DÉCÈS DU JEUNE MOKHTARI BRAHIM AU CHU DR HASSANI :Sa famille demande l’ouverture d’une enquête

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Un jeune homme âgé d’à peine 25 ans a rendu l’âme mercredi dernier au service de médecine interne, ex 9ème, du CHU de Sidi Bel Abbès «dans des conditions obscures» selon les propos des membres de sa famille qui ont contacté la rédaction du journal. Nos interlocuteurs visiblement effondrés par la perte d’un être cher, ont évoqué un problème de manque de prise en charge du jeune Brahim qui a du souffrir en raison du manque de disponibilité du personnel médical avant de rendre l’âme dans le silence.
« On ne sait pas de quoi est mort notre frère », n’a-t-on pas cessé de le répéter. Il a été admis il y a trois mois pour une histoire de ponction d’un liquide, il s’est rétabli avant de rechuter il y a quelques jours, nous a-t-on expliqué avec amertume. Durant son séjour à l’hôpital,plusieurs diagnostics auraient été prononcés par des médecins sans que la famille n’arrive à connaître la véritable maladie qui a emporté à jamais le jeune Brahim.
Devant cet état de fait, à priori rocambolesque, la famille du défunt revendique l’accès au dossier médical avec l’ouverture d’une enquête pour élucider les véritables causes du décès pour soulager un tant soit peu la famille en deuil. On apprend qu’une plainte serait déposée pour délimiter les responsabilités.
Il convient de retenir quele CHU de Sidi Bel Abbès qui ne lésine pas à dépenser des fortunes pour le look, serait miné par un personnel médical et para médical dont la conscience professionnel et le serment d’Hypocrate ne sont que théorie sans aucun impact sur la pratique quotidienne.

T. El Abbassi

5 Replies to “DÉCÈS DU JEUNE MOKHTARI BRAHIM AU CHU DR HASSANI :Sa famille demande l’ouverture d’une enquête”

  1. Bonne reflexion mr le cygne
    Mais parler de reforme de ce secteur en se basant sur ta reflexion khaldouniéne,
    Je pense meme harvard sera dans l’embaras….dans certain etats en amerique on exige au moins un membre de la famille qui soit un ex madecin ou proche pour pouvoir s’inscrire en medecine, je l’ai lu quelques part a verifier donc..
    Moi je vois la reforme de la separation entre la medecine preventive et la medecine clinique..seulement si j’introduis le concepte de la medecine preventive je vais me heurter a des loobie d’argent, il y aura un conflit d’interets, c’est comme l’euthanasie, tu acheve le malade condamné ou le soigner?…
    Nous sommes actuelemnt en algerie ni dans un systéme liberal ni dirigé..
    Le medecin chez nous veut faire de l’argent dans le liberal mais comme la chose n’est facile dans le systeme liberal il veut garder un pieds dans le liberal et un pieds dans le socialisme…si on continu dans l’ex systeme classique de la medecine on va arriver a une sitiation ou le nombre du personel medical tout coprs co’fondu est superieur au nombres des malades..c’est comme la situation de certaine specialité ou le nombre d’enseignants dépasse celui des etudiants, ce cas va produire des dérives dangereuses et incontrolable comme une pneumologue faute de malade va faire gastro en usant de la force en se partage le bureau du gastrologue…ça doit arriver un jour ils n’ont pas le choix..c’est la crise

    1. Mr y.bouterfas , c’est Mme Le cygne….!!!! Au fait, j’avais une camarade de classe au CEM qui s’appelait Bouterfas, mais je ne me rappelle plus de son prénom, dommage…!

      Vous parlez de l’euthanasie, c’est à dire l’art de tuer un malade….!!! Là c’est un autre débat, en principe pour les musulmans, ce problème ne doit pas exister….!!! Et ce n’est pas la peine de trop philousopher là dessus, car tuer est synonyme de tuer, assassiner, supprimer…ect…..!!! Ah! ils sont fort dans les jeux de mots…!!!! Mais il n’y a pas que des dupes de l’autre côté de la barrière….!!!!

      1. Mme la cygne c’est mieux
        J’ai cité’le probleme de l’euthanasie seulement pour montrer les enjeux economiques pas phylosophique ou religieux..
        Je m,explique..pour une clinique plus le malade est chez elle plus elle reçoit d’argent, donc l’euthanasie n’entre pas dans ces interets, la meme chose pourle vendeur de medicament, plus le malade est en vie plus on lui achéte des medocs…le probléme de la medecine n’est pas uniquement religieux mais socio economiques…”des fois on doit taper fort sur la table on disant STOP. Ou allons nous? Et cela dans tous les domaine pas uniquement en medecine..
        Beaucoup de chercheurs n’ont pas voulu publié leurs resultats de recherche car il n’ont pas trouvé un seul pays developpé qui soit musulman qui craint Dieu. D’apres le coran si on offre un savoir, un produit, un service sans pouvoir controler son usage on est complice”.par contre.”si on offre de faux resultats toute la chaine qui a utilisés tes fausses donnés seront marqués sur ton dos”..
        Des fois on tombe devant des situations terribles..ça arrive a tout le monde…il faut assumer

  2. Je présente mes sincères condoléances à la famille, aux proches et amis du jeune Brahim en les assurant de ma profonde compassion….!!! Inna Lilahi wa Inna Ilayhi Raji3oun…!

    Encore, une bavure, un laisser-aller, une négligence, une incompétence, un manque de moyen, une mauvaise gestion, une indifférence, il y a de quoi avoir la rage….!!!!

    Quand est ce qu’ils sauront enfin qu’ils ont à faire à des êtres humains et non à des cobayes de l’espèce animale et encore, même les animaux ont des droits….!!!
    Où est ce qu’ils ont été élevés et éduqués, où est ce qu’ils ont été formés, comment et par qui…???

    “En médecine, le cabriolet est plus nécessaire que le savoir. ” (Balzac)

    Certes, la médecine est une pratique, une science, une technique, mais c’est aussi un art et une affaire de talent….!!!! Elle a une étendue éthique qu’il est essentiel de percevoir pour pratiquer une bonne médecine et prendre soin de la santé du malade..!!!!

    Et puis ces médecins et ce corps médical sans aucune conscience aiment ils leurs métiers ou l’ont ils choisi seulement pour le titre, l’argent ou autre chose…??? S’ils l’aiment, ils doivent savoir que c’est un métier qui signifie art, noblesse et sacrifice pour le bien de l’humanité, sinon retournez à l’écurie ou au garage pour réparer les voitures, car l’hôpital est un lieu sacré….!!! Donc, Machi ‘Men Habba Wa Dabba’ est capable d’assurer…….!!!! Puuuufffffffffff…! Parfois, lorsqu’on entend et on voit la façon de parler d’un médecin ou d’un(e) infirmier(e), on a envie de déguerpir ou de gueuler….On se croirait dans un………???

    “Un jour viendra où le principal avantage d’apprendre la médecine sera de se protéger contre les médecins. ” ( Jacques Ferron )

    “Dans la théorie khaldunienne de la société, le développement des arts (c’est-à-dire des métiers dans la terminologie de l’époque) et des sciences correspond, au plan humain, à la perfection de la nature spirituelle de l’homme, et au plan social, au stade ultime du passage progressif de la société de l’ordre rural à l’ordre urbain. La coupure entre monde rural et monde urbain est conçue comme une conséquence naturelle du passage du «nécessaire» au «superflu», du «simple» au «complexe». La société rurale, qui se satisfait du nécessaire, ne cultive que les arts les plus simples, comme l’agriculture ou le tissage; elle ignore l’écriture et les sciences et, lorsque parfois quelques uns de ses membres s’intéressent à ces choses, ils ne peuvent jamais y atteindre la perfection. Dans les villes, les arts et les sciences se développent avec l’expansion et la diversification de la production, l’augmentation de la richesse, l’apparition du goût du superflu et du luxe .

    “Selon notre auteur, une ville accède au statut de cité quand le bien-être atteint un degré certain. Comment reconnaître cette situation? Par la multiplicité des arts qui existent dans la ville, donc par ce que l’on pourrait appeler le progrès. Toutefois, tous les arts ne se valent pas. Il y a des arts vulgaires et des arts nobles. Ces derniers sont ceux qui permettent à l’homme d’atteindre sa perfection. Ibn Khaldoun en distingue trois.

    Le premier est l’art de la médecine qu’il relie fondamentalement à celui de l’accouchement. Pour que l’homme puisse prétendre à l’exercice de la réflexion encore faut-il qu’il puisse persévérer dans son être, c’est-à-dire qu’il conserve le plus longtemps possible la santé. Or, la médecine est l’art qui permet de répondre à cette nécessité. La santé est un bien fondamental. Sans lui l’homme ne peut faire un usage serein de sa raison.”

    A quand la réforme de ce secteur….??? Ou bien, tant pis pour les moutons de “Panurge” puisque les loups se soignent chez les Pingouins…!!!

  3. Il faut voir comment sont formés les medecins. Il ya de ça quelques annés j’ai fait une visite a l’ex ecole sonis, lorsque j’ai vu des étudiants en medecines entassés dans les anciennes classe de l’école walla j’etais choqué..il falait voir leur condition de vie..le corp medical subit un vrai terorisme…si la société ne veux pas de medecin qu’elle le dit..si il existe un loobie qui veut reserver la medecine aux etrangers qu’il le montre..
    Si un doyen avec son staf ne prend la peine d’allez inspecter dans les cités pour voir comment leurs propres etudiants vivent c’est un manque flagrant de devoir vis a vis des administrés..on ne peut pas former un medecin ou un ingenieur avec 800 da de bourse alors que d’apres le joirnal el watan les directeurs de cité depensent l’equivalent de 1 millions par etudiants et par mois en viande seulement. ou va 9000 dinars? Les etudiants doivent réclamer un presalaires de 1 millions par mois..il payent leur loyer et mangent la ou il veulent..point bare

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