Le front israélien est préparé comme il ne l’a jamais été. » Les mots prononcés hier par l’ancien ministre de la Défense passive d’Israël, Matan Vilnaï, sonnent comme si l’Etat hébreu était à la veille d’une guerre inéluctable contre l’Iran. Dans un entretien au quotidien « Maariv », Vilnaï se fait plus précis : l’offensive d’Israël s’étalerait sur un mois et coûterait la vie à environ 500 personnes.
Elle aurait lieu, toujours selon l’ex-ministre, sur plusieurs fronts, de l’Iran (par des frappes aériennes) à la bande de Gaza (où se trouve le Hamas) en passant par le Liban (d’où partiraient les ripostes du Hezbollah). Ce scénario, qui inspire beaucoup de craintes aux Israéliens et fait frémir le reste du monde, n’est pas fantaisiste. Selon la presse israélienne, le Premier ministre, Benyamin Netanyahou, aurait l’intention d’attaquer les sites nucléaires iraniens (qui menacent Israël) d’ici au mois de novembre, c’est-à-dire avant l’élection présidentielle américaine.
Des SMS comme moyen d’alerte
Au vu du délai, très court, le gouvernement s’active. Et prend soin, tout d’abord, d’acclimater l’opinion à l’éventualité d’un conflit en la rassurant sur le degré de préparation militaire (batteries antimissiles, stocks de munitions) et civile (le nombre d’abris disponibles) du pays. Hier, Matan Vilnaï a ainsi précisé qu’il y avait assez de kits antichimiques et bactériologiques pour plus de la moitié de la population israélienne. Plus inédit, l’armée testera aujourd’hui à l’échelle nationale un système d’alerte qui envoie des messages en cas d’attaques de missiles. Des SMS en hébreu, en arabe, en anglais et en russe seront envoyés sur les téléphones portables des habitants de tout le pays. « Je peux l’assurer avec la plus grande autorité : aujourd’hui, chacun sait exactement ce qu’il doit faire », a poursuivi l’ancien ministre.
L’Iran, de son côté, a indiqué mardi ne pas croire à une attaque « stupide » israélienne contre ses installations nucléaires. Et continue à assurer que celles-ci n’ont en rien des visées militaires, comme le craint l’Etat hébreu.
Deux explosions ont été entendues, hier soir, par les habitants d’Eilat, une station balnéaire israélienne située près de la frontière égyptienne. Deux roquettes tirées à partir du Sinaï égyptien avaient explosé début avril à Eilat sans faire de blessé.
Source: Le Parisien
Chien qui aboie ne mord pas… Par le passé, quand Israël voulait frapper un pays arabe, liban, irak, etc. jusqu’en tunisie, ce pays ne prenait pas la peine d’alerter l’opinion mondiale… Il frappait sans se soucier de l’ONU et du reste… Israël n’a pas les moyens de frapper sinon, elle l’aurait déjà fait, avec ou sans accord des USA… Ce pays cherche à faire monter la pression juste avant les élections aux USA et en pleine crise syrienne… Enfin, c’est mon humble avis. Sinon, le salam à tous depuis la France et boussa à Sidi Bel Abbès qui me manque !
Bonjour ! Israël prépare la frappe avec ou sans l’aval de Obama, lui sera obligé de suivre sinon il perdra en Novembre.Aussi, Israël envisage cette frappe très prochainement soit à la chute de Bachar el Assad ou soit lorsque une zone d’exclusion aérienne sera imposée à la Syrie pour libérer l’espace à ses avion-bombardiers,le temps presse car les israéliens pensent que l’Iran est presque arrivée à se doter de l’arme nucléaire avec son programme d’enrichissement. Israel, sachant cela ,envisagerai une « frappe lourde » pour anéantir toutes les centrales nucléaires d’enrichissements qui ont été « visités » par les inspecteurs onusiens.Tous les scénarios collatéraux ont été minutieusement étudiés par les USA en cas de blocage du détroit d’Ormuz.Tous les médias parlent des préparatifs militaires intenses observés en Israel notamment son système missiles antimissiles d’interception qui ont été modernisés,la distribution des masques à gaz,des souterrains etc..
israel ne s’attaquera pas a l’iran seul il lui faudra compter sur l’aide des américains , je voit mal obama
ce relancé dans une guerre alors qu’il a perdu tellement de force en irak et son mandat arrive a expiration .
<>
Les gardiens de prisons sont dépassés par les détenus nord-africains agressifs.Le manque de personnel est dénoncé.
Les directeurs des établissements pénitentiaires sortent du bois.Leurs collaborateurs seraient de plus en plus souvent confrontés au comportement violent des détenus d’origine nord-africaine.<>,tonne Andréa Zinsli.selon le directeur du service d’exécution des peines des Grisons,les débordements se sont multipliés.<<C'est un véritable problème a renchéri sur les ondes de la radio alémanique DRS le Fribourgeois Thomas Freytag, président de la fédération des établissements de privation de liberté.<>,a-t-il confirmé hier chaque Canton essaie à sa manière de gérer la situation mais tous s’accordent à dire qu’il faut augmenter les effectifs.<>,exige Thomas Freytag.
Les Cantons de Vaud et Genève ne subissent pas les mêmes problèmes.<>,affirme Anthony Brovarone,porte parole du Service pénitentiaire de l’Etat de Vaud.A Champ-Dollon (Genève),rien ne permettrait d’affirmer qu’un groupe ethnique est plus violent qu’un autre.
NB:Qu’est-ce qu’on nous aime en Suisse de par notre comportement « exemplaire »??????