Partialité pour le Master de Français : Mise au point de M. M A

D’emblée, je vous informe que je n’ai nullement l’intention de me justifier. C’est surtout dans le but d’éclairer toutes ces lanternes que je suis venu. Il est utile de rappeler que les auteurs (es) de ce document, en s’attaquant à moi (M. M. A), ont une terrible envie et une mauvaise intention de nuire à ma personne. Le travail n’est pas le propre à M. M. A. Il s’agit d’un travail de presque un mois (étude des dossiers et choix des candidats suite à une circulaire ministérielle émanant du ministère), réalisé par une commission pédagogique (présidée par M. le chef de département), sanctionné par un PV co-signé par l’ensemble des membres de la commission. Tout ce qui a été dit et rapporté dans cet écrit est faux, mensonger et diffamatoire. Il s’agit d’une pure création imaginaire de certaines personnes que je ne peux qualifier.
– La liste n’a jamais été faite dans une cafétéria (il s’agit de l’avenir de nos chers enfants et le travail a été réalisé par des enseignants sans reproches et sans antécédents).
– Il est dit que M. M. A a eu un avertissement l’année passée ??? (jamais durant toute ma carrière, je n’ai été ni mêlé à une enquête, ni convoqué par les instances concernés, ni averti ou blâmé comme le prétendent celles ou ceux qui ont écrit ce document). D’ailleurs, il y a un Doyen au niveau de notre faculté, il peut certainement apporter la preuve.
– Tous les dossiers ont été traités et aucun candidat n’a vu son dossier rejeté (d’ailleurs ceux qui se sont précipités à vouloir me salir, auraient du attendre que la commission pédagogique étudie les recours d’abord). Je confirme qu’il y a vraiment une intention de nuire à la personne de M. M. A alors que tout ce qui a été fait (je le confirme aussi) l’a été par les membres d’une commission.
– Ces gens prétendent aussi que M. M. A a imposé des critères. Jamais et au grand jamais. Nous avons fait un classement préliminaire puis nous avons été destinataires d’une circulaire (par le biais de M. le vice Recteur chargé de la pédagogie) sur laquelle nous nous sommes basés pour traiter les dossiers.
– Ce qui est grave, c’est que ces gens (auteurs (es) du document refusent que des personnes âgées de 50 ans soient admises au Master (je trouve que c’est aberrant !!!! Aucune loi ne peut interdire à ces personnes un tel droit). Il est aussi mentionné, dans ce document fallacieux un terme pas du tout digne d’un instruit ou d’une instruite (le terme dans son contexte : ne laissons pas les … de l’établissement prendre des notes faciles….). il y va de la crédibilité de la faculté.
– On traite M. M. A d’un empire (quelque part oui mais un empire de bonne éducation, ayant toujours dénoncé les corrompus, ayant toujours refusé les magouilles, n’ayant jamais marché dans certaines combines, ayant bloqué la route à des gens malintentionnés). Toute une ville me voue respect et considération. Fier de mon éducation et de tout ce que j’ai fait pour les autres. Quant aux uns, nous avons rendez-vous devant le procureur de la république et si vous en avez des preuves, ramenez-les. Une plainte a été déjà déposée.

Sans rancunes
M. M. A

(3 commentaires)

  1. Bonjour
    Les deux parties protagonistes ont donné chacune leurs points de vue sans nous convaincre car les preuves n’ont pas été publiées, malheureusement. Au moins dans les dénonciations de l’étudiant Baki et l’affaire de la fac de médecine, “les choses” étaient évidentes: les PV de délibération étaient publiés.
    Dans cette affaire de Master de français, la justice sera saisie en espérant qu’elle sera “juste” comme son nom l’indique.
    En effet, monsieur OMEGA, nous en tant d’observateurs externes aimerions connaître la vérité tout simplement car cette université semble être une caverne d’….ET ses multiples “fraudeurs et voleurs”. Chaque jour, on y découvre des malversations, des trafics, du népotisme et et et ….
    Quant à la rhétorique des étudiants, je vous prie de ” laisser le couvercle sur le puits” (khali bir be ghtah) car c’est un autre débat qui engage tout le système d’éducation de notre pays.

    1. Bonsoir,
      Vous avez parfaitement raison, Madame Abbassia.
      Nous ne devons pas préjuger des tenants et aboutissants entre les principaux concernés dans cette affaire, dès lors que la Justice vient d’en être saisie. Attendons donc ses conclusions définitives pour être valablement éclairés et fixés.

  2. Monsieur M.A. a exercé son droit de réponse et s’honore ainsi d’apporter sans tarder quelques éléments de réponse à ce qui semble être une nouvelle polémique naissante à l’UDL de Sidi Bel Abbès.
    Cette nouvelle affaire appelle cependant quelques commentaires.
    Tout d’abord, au plan de la forme, j’avoue honnêtement qu’à la lecture de la lettre de la plaignante, j’aurais eu quelques scrupules à prononcer l’admission de cette personne à la dite formation, et cela sans préjuger de la valeur de sa copie d’examen, puisque son écrit ne comporte pas moins de vingt deux fautes de français partagées entre fautes d’orthographe, de syntaxe, de concordance des temps, d’expressions inexactes,…., et dont j’éviterai au lecteur la fastidieuse énumération.
    Certains me rétorqueront que le français n’est pas notre langue maternelle, ce dont je conviens, mais je considère qu’arrivé à ce niveau supérieur d’apprentissage d’une langue étrangère, c’est inadmissible de tolérer des erreurs et lacunes pareilles. C’est comme si un mathématicien de la NASA faisait des erreurs élémentaires d’addition et de soustraction dans ses calculs!
    De même, je n’ai pas plus apprécié la vulgarité de l’allusion à la péripatéticienne pour l’obtention des fameuses notes, d’autant plus que ce qualificatif provenait de la part d’une représentante de la gente féminine, dont la plume aurait gagné à être empreinte de plus d’élégance et de délicatesse.Pas plus que je n’approuve la discrimination pour l’accession au savoir faite à l’endroit des postulants de plus de cinquante ans! Soit. Je suis peut-être vieux jeu. Autres temps, autres moeurs!
    Toutefois,nonobstant les arguments apportés dans sa réponse par Monsieur M.A. et sur lesquels je me garderai de faire un quelconque commentaire puisque je porte un regard extérieur à cette affaire, il me semble, et cela à la décharge de l’étudiante, qu’il y a un aspect de cet argumentaire qui pose question :c’est précisément celui des critères. Il est dit notamment ci-dessus ” Nous avons fait un classement préliminaire, puis nous avons été destinataires d’une circulaire (….) sur laquelle nous nous sommes basés pour traiter les dossiers”.
    Cela induit qu’il y a eu deux sortes de critères :
    – les critères qui ont présidé au classement préliminaire des dossiers ( lesquels? d’évaluation des dossiers? d’examination? etc…)
    – les critères de la circulaire intervenus par la suite pour le traitement des dits dossiers (là aussi, lesquels?..).
    De mon point de vue, c’est cette façon de faire, et que les juristes qualifieraient de “vice de forme”, qui me semble être à l’origine de ces malentendus et contestations. C’est comme si on changeait en cours de route les règles d’un jeu dont on avait préalablement fixé les règles.Ce qui est discutable en soit.
    Il aurait été plus judicieux, avant de lancer la dite formation, que les responsables pédagogiques fixent et publient préalablement l’ensemble des critères de candidature, de sélection, d’examination et de délibération qui auraient été portés en toute TRANSPARENCE à la connaissance de l’ensemble des candidats pour éviter toute contestation.
    Peut-être faudrait-il que l’administration du département de français puisse éclairer davantage les simples citoyens que nous sommes sur cet aspect du problème.
    Quoi qu’il en soit , toutes les grandes écoles dans le monde ne doivent leur notoriété et leur rayonnement que par la rigueur de leur administration, la transparence de leur gestion, et la constance dans leur fonctionnement, sans chamboulements intempestifs de critères et de conditions des cursus pour assurer la pérennité de la formation, tout en apportant dans les contenus des enseignements les adaptations et les correctifs suscités par l’évolution et le progrès des connaissances.

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