Impliqués dans une affaire de vol d’un véhicule de luxe
Six mineurs arrêtés à Sidi Bel Abbès
Six adolescents âgés entre 14 et 17 ans, et un septième complice, âgé de 19 ans, ont été interpellés par la Brigade de recherche et d’investigation de la sûreté de Sidi Bel Abbès pour vol d’une voiture de luxe. Ce groupe de malfaiteurs est entré par effraction dans un garage dans la résidence Tessala, ont remorqué le véhicule de marque Golf dernière génération vers la cité des 200-Logements, ainsi qu’une somme d’argent estimée 100 000 dinars qui était à l’intérieur de la voiture volée.
Les enquêteurs ont pu rapidement identifier les auteurs, dont le principal a été placé sous mandat de dépôt, alors que les mineurs ont bénéficié de citation directe. Le véhicule et la somme d’argent ont été récupérés par les policiers.
S. D.(Le Temps d’Algérie)

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Algérie – Signature de contrats d’exécution de projets de partenariat algéro-allemands

Des contrats d’exécution de projets de partenariat entre la société algérienne de fabrication des systèmes électroniques de Sidi Bel-Abbès et la société allemande « DEFGA » et entre la société algérienne de fabrication des moteurs allemand à Oued Hamimime (Constantine) et la société allemande « DEUTZ » ont été signés mardi et mercredi à Alger.

La signature de ces contrats s’inscrit « dans le cadre de la concrétisation de projets de partenariat entre les établissements à caractère industriel et commercial relevant du ministère de la Défense nationale (MDN) et des sociétés allemandes », a indiqué un communiqué du MDN.

Ces projets de partenariat « visent au lancement et la promotion du tissu industriel national, selon les marques et les normes de qualité auprès des partenaires technologiques, en s’appuyant sur la formation de spécialisation au profit des travailleurs et des cadres », souligne le communiqué.

Ils permettront d’ouvrir le secteur à la sous-traitance au profit des sociétés nationales ainsi que la création directe et indirecte de postes d’emplois pour les jeunes algériens, a relevé la même source.

APS

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Sidi Bel Abbès : la police traque les trafiquants de carburant

Les véhicules suspects, souligne-t-on, seront immédiatement transférés au siège de la Sûreté de la wilaya pour une vérification rigoureuse de la conformité technique des réservoirs de carburant.

Les services de Sûreté de Sidi Bel Abbès viennent de déclencher un train de mesures destinées à mettre le holà au trafic de carburant auquel se livrent les «hallaba» en investissant les différentes stations-service implantées à travers la wilaya. Le dispositif élaboré pour éradiquer ce phénomène qui, faut-il le rappeler, est à l’origine de nombreuses pénuries de carburant (essence et gasoil), s’articule autour du contrôle inopiné devant cibler aussi bien les véhicules lourds que légers en files d’attente dans les stations-service.

Les véhicules suspects, souligne-t-on, seront immédiatement transférés au siège de la Sûreté de la wilaya pour une vérification rigoureuse de la conformité technique des réservoirs de carburant. Les policiers auront également à veiller, par le biais de contrôles impromptus, à la stricte application des mesures de plafonnement des quantités de carburant devant être distribuées aux automobilistes.

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Sidi Bel-AbbÈs

Quatre employés de Giplait licenciés

Quatre employés de l’entreprise Giplait Tessala de Sidi Bel-Abbès, qui ont été licenciés en juillet 2012, ne savent plus vers qui se tourner après que l’entreprise a refusé l’exécution de la décision de justice statuant sur leur réintégration dans leur poste de travail respectif. Deux employés, parmi les quatre licenciés, actuellement sans ressources et qui se sont présentés, à la maison de la presse  de Sidi Bel-Abbès,expliquent qu’ils ont recouru  à la justice  et obtenu gain de cause, en appuyant leurs  propos par un jugement qui oblige l’entreprise Giplait Tessala de les réintégrer dans leur poste de travail, de les indemniser et de payer les charges patronales auprès de la caisse nationale des assurances sociales et ce, du 19 juillet 2012 jusqu’à la date de leur réintégration. Ils ajoutent avoir «fait appel à un huissier de justice pour l’exécution de la décision de justice et faire valoir nos droits, sauf que le directeur par intérim de l’entreprise s’est abstenu, en prétextant que la réintégration des employés licenciés ne relève pas de ses compétences et a déposé le dossier devant le conseil d’administration de l’entreprise».

Par : B. Aziz (Liberté)