La volonté des hommes, des êtres pour ne pas omettre d’inclure la femme a démontré à travers les temps qu’elle est la clé des percées des mystères. Elle vient de prouver aujourd’hui à travers une détermination symbolique des hommes d’associations civiles de sidi djillali que, désormais, rien n’est impossible.
OURED ABBES – CHADLI AHMED- TALEB- FLIH- MAHDJOUB- ZOUGAR- BOUZEFRANE ET LAOUFI, huit hommes ont réussi à s’unir autour d’une population assoiffée de changer son milieu de vie en agréable.
Il suffit d’y être pour conclure que ce n’est pas d’un simple volontariat habituel qu’il s’agit mais d’un mélange qui symbolise un éveil réel, une prise de conscience générale à prendre son destin entre ses mains pour décider se qu’en faire.
Tout à commencer depuis la dernière réunion du chef de daïra et président de L’APC avec les associations au siège de la mairie, et depuis, la société civile s’est impliquée dans ce mouvement d’une façon jamais vue auparavant. Hommes, femmes enfants, chacun, à sa manière. Tout le monde participait, c’était une vraie fête bien réussie.
La télévision a répondu à l’appel. L’algérienne des eaux était présente. La venue du wali a coloré davantage cette union autour d’une idée commune pour une ville meilleure. Des you-yous de joie et bon accueil, de la seffa (couscous) avec petit lait, le wali a été très satisfait, même ébloui, jusqu’à promettre une somme de 200 millions de centimes pour l’embellissement de la cité en guise de reconnaissance aux efforts et à la sérénité de ces associations.
Les présents ne manquaient pas de profiter et saisir l’occasion pour exposer leurs problèmes séparément et comme ils sont nombreux ! … mais le wali était très persuasif et direct en répondant à chaque fois qu’il est tout disposé à apporter son aide dans le cadre du possible sans manquer de frapper à toutes les portes.
Un jeune, dans la foule qui travaillait en qualité de vacataire comme préposé à la distribution à la poste et qui s’est fait “dégagé” injustement après plus de deux années de loyaux services, c’est réjoui d’une occasion en or pour demander à M. Fehim que la cité des 400 logements manque de facteur.
Par hasard le coordinateur était présent. Selon les locataires, ce responsable a complètement nié cette réalité que les locataires confirment en bloc devant le wali. Le chef de l’exécutif instruit alors au moment même, le coordinateur de la poste à régler le problème et de revoir le cas de ce jeune pour un probable recrutement que le coordinateur a tout de suite promit.