que son compatriote ?
Vous qui etes un homme du « droit », vous l’enseignez même.
Croyez vous que faire appel à la loi algérienne est plus répréhensible que « la falacieuse opinion exprimée » depuis des années par le journaliste ? Cet homme que les fictions et ses fantasmes impressionnent plus que la vérité.
Pourtant vous reconnaissez que : « Kamel Daoud se qualifie de réécrivain. Il a choisi d’écrire « l’étranger » à rebours. D’essayer d’égaler le maitre Camus. De déconstruire nos fondamentaux ; l’islam, la patrie et l’arabité. ». tout en estimant que lui un a des fans, l’autre à des fanatics !
Vous nous rappelez Adam Smith : « Vous savez, des esprits avertis ont distingué l’intérêt général de l’intérêt de tous , le premier peut se tromper , le deuxième jamais ». Le Peuple ne se trompe jamais !
M. Mekkidech, vous n’etes sans savoir qu’il y a des personnes qui ont échangé volontier l’honneur contre des honneurs éphémèrs. Et que C 2 personnages suivent un canevas.
Vous avez dit : « Quel pays au monde, y compris les grandes démocraties, accepterait de soumettre le juge au jugement de ceux la même qu’il a jugé ? Qui dans ce cas est le véritable juge ? ». Tout est dit dans cette formulation.
Il ne faut pas oublier que l’ambition fait souvent accepter les fonctions les plus basses : c’est ainsi qu’on « grimpe » dans la même posture que l’on rampe.
La vie n’est pas un problème à résoudre mais, une chance, une seule, à ne pas rater avec son Créateur.
G titré mon billet ainsi, juste pour rappel au vôtre.
Fratellenement, Sallamou allaykum
DZiri
salame si Dziri.
Heureux de constatez que mes divagations vous intéressent. Que vous retourniez conter moi mes arguments c’est de bonne guerre. J’assume. Mais croyez moi je ne voulais pas etre juge. J’ai voulus mettre dos à dos deux individus qui représentent deux visions de la société qui s’affrontent depuis toujours et qu’on et que l’on manipule de manière cyclique. Et chaque fois qu’on le fait la terre brule. Et quand la terre brule c’est les pauvres gens qui crament, ne disposant pas d’habits ignifuge. Quant aux instigateurs, nous le savant d’expérience,qu’il font vite de quitter le navire, à la première étincelle, pour aller trouver refuge dans le confort chez leurs maitres à pensée qui à Paris, Londres et New York ,qui à Doha, Riade et Manama.
Dans mon billet j’ai réservé un paragraphe à Hamadache, le reste c’est des reproches à K Daoued que j’ai qualifie de » parole serve!! devant Ruquieer ,face au français. et j’ai écrit que » contrairement à Camus il n’a pas hésiter, qu’il a renier et la patrie et la mère, qu’il est ingrat » Et cela m’a couté des reproche de la part de deux amis que je respecte . j’ajoute qu’il n’a pas d’excuse, il est intelligent.
Que Hamadache ai le droit à la parole, mille fois oui. Mais ni lui ni Daoud n’ont le droit de confisquer notre droit de vivre en paix dans un payé apaisé. Ils doivent tous les deux tenir compte de cet impératif catégorique, l’intérêt général et pas le leur ou celui de leurs fans ou fanatiques.Sinon il ne méritent aucun respect pour moi quelque soient leur valeurs intrinsèques.
très touché
tres touché. Merci
Merci Monsieur MEKIDECHE pour cette analyse claire et assez globale. Le citoyen lambda a justement besoin d’être suffisamment éclairé pour pouvoir renvoyer dos à dos et Daoud et Hamadache et faire ainsi échec aux desseins inavouables de ceux qui se tiennent derrière l’un et l’autre. Le commun des Algériens ne saurait cautionner les déclarations (embrouillées et impertinentes) de l’un ou la réaction (brutale et impertinente aussi) de l’autre. Nous devrions pouvoir dire à Daoud et à Hamadache: votre «duel», Messieurs, ne nous concerne pas, sauf si c’est pour nous rappeler la priorité pour nous de secourir notre Ecole, protéger notre Jeunesse et mettre bien à l’abri l’Indépendance et l’Unité de notre peuple.
j’adhère totalement
Salem à Tous et à Toutes…..!!!! Et un Salem particulier à Mr jawad……!!!!
J’adhère totalement aux points de vue de Messieurs jawad et Mekideche A. !! Très perspicace de votre part, Tout y est, je n’ai rien à ajouter….!!!!
Bonne fin de soirée…!
Alakoulihel je suis contre cette fetwa et les menace de mort? Mais cet écrivain est le reflet de ces élites maghrébins francophones et francisées a outrance qui ont remplacé l’ancien colonisateur français un tel ‘mépris affiché pour leurs compatriotes, pour leur langue, pour leur culture, pour leur religion, ne peut être que le fait d’un colonisé ? Il serait pour ces intellectuels, écrivains ect… De ce décoloniser vraiment? Car la colonisation n’est pas seulement politique, elle est aussi culturelle (el ghazw et-taqafi) ? cet écrivain fait partie avec certains écrivains francophiles de service que les médias franco-sionistes adorent inviter pour donner leur avis sur n’importe quel sujet, mais leur sujet préféré reste la dénonciation de l’islam sous couvert de l’intégrisme au nom de la laïcité sioniste, il faut dire que dans ce genre (cirage de pompe) et je dis exactement ce qui va faire plaisir aux franco-sionistes. les écrivains maghrébins comme, wonder la pile qui ne s’use que si l’on sert? Merci.
Salem navajo.w31….!!! Je partage entièrement votre avis, mais entièrement…!!! Contente qu’il y ait une personne qui sait reconnaître les choux à la crème enrobés de chocolat….!!!!! Bien sûr, je parle de la brume de sable qui aveuglent les voyants-aveugles, sans parler des entendants-sourds….!!!!
Je ne sais pas pourquoi, j’ai la nette impression que ce journaliste a connu des déceptions, et il est mal dans sa peau, jusqu’au point de dire : «je ne pense pas avoir de sang musulman et arabe dans mes veines, mais du sang humain tout court. »…ça veut tout dire….!!! Oui c’est vrai, le sang humain est rouge contrairement à celui des arabo-musulmans qui est vert… !! Allah Ghaleb, les goûts et les couleurs ne se discutent pas… !!! Mais je ne sais s’il veut acquérir le grade d’humaniste ou d’universaliste..? Dans sa dernière interview, il a parlé du désir de séduire et revendique le centre du monde, c’est bien tout ça, mais attention à la folie des grandeurs, parfois elle risque de nous perdre…. !!!!
Mais là, où l’on comprend que l’auteur est vraiment hors jeu, c’est lorsqu’il dit « la religion est le mal du monde arabe » « tant qu’on ne tranche pas la question de Dieu, tant que Dieu est important ou dans la sur-interprétation, l’homme devient secondaire…. » Alors là…!!! Qu’est ce qu’il veut au juste…??? Que le Minus Créatus devient Dieu (Astaghfirou Allah)…???
C’est devenu à la mode, ces écrivains de la dernière pluie qui veulent tous obtenir le titre de philosophe à deux sous, comme BHL…!!! Ainsi ils sont invités sur des plateaux TV et reçoivent toute sorte de prix, distribués pour la plupart, par des organismes infestés d’étoiles bleues….. !!!
Dans un article il dit : « L’Islam est à revoir, repenser et redéfinir et à ramener à la raison ou à l’aire de l’intimité ou à déclarer inapte. L’enjeu est notre place et notre utilité au reste de l’humanité qui avance ou qui souffre sans se proclamer le centre du monde ni le « peuple de la vérité »…. !!! Non monsieur, ce n’est pas l’Islam qui est à revoir, ce sont les musulmans qui doivent se revoir dans une glace pour savoir de quelle couleur ils sont… !!!! De quel droit, un Minus Créatus qui n’est rien, puisse déclarer l’Islam Inapte…!!! C’est quoi ce cirque…. ???
Alors, a-t-il un problème avec l’Islam ou les musulmans actuels…??? Car c’est vrai que la situation des Musulmans de nos jours ne reflète pas la réalité du message de l’Islam.
Le déclin de la civilisation Islamique fut entamé, depuis qu’Il y eût une rupture complète entre la vie d’ici-bas et l’au-delà, une opposition qui laissa croire que celui qui voulait l’au-delà devrait se détacher des affaires de ce monde, et celui qui désirait la vie d’ici-bas devrait négliger l’au-delà.
L’Histoire l’a attesté : « La descente en enfer d’une nation est due à la perversion de ses membres, mais aussi à leur manquement quant à leurs responsabilités à l’égard de leur religion. En effet, le défaitisme et l’inaction ne sont pas compatibles avec une foi sincère.
Les Musulmans d’aujourd’hui sont-ils conscients de leur responsabilité envers l’Islam ? Sont-ils conscients que l’Islam ne se réalise dans la vie d’une communauté que par les efforts de ses membres ? Dieu dit : «En vérité, Dieu ne modifie point l’état d’un peuple tant que les hommes qui le composent n’auront pas modifié ce qui est en eux-mêmes….» (13.11)
Mais ce n’est pas une raison pour nous renier afin de séduire l’autre… !!!!
Alors avis aux écrivains en soif de notoriété à bas prix, pour recevoir des prix et/ou adhérer à des Académies, il faut « scier » votre pays, vos concitoyens, votre identité , votre religion et n’oubliez surtout pas de parler du terrorisme et de Daech…!!!! Là, vous serez sûrs d’obtenir un os euhhhhh pardon un prix…. !!! Et le Bonus, ça sera une visite guidée à ladite Israël, comme celle de Sansal…. !!!
Juste une petite chose, navajo.w31, je dirai plutôt la pieuvre du mal néoconservatrice-sioniste-franc-maçon et illuminati par excellence, quant à la laïcité, ce n’est que de la poudre aux yeux ou des virus, pour attaquer l’immunité des gringalets et les dénuder de leur identité et de leurs valeurs, autrement dit, de leur dignité….!!!!
Cordialement…!!!
Ceci dit, je dois dire que je suis contre ce genre de Fetwas et menaces de mort contre une personne, parce qu’elle pense autrement…..!!!! Seul un tribunal digne de ce nom peut juger une personne…!!! Et le jugement dernier revient à Dieu le Très haut…! Il est le Seul Juge…!!! Donc, il faut arrêter avec ce genre de comportement qui sème la zizanie et la discorde dans notre société….! Et puis, ce n’est pas n’importe qui, qui peut produire une Fetwa…..!!!!!
Par ailleurs, parfois avant de vouloir trop philosopher, il vaut mieux commencer par passer chez un psychanalyste…enfin, à toute fin utile..!!
@ cygne, bonjour. la laïcité c’est le respect de liberté de conscience? Le mot laïc vient du latin (laicus) qui signifie commun de peuple, on désigne la laïcité est la fille aînée de Satan? La laïcité liée a la mise en place par l’État français d’un enseignement non religieux (ça veut dire mécréant) aoudoubillah c’est 1881 et 1882 que julles ferry fait voter ces lois sataniques instituant un enseignement public du diable laïc. La laïcité c’est le voile couvrant l’hypocrisie de ces ténors autoproclamés de la laïcité. L’islamophobie explose en France et ces actes d’agression contre les musulmans se multiplient. Le musulman aujourd’hui devenu un véritable bouc émissaire avec tout ce que cela implique stigmatisation, médiatiques, exclusion sociale, victimisation…cet au profit de qui? Des vrais responsables de la crise actuelle, qui ne sont pas musulman? En Algérie chez nous la laïcité une machine de guerre contre l’islam. mais nous les algériens nous ne sommes pas des kouffars ? Le peuple algérien se rattache a la patrie arabe dont il est un élément indissociable se sont ajoutés progressivement a partir de 7e siècle, les autres éléments constructifs de la nation algérienne a savoir son unité culturelle, linguistique l’islam et la culture arabe étaient un cadre a la fois universel et knational. L’islam est la religion du peuple algérien et de l’État l’arabe est langue nationales et officielle. La culture nationales constitue la synthèse de l’expérience collective de la société algérienne tout au long de sa longueur de histoire et elle représente le creuset de notre personnalité dans lequel se sont développés les fondements de notre identité collective, de notre religion musulmane, de notre langue arabe, de notre eppartenance a la civilisation arabo-islamique je et de notre patrimoine culturelle. Les dialectes (l’arabe dialectel et le berbère) ne doivent pas être opposés a la langue noble nationhala arabe. la-illaha-il allah wa sidna Mohammed al Mustapha rassoul Allah. Cordialement.
C’est la nostalgie qui refait surface comme une bizarre addiction a la décadence, a l’échec , a la vulgarité. le sentiment que cet imam autoproclamé revient de loin, sans jamais avoir vraiment voyagé.
Quel remede pour ces hallucinations perpetuelles qui,en realité maquillent un trajectoire horriblement mediocre dans tous les domaines, le clergé compris? De la destruction méthodique de tout potentiel scientifique, littéraire, économique et culturel ? de cettte grandiloquence religieuse qui ne fait que produire des guerres, misére et désolation ?
Notre monde se divise paisiblement en deux mondes incompatibles et inconciliables.L’un oppose le sabre au verbe ,l’autre le verbe au verbe .la réthorique des armes face l’arme de la réthorique, les lumieres face aux tenebres !!!
J’ai été particuliérement éstomaqué de lire les jugements de valeurs et les procés d’intentions cités dans moult billets ; Mais la recurrence du mot « hérésie » et le qualificatif « mécréant » accolé a Kamel Daoud avec la délicatesse d’un décapiteur Daeshois, illustrent les limites intellectuelles émasculantes de ces braves gens et invitent les cranes scéptiques a poser davantage de questions sur les relations incestueuses entre l’autorité politique corrompu et son bras droit, l’institution religieuse et sur l’entremelage des interets politiques et religieuses au detriment du petit peuple.Seul K Daoud a pu , su défendre, jour aprés, chronique aprés chronique les interets et les aspirations supremes de ce peuple sous le regard menacant de la coterie politico.religieuse
vous donner trop d’importance a cet individu ? ce pseudo ectrivain de la dernière pluie, qu’il demande …. Retiré par ADM