Mon inspiration pour cet article, m’est parvenue grâce aux interventions de Messieurs Akkou et Abbès qui à travers leurs commentaires, combien visionnaires, m’ont orienté, vers la prospection au sein du sujet et ses dysfonctionnements que nous ne cesserons d’en exprimer nos vomissements en raison de leur tacite reconduction. Combien parfois ces situations dramatiques paraissant, comme voulues en des périodes ou peut-être les raisons, sont les récoltes de futures voix. Certains que nos fidèles commentateurs, expriment leur inquiétude et leur amour pour leur ville, que des élus et responsables de structures semblent en faire un objet de convoitise personnel au mépris, de ceux qui n’ont que leurs yeux pour pleurer..
Je voudrais, une tête pensante, une oreille et une bouche auprès desquelles, me délivrer de cette question qui me ronge ! A qui incombe la responsabilité de cet envahissement de nécessiteux et de ceux, qui prétendent l’être dans cette zone de géographie de notre ville que l’on pensait servir pour d’autres expansion industrielle ou touristique, mais l’absence d’une vraie politique de la ville a favorisé le développement de l’habitat « non réglementaire », ou « gourbis » ou « bidonvilles » où une importante population venue très souvent d’horizons inconnus, s’apprête à s’entasser dans les taudis qui vont s’étendre de plus en plus dans les périphéries, au point d’empiéter sur les terres agricoles .
Arrivé sur les lieux, l’on m’invitait à pénétrer, et constater de par moi-même,, leur nouvelle résidence, des parcelles de lot dument tracées pour chacun d’entre eux, des maisonnettes déjà construites et ces plus démunis ou ces « occasionnels » qui possédaient à l’intérieur des gourbis en roseaux et toiles cirées, mais ce qui attirait beaucoup plus mon attention et créa en moi la peur, fut une plaque de signalisation, « Danger-Interdit de Fumer » avisant qu’à tout moment, la négligence ou « l’action volontaire » pouvaient causer la catastrophe. C’était « la station-Relais de gaz » (Sonelgaz ou Sonatrach) située derrière le bosquet de l’hôtel Béni-Talla et que le bidonville cachait.
Je me disais alors, que ceux qui ont réfléchi à l’installation de ce bidonville dans cet endroit précis, avait songé à la gravité supposée de la « Bombe » que les taudis entourait et de l’impact qu’elle pouvait créer auprès des autorités et également , ils ont pensé à la « vue » qu’il offrait aux probables touristes de l’hôtel Béni tala. Ce merveilleux hôtel inviterait son patron à exiger le retrait bénéfique de cette catégorie de la société « Sans logis »
Ces urbanisables qui s’engagent à résister aux pouvoirs publics sont des individus venus pour obtenir grâce à cette manière de persuasion, un logement et mes yeux ne se sont pas trompés, j’ai vu sortir de leurs voitures neuves, les envahisseurs de « la cité des clous », j’ai déduit que les vrais nécessiteux ,dont le nombre au départ était réduit, ont ouvert la portes, aux faux nécessiteux, aux spéculateurs et autre maux, qui s’annoncent dans cette partie de la ville que les autorités prévoyaient pour autre chose surement
Où se trouvait -il notre Maire lorsque quelques champignon délogeables naissaient dans cet endroit ? Que faisaient ses services pour évacuer cet envahissement illégal d’un monde qui actuellement défit l’état ? N’avait-il pas eu connaissance qu’une gangrène pourrissait le paysage quelque part dans la ville ? Ou alors, es-ce-que cet état de chose fait partie du plan conçu en prévision des futures élections ?
Pourquoi que dans des situations semblables les décisions deviennent lentes à prendre par l’ensemble des hauts responsables qui dirigent notre ville ! L’on dirait qu’ils sont incapables de trouver les solutions à ce problème dans son début ! M. le Maire attend l’aval de M. le Wali. Mr le Wali attend à son tour l’avis de Messieurs les ministres ou alors l’avis de M. le chef du gouvernement ou alors celui de M. le Président de la république- Dans ces cas, les téléphones rouges ne fonctionnent plus !
Je ne peux qu’exprimer de la stupéfaction devant la naissance de ces champignons, prenant une dimension galopante et à la vue de cela, je me répèterais, que cette opération a été murement étudiée et préparée avant d’être lancée. Il fut décidé par ceux qui prirent en charge cette scandaleuse opération
Aucune ville comme Sidi-Bel-Abbès, en Algérie, n’a peut-être bénéficié d’autant d’avantages en logement par rapport à sa population. Cependant « les magouilleurs », « les spéculateurs » et autres vils personnages sont la cause de ce qui se produit en mal, chez nous et qui malheureusement ne servent que ceux qui ne craignent point l’Etat et les lois, en agissent contre l’ordre public !, Quel type d’Algériens sont-ils ? »
Quand aux citoyens qui sont réellement dans le besoin, ils demeureront toujours les mal servis, parce qu’ils agissent selon ce que recommande la loi et tant pis pour eux, notre administration leur exprime à chacune de leur sollicitude des difficultés. Et parce qu’ils refusent le désordre, ils subissent les conséquences d’une bureaucratie qui ne tolère pas le correct mais préfère l’incorrect.
L’honnête citoyen respecte les lois, mais en les respectant il est bousculé par celui qui n’est pas honnête- Parce que je le précise, il existe des citoyens honnête et respectueux de l’état et des citoyens malhonnêtes qui déstabilisent l’ordre des choses pour s’enrichir davantage et obtenir des avantages
Cette catégorie d’individus qui osent s’opposer à l’état par les menaces et le désordre est créée par l’absence et l’indifférence de l’état et sont parvenus au stade de s’affronter à des maires ! Oui c’est vrai que nous avons des maires corrompus ! Oui c’est vrai que nous avons des maires injustes ? Oui c’est vrai que nous avons des maires nullement responsables vis-à-vis de leurs citoyens ? Oui c’est vrai que certains maires ont mis le paquet pécuniaire pour bourrer les urnes qui les ont placés ? Mais nul n’est en droit de s’opposer par les manières fortes et les menaces au premiers responsable de la localité !
La citoyenneté comment se mesurerait-elle dans ces situations, ou le citoyen profite des conditions internationales qui font douter sur le devenir, pour régler leur montre au cadran de la déstabilisation qui peut permettre de faire obtenir des avantages exceptionnels mais dans cette situation certaines institutions de l’état contribuent directement ou indirectement à faire partie de la partie.
Je tente de vous en parler mais il m’est vraiment difficile de trouver des expressions suffisamment puissantes pour présenter la situation quotidienne des nécessiteux que nous supposons, ceux qui réellement se trouvent dans le besoin d’être relogés. Et pour trouver des réponses cohérentes sur le problème que pose malheureusement la condition de vie de beaucoup de citoyens qui continue à se dégrader davantage, mais nous devons être conscients que parmi eux, il existe des intrus.
Aujourd’hui, encore, et une fois de plus, les autorités qui se trouvent confrontés à ce délicat problème, essaient de revoir les stratégies pour tenter d’éradiquer ce fléau, qui à chaque fois apparait en force, en raison, bien entendu de l’absence de l’APC et de la police de l’urbanisme et de l’environnement qui n’accomplissent pas leurs missions des l’apparition du mal qui va s’étendre…Et cette autorité qui construit des logements prétendus sociaux et qu’elle attribue aux cas supposés être dans le besoin, pour que ces derniers continuent à maintenir le cap de la corruption, qui ne faudra jamais cesser, et continuer à perpétuer , car c’est la raison de vivre de beaucoup de corrompus. Notre constatation sur le terrain a beaucoup à dire à ce sujet.
Refusant d’être trop pessimiste, cependant l’expérience des fois passé révèle que ces types de stratégies ayant pour objectif de « réduire » les sans logement n’arrivent pas ou assez souvent, à la destination finale. Les mal logés se plaignent parce que leur situation du point de vue socio-économique se détériorent, Cet état de détresse que les envahisseurs, nouveau habitants de bidonville, baptisé « Cité des Clous »
Les conditions sanitaires et de vie s’annoncent comme déplorables et les habitants vont en souffrir notamment par de graves affections, La pollution de l’environnement de cet endroit deviendra si la situation persiste, un problème de santé publique et de sécurité qui devra être rigoureusement suivi… Aussi, les difficultés existent au sein des bonnes volontés des structures de l’état qui désirent changer la condition de vie de ces concitoyens, en difficulté, sachant qu’ils se demandent à chaque instant s’ils verront un jour, le jour d’être relogés et jouir avec leur famille du bonheur que procure la sécurité d’un toit, de la remise en état de leur santé physique et morale.
Les approches sur ce fléau suscitent pas mal de commentaires du côté des Bel Abbésiens, tant chez les gouvernants que du côté des gouvernés. Bon nombre de personnes disent que les sans logements sont les artisans de leur propre malheur, parce qu’il l’on voulu volontairement faire face aux difficultés de toutes sortes, en particulier, intempéries, problèmes d’eau et de sanitaire, insécurité, communication, santé, etc. ?
Lorsqu’on essaie d’identifier les causes de l’apparition systématique, en différents endroits de la ville de ces bidonvilles, et de la situation socioprofessionnelle de leurs locataires en particulier, l’on comprendra qu’il est difficile de trouver certaines pistes de solutions dans la démarche de la lutte contre ce problème. Ces gens deviennent vraiment réticents à partager des informations, par crainte de dévoiler la vraie nature de ce qu’ils sont
La démolition devrait se faire et les enquêtes sur les gens qui ont pris place également, parce qu’il serait injuste, de toujours blâmer l’état, comme « état arbitraire », parce que certains citoyens sont également, des « citoyens de l’arbitraire » en osant défier les institutions de l’état censées rester dans le cadre permettant de sécuriser le citoyen et ses biens- Quand à ce citoyen de l’arbitraire, il ne songe qu’à se faire des affaires, avec les verreux qui se trouvent au sein des institutions de l’état.
Mr Benkhelouf à travers vos articles mon influence révise l’histoire de cette merveilleuse plaine depuis sa création d’après certaines sources nous avons appris que Sidi-Bel Abbés fut construite qu’à travers ses environs l’installation des villages qui l’entourent sont le poumon respiratoire de son économie l’actualisation du progrès a été conçu à partir de ses caractéristiques qui ont mentionnés une concertation avec les collectivités qui ont mis en œuvre un programme étudié , combiné qui a donné un résultat autour de la ville (ses environs) et donner un moyen d’évolution vers la belle cité une analyse statique aujourd’hui ce n’est pas le cas l’exode rural a crée de grandes cités tertiaire a perturbé systématiquement l’économie de la région donc le programme d’une wilaya pilotes n’a fait qu’alourdir la situation qui est devenue maintenant désespérante tous verse sur l’oued Makerra même les assainissements les statisticiens ont montés le baudet à l’envers tout le monde est venu s’installer un eldorado sans source . cette euphorie a crée tous les fléaux qui ne cesse de générer de jour en jour .C’est l’heure du DOHR c’est ma priorité. .