Réorganisation des facultés de l’université de Sidi Bel-Abbès
Dans un communiqué remis dernièrement à la presse, le rectorat de l’université Djillali Liabès de Sidi Bel-Abbès annonce avoir procédé, cette nouvelle année universitaire, à une restructuration de ses facultés dont le nombre est passé de six initialement à huit aujourd’hui. Suite à cette réorganisation, la nouvelle configuration pédagogique de l’UDL se présente comme suit:
– Faculté des sciences exactes: Doyen Pr. Laknièche IvIolianied – Faculté des sciences de la nature et de la vie: Doyen Pr. Benyahia Mohamed.
– Faculté des lettres, des langues et des arts: Doyen Pr. Blouhi Mohamed
– Faculté des sciences humaines et sociales: Doyen Pr. Medjaoued Lvlohamed
– Faculté des sciences économiques et c»mmerciales et des sciences de gestion: Doyen Pr. Fetat Faouzi
– Faculté de droit et des sciences politiques: Doyen Pr. Boudali Mohamed
– Faculté de la technologie: Doyen Pr. Hadjri Samir
– Faculté de médecine Doyen: Pr. Boublenza Abdellatif
***************************
Conséquences des intempéries : 17 000 élèves mis à l’abri et plusieurs opérations de sauvetage effectuées
17.000 enfants scolarisés et collégiens de la wilaya de Sidi Bel-Abbès n’ont pas rejoint les écoles, CEM et lycées, durant les 24 heures au cours desquelles de fortes chutes de pluie ont été enregistrées. C’était par mesure de sécurité que les responsables de l’Education ont autorisé leurs disciples à s’absenter. Ces statistiques ont été présentées par la cellule de crise installée par la direction de l’Education pour une meilleure gestion de la situation. Selon cette direction, il s’agit de 9.000 élèves du cycle primaire, 5.000 du cycle moyen et 3.000 lycéens qui sont restés chez eux jusqu’à ce que les intempéries soient plus clémentes. Dans le même contexte, les éléments de la Protection civile ont opéré quelque 100 interventions à travers lesquelles ils ont sauvé 24 personnes au niveau du domaire Si Mahmoud de la commune de Sidi Lahcèn et une fillette qui était coincée dans les eaux boueuses des inondations, à Moulay Shssen. Une opération similaire a été effectuée dans la ferme «Tahar Moustache» où huit personnes de la même famille, ont été secourues des crues qui ont inondé leur maison. Par ailleurs, d’autres opérations de pompages d’eaux des axes routiers bloqués et de sauvetage des automobilistes coincés dans les ponts et les routes submergés par les eaux, ont été effectuées.
Le niveau inquiétant d’eau de l’oued de la Mekerra, a poussé près de 200 personnes habitant des maisons menaçant ruine, dans la ville de Sfisef, d’observer un sit-in devant le siège de la daïra. Il faut souligner que taux de la pluviométrie relevé durant ces deux demiers jours, a atteint plus de 70mm.
S. Derraz
conclusion générale
on ne pourra jamais fusionner les sciences fondamentale avec les sciences appliquées ..chaque science a ses propres règles de fonctionnement et de conduite
il est inéluctable de revenir a la situation post88..
les grandes école de médecine et paramédical doit revenir au ministère de la santé
les grandes école de technologie vers le ministère de l’industrie
les grandes école d’agricultures vers le ministère de l’agriculture
et l’université vers le ministère de l’enseignement supérieurs..
que chaque ministère récupère ses enfants et qu’on avec ce jeux de 90…
petite histoir de l’université de sidi bel abbes de 79 a 88
L’université doit revenir a son etat initial poste 1984…sidi belabbes pour memoir est un cas particulier par rapport a d’autre université de l’ouest.. A Oran et Tlemcen il n y avait pas un secteur industrielle en faillite. .ici a bel abbes les société nationales en faillite ont pesé leur poids sur l’université.. Dans les années 86 alors que les téléviseurs n’existaient plus sur le marché la Sonelec a prie une importance primordiale a l’intérieur de l’université.. tout caressait au poil la songe pou obtenir un CT3 ou un CT4…
Tout le monde chouchoutait la Sonelec et on l’a laisser entrer a l’université. .Mais au lieu de laisser entrer la main d’œuvre qualifié, les ingénieurs qui étaient dans les chaînes de montage et de production, l’université était envahi par des ingénieurs de bureau.. La même chose Se passe dans l’agriculture et la mécanique…
Rappelant que l’université avait pour mission de former les élites dans le domaine de la mesure.. qui dit mesure dit laboratoire…le secteur de la production était assuré par les écoles et les instituts a bel abbes il y avait deux école agricole et une école rattaché a la Sonelec..la Sonelec avait un grand élan dans la formation, si il n y avait pas cette cassure de 88 la Sonelec aurait construit sa propre université en technologie avec ces propres critère d’e formation car la formation était bien ciblé et adapté a la chine de montage typiquement belabesienne..ce programme était initié a l’époque par Setra qui avec une équipe dynamique avait lancée la formation a distance…Vraiment question histoire de sidi bel abbes cet historique met en relief et contredit tout ce qui se dit de négatif de l’ancienne époque allant de 77 jusqu’à le dénigrement général de 88 …
L’université en recevant les ingénieurs de bureau agricole électronique et mécanique avait été largement perturbé. .Lorsque tu demandes a un ingénieur de faire les travaux pratiques il te dit qu’il a besoin d’un atelier, il n’a jamais travaillé dans un labo..
Doc il y avait un mélange contre nature chacun tirait la queue du loup de son coté..en fin de compte sidi bel abbes en mélangeant les deux elle a finit par les perdre tous les deux…
Comment faire maintenant ??
Revenir a l’etat normal de 84…ceux qui veulent faire de la production a coté et ceux qui veulent de l’analyse de l’autre….
Ceux qui font de la production ont besoin de structure spéciale comme école ou comme institut car la production nécessite une discipline il n y a pas d’hypothèse dans production il y a le Process que tu dois appliqué a la lettre…tu ne peut pas dire supposant que le l’aluminium
Et cuivre est essayant de le souder au fer et a l’étain ça ne marche pas.. En mathématique et en physique théorique c’est possible car les chose se passent dans un domaine purement imaginaire ou tu peux changer tout pour voir ce que ça donne….Donc donner un titre de faculté a la technologie c’est ignorer la genèse et le fonctionnement de la technologie.. la technologie ça enseigne que dans une école ou dans un institut…une école c’est un institut sans obligation de port d’uniforme.. Le polytechnique a refusé de porter l’uniforme il est devenu une école…puisque qu’il y a un process a respecter donc dans l’école il y aura une discipline de fer avec une commission de discipline très réactif au moindre faut pas de l’étudiant ou du formateur ces deux seront passible au 3 avertissement avant qu’ils ne soit traduit devant une commission de discipline qui peut aller jusqu’a le renvoie vers une caserne pour re refaire sur le plan de la discipline. .ce qui se passe dans cette école de technologie se passe aussi a coté dans l’école médicale et l’école du paramédicale…
Donc les grandes école de médecine de paramédical et de technologie seront doté de plusieurs instituts autonomes avec un directeur d’institut …
L’université qui s’occupe de l’analyse elle a une autre mission et autre architecture car les arabes l’ont crée et les européens l’ont mal copié..
le debat reste ouvert aux ex ingenieurs de la sonelec et sonacome et d’agronomie de dire en tout e liberté leurs mots
Le responsable de l’université de Sidi Bel Abbès aurait du commencer à nettoyer les facultés de tous les corrompus et tricheurs comme est en train de faire le 1er Ministre pour le commerce informel. Des délinquants universitaires squattent les espaces de l’université tant au point de vue pédagogique que recherche.
Cette réorganisation de l’université a été décidée plus haut et n’est pas l’oeuvre du recteur. Il n’a fait qu’appliquer les décisions de son ministère.
Tiens , je ne savais pas qu’on pouvait désigner un Doyen étranger??? Pr. Laknièche IvIolianied ??? Est ce quelqu’un de l’Europe de l’Est???
Lire M. Lakmèche Mohamed , désolé pour l’erreur !