Après une dizaine de jours du mois sacré du ramadhan, la ville de sidi bel abbés est comparable à un désert culturel ou aucune activité culturelle n’est annoncée. Du coté du théâtre régional on annonce la fermeture pour des travaux d’aménagement; donc aucun programme du moins pour le moment n’est affiché sur la façade de ce site. A la direction de la culture, c’est le congé du premier responsable du secteur qui pénalise toute initiative de programmation locale à l’exception d’un timide programme dicté par L’OREF et le ministère de la culture qui signale t- on devrait se tenir à la maison de la culture Kateb Yacine. Par ailleurs l’important acteur appelé à s’investir qui est la municipalité est demeuré confiné dans un silence assourdissant. La commission culturelle de l’APC n’a fait connaitre à l’opinion publique aucune volonté de sauver la face pour le restant du mois de carême. les raisons invoquées relèvent du manque de moyens financiers. Mais en réalité, c’est la nonchalance affichée par un
exécutif de l’apc en panne d’imagination. Le comité des fêtes pris en otage par le maire, dispose d’une manne financière de plus d’un demi milliard de centimes croit-on savoir. Nous y reviendrons plus en détail sur ce sujet brulant entaché de dépassements. Face à ce désert culturel inquiétant le, MAC continue à se cantonner dans un « Haouch » du mythique quartier « el graba »ou de conviviales activités artistiques et culturelles sont tenues dans un climat bon enfant.