La chasse aux Russes continue. Délires et obsessions occidentales.

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La volonté de bannir la Russie et les Russes des pays occidentaux impliqués dans le soutien à l’Ukraine prend des proportions hystériques, obsessionnelles. (Lire plus bas ce qu’il en est du drapeau russe à l’Open d’Australie de tennis)

A ce prix, pourquoi ne pas interdire le drapeau russe partout, (y compris chez les industriels et marchands de signes nationaux : drapeaux, écussons, emblèmes, fanions, timbres poste…) sur les ambassades et représentations diplomatiques russes ?

Et pourquoi ne pas aller jusqu’à interdire ces représentations et rompre totalement avec la Russie ? Ce ne serait que la suite logique d’un processus fou puisqu’ils ont interdit, les vols, les survols, les importations et les exportations, la monnaie, les touristes…

On peut aussi effacer les mots « Russie », « Russe », « Moscou »… des dictionnaires et des œuvres littéraires qui en usent, réécrire les Accords et Traités qui les comportent après les avoir dénoncés…

Pourquoi ne pas décréter que le continent européen s’arrête aux frontières des pays baltes, de la Pologne, de la Finlande… qui érigent d’ailleurs des barrières infranchissables entre les civilisés et les barbares. Une sorte de nouveau mur d’Hadrien.

Les opposants russes qui ont fui de l’autre côté de ce « mur », croyant être accueillis à bras ouvert comme démonstration que « le régime poutinien » est abominable, se rendent compte qu’ils sont soumis aux mêmes traitements que leurs concitoyens qu’ils ont laissés de l’autre côté de ce nouveau « Rideau de fer ».

Ils souffrent du traitement habituel réservé aux harkis : « qui a trahi trahira »…

Tous ces supplétifs, sous quelques formes qu’ils se présentent, n’ont pas compris que c’est dans « leur pays » qu’on les veut pour fout… la m… C’est pour ça qu’on les a recrutés.

Ils n’ont rien à f… « chez nous » où ils ne servent à rien sinon à « siphonner » et parasiter les budgets sociaux qui accusent déficits et endettement.

C’est pour ça qu’ils ont été abandonnés sur les quais en 1962 ou dans les centres de transit pendant des décennies pour ceux qui ont réussi à se glisser entre les valises et les ballots.

Jetés après usage.

A l’exception de ceux qui se sont barrés avec la « caisse », cela tombe sous le sens.

En attendant, la chasse aux Russes continue…

Les citoyens européens et nord-américains ont-ils connaissance et conscience du monde dans lequel leurs dirigeants les enferment à petite touche ?

Djeha, mardi 17 janvier 2023.

Pas de drapeaux russes et biélorusses à l’Open d’Australie

Le Monde, mardi 17 janvier 2023, 07:20

La Fédération australienne de tennis a interdit mardi les drapeaux russes et biélorusses à l’Open d’Australie, donnant suite à la requête de l’ambassadeur ukrainien, qui demandait que des mesures soient prises après qu’ils ont été aperçus dans la foule.

Dans un communiqué, la Fédération australienne a précisé que l’interdiction prenait « immédiatement » effet. « Notre politique initiale était que les fans pouvaient les apporter mais ne pouvaient pas les utiliser pour causer des perturbations », a ajouté Tennis Australia.

Le drapeau russe a été vu lundi au premier jour de l’Open d’Australie, lors du match du premier tour opposant l’Ukrainienne Kateryna Baindl à la joueuse russe Kamilla Rakhimova. Dans les tribunes, des supporteurs ukrainiens avaient alors appelé les services de sécurité et la police à réagir. Un drapeau russe a également été aperçu dans la Rod Laver Arena lors du match entre Daniil Medvedev et l’Américain Marcos Giron.

L’ambassadeur d’Ukraine en Australie et en Nouvelle-Zélande, Vasyl Myroshnychenko, avait appelé lundi la fédération australienne à prendre des mesures. « Je condamne fermement le déploiement public de drapeaux russes pendant le match de la joueuse de tennis ukrainienne Kateryna Baindl à l’Open d’Australie »a-t-il fustigé sur Twitter, ajoutant qu’il appelait la Fédération australienne à faire respecter la « politique de “drapeau neutre” ».

De son côté, l’ambassade russe en Australie a fustigé cette décision, y voyant un « autre exemple de politisation inacceptable du sport ».

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