Y aurait-il une différence entre le temps et l’instant ? La linéarité du premier est interrompue par les limites inhérentes au second. L’instant c’est le temps qui s’arrête, marque le pas sur un évènement.
Le bonheur comme le malheur, la naissance comme la mort, et pas seulement des êtres humains. Le temps meurt un moment, dans l’instant, puis renaît et poursuit sa durabilité. Il est suspendu par l’instant qui est finalement un isolement dans et en dehors du temps. La fête c’est un instant, comme l’est la fin de l’année par rapport au temps. Resteraient les connotations et les évocations culturelles, que les hommes et les femmes auront accolé, à ces instants à partir de leurs propres cadres de références. Chaque fin d’année, des quiproquos naissent dans les familles. Organiser et préparer le repas du réveillon de la saint sylvestre, du 31 décembre, ou bien en faire l’impasse ? Soit grimer les voisins pour ne pas être mis au ban, qui eux ont fait le choix de s’en passer. Sinon pour jalouser ceux qui sont loin, et aussi tout près, dans la rue d’en face, ou au-delà des mers, mais qui la fêtent, aussi par choix. Et assumer sa résolution et s’affronter pour continuer à vivre parmi les voisins. C’est l’autre côté de la fête. Cependant, au bout de ces questionnements, pour le moins existentielles, y aurait-il autre chose, que des moments de convivialité, d’amour, de partage, de retrouvailles, de pardon et de dialogue ? Inviter les voisins, ou leur envoyer un bon plat de coucous et autres bonnes choses, à l’heure du souper. Quels plaisirs pour tous, et qu’importe l’occasion, et tous les marqueurs socio-culturels qu’elle véhiculerait. Et l’exemple de la fête de Noël est un paradigme très parlant pour expliquer et démêler, si faire se peut, un de ces écheveaux, source d’imbroglios, de confusions et de malentendus. La commutation, du fait de l’homme pour servir ses intérêts, de cette fête profane et temporelle, en une fête religieuse, n’est qu’une interversion et une adaptation du séculier aux rituels religieux.
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L’auteur de cet article pose la question suivante : »Alors pourquoi culpabiliser pour un simple morceau de gâteau? Subséquemment, moi je lui réponds par une autre question : Pourquoi tout ce « brouhaha » pour un simple morceau de gâteau ???? Comme s’il ne s’agissait que de ça….!!!! Les Autruches ont certes, de petites cervelles, mais elles sont loin d’être dupes ou débiles…!!! Je crois savoir que « Le chat n’est pas tenu de vivre selon les lois du lion. »
Par ailleurs, j’invite l’auteur de cet article à faire l’inverse, c’est à dire, laisser le même contenu en remplaçant seulement, la Noël et le réveillon, par l’Aïd El Fitr et l’Aïd El Adha et tout ce qui va avec, et le publier dans un journal des trois Nord pour nos amis les Ours polaires……! Nous verrons comment ils vont réagir, ceci à condition qu’il puisse trouver un quotidien qui accepte de publier le dit article…..
C’est quoi cette philosophie du temps qui s’arrête, c’est juste a dream; au lieu de parler du temps qui meurt, il vaut mieux parler du temps qui court et du temps qui reste..car « Le temps qui nous reste à vivre est plus important que toutes les années écoulées. » Mais « Entre dépenser du temps et le vivre, il y a un abîme. »
Ne faudrait-il pas plutôt,avoir de la peine à perdre du temps ???
puisqu’on y est disons Bonne année, aux Palestiniens, aux Irakiens, aux Syriens, aux Somaliens, aux Afghans, Aux Africains…..enfin au monde entier qui est en guerre; qu’elle soit une guerre géopolitique,économique,ethnique ou « religieuse »…..Les nouvelles exigences des puissances déstabilisent les pays qui répondent aux nouveaux critères de la mondialisation et la liste des pions est longue sur l’échiquier du Roi et de la Reine, mais viendra le jour (prochainement inchaallah) où ces mêmes pions mettraient le Roi en situation « d’Ehec et Mat »……
« Rira bien qui rira le dernier »
salam3alaykoum
La période des fêtes de fin d’année est une bonne période pour rafraîchir quelque peu les liens personnels et professionnels réguliers ou un peu anciens. Mais avant de faire des bourdes, mieux vaut réfléchir à ce que l’on fait.Le calendrier grégorien étant le calendrier légal de la plupart des pays du monde, on peut considérer que l’on peut souhaiter des voeux de nouvel an (par exemple par un simple « bonne année ») à partir du 1er janvier légal, sans tenir compte des considérations religieuses.En d’autres termes, on souhaitera une « bonne année » entre le 1er janvier et le 31 janvier, sans précipitation, mais aussi sans tarder, bref, à la première occasion venue.
Que ce soit à titre privé ou professionnel, il est de bon ton, en Occident, de souhaiter de bonnes fêtes de fin d’année (à titre professionnel, cela n’est pas indispensable, mais bienvenu), ainsi qu’une bonne année (à titre professionnel, cela est vivement recommandé). Attention cependant à ne pas faire de faux pas en heurtant les sensibilités, cette période de fêtes rassemble autant des fêtes religieuses que laïques.