Festival des danses populaires : un monde gestuel dans une petite scène grandiose

La notion du temps est désormais sans valeur en Algérie. Le festival qui devait démarrer à 8 heures au centre culturel KATEB YACINE à SIDI DJILLALI  wilaya de sidi bel-abbes à été marqué en entrée par un retard important. Les gens assoiffés,  pourtant étaient au rendez-vous, bien avant. Les troupes,à qui  était réservé un endroit dans le centre ont pris place dans l’ordre et n’attendaient que le rideau s’ouvrir pour annoncer le début de la fête.

Malheureusement, tout semblait s’enchainer dans le mauvais sens d’une nature. 09h puis 10h et toujours riens. Le festival dépendait des chaises des invités d’honneurs. 10h30, et toujours rien, les chaises sont toujours vides, aucun signe de vie des autorités qui devaient assister à l’ouverture. Le public commençait à s’interroger, il huait dégageant un climat de honte et d’humiliation. Les troupes étrangères, assises, pendant plus de deux heures et demie restaient cois.  

Le désordre commence à prendre place. Une agitation presque invisible mais senti déjà par les services de sécurité qui interviennent aussi discrètement et intelligemment  en demandant au public qui commençait à s’approcher des troupes de prendre place et que ces endroits sont réservés aux troupes uniquement.

Mais comme on a toujours besoin d’un hasard, à 10h48, après plus deux heures de retard, el *WAFD* (les officiels)vient de faire son apparition. Le wali par intérim, le p/apc par intérim avec certains de l’exécutif prennent place et sans attendre, le rideau s’ouvre. La troupe folklorique de *ALAOUI* de sidi bel-abbes semblait à première vue sur la scène, fatiguée par ce retard qui a presque tué cette envie, que chacun et chaque troupe réservait pour cette soirée.

La rentrée triomphale de la troupe bel-abesienne a levé les voiles et changé de cap. Le spectateur ayant été par chance disposé à s’enfuir un moment dans le plaisir, avait heureusement, facilement basculé la tension vers le spectacle et la joie qui s’en dégageait.       

Les troupes s’enchainèrent, AZERBAIDJAN,  PALESTINE, RUSSIE,  MEXIQUE, LA TROUPE D’ALGER, BULGARIE, TURQUIE  et  SIDI BEL-ABBES. La dernière soirée de ce jour 17/07/2011 du festival de la danse, dans cette 7 ème édition de cette année 2011 était marquée par la sensation d’une finale ou chaque troupe voulait par tous les moyens séduire le plus ce public, comme s’il s’agissait d’un trophée pour le vainqueur.

Ce n’était pas de simples troupes qui dansaient aux occasions. La force qu’ils dégageaient  dans leurs mouvements et le sérieux qui sortait de leurs visages souriant comme s’ils vous recevaient dans leurs univers, vous possède à un certain moment, vous fait oublier les malheurs d’une mauvaise organisation et vous fait définitivement renoncer à vous plaindre davantage.

Le festival des danses populaires, il faut le voir, pourquoi pas en 2012. Restera bien en haut, tant qu’il a cette saveur entre les mains de messagers danseurs qui trouvent du plaisir et beaucoup de bonheur et d’abnégation de porter avec joie ces messages gestuels pour éventuel contacts sans paroles avec le monde à travers des moments inoubliables dans une petite scène grandiose.

Après un régal folklorique plurivoque, savouré à sa juste valeur par un public de taille, et comme à chaque événement, la clôture était inévitable, la beauté du spectacle tenait cloué le spectateur à sa chaise et les troupes disparaissaient contre son gré.

Madame la commissaire n’a pas manqué de saluer et remercier toutes les troupes étrangères et celles de notre chère pays qui n’ont pas manqué d’honorer le festival des  danses dans sa 7 ème édition dans notre sidi bel-abbes, en ALGERIE ainsi que ce public, qu’elle décrit « GENIAL », sans manquer de saluer la présence des autorités et les efforts remarquables des services de sécurité ainsi que la protection civile qui, rappelons-le, c’est distinguée par ZERO incident, depuis le début du festival et jusqu’à sa clôture.

(3 commentaires)

  1. bonjour à toutes et tous ;

    que dire de plus ?
    que ces quelques strophes forcées et ce pieux vœux .

    ****il pleut la honte sur ma ville assaillie et soumise !
    sous le plomb de la bêtise !
    et les crues envahissante du désohonneur
    comme il pleure dans mon cœur !
    oh !mon Dieu !
    vous qui êtes aux cieux !
    changer le chagrin et la colère qui nous hantent
    en un patient amour d’autrui
    chaque jour !chaque nuit !
    que çà pleuve ou que çà vente !***

    @moudjahed

  2. • La danse folklorique est un art c’est une culture nous devrions conserver la notre et prendre soin avant qu’il ne soit trop tard ce qui conçoit bien s’énonce clairement et les mots pour le dire arrivent aisément ce que j’ai remarqué chez nous c’est qu’on fait de la politique avec la culture. l’élection encourage le charlatanisme, chaque occasion nous présente une figure politique que se passe t’il n’ont-ils plus confiance en eux où la crainte de se voir partir les effraye les festivités ne sont pas des champs de course ni de courtage un bon perdant est reconnu lorsqu’il abandonne. Il est temps de revoir certain compte et de réviser ce que nous avons oublié de porter. Le cœur de nos élus semble perdu le retrouver quant vous serez pendus gare à la gourmandise trop de sucre gâte les dents .Halima que Sidi Bel Abbes célébrait du temps qu’elle était maitresse en nous montrant tout mais rien laisser voir. Elle n’a aucun talent donc son rôle paraissait naturel. le pouvoir pour les poux de manger des lions.L’homme qui était dans son lit n’est plus wali. (khalli el bir beghtah)

  3. • Nous avons appris la ponctualité j’ai eu hâte d’assister à cette merveilleuse soirée tout à commencé par le temps tout suffocant, quant sonne l’heure je me souviens des jours anciens et je pleure heureusement que la scène m’a éperdument basculé vers le plaisir de voir ces troupes de danses folkloriques de differents pays un spectacle où je sentais une fraicheur oubliant le désordre et la désorganisation à une heure tardive la joie a baigné l’effervescence de mes nerfs une soirée que l’on oublie jamais animée par des jeunes de tous les pays cherchant a ôter un trophée l’emportant en guise de lauréat une victoire en quelque sorte luisante reflète sur chaque regard je dis félicitations à toutes les troupes et à chaque artiste . Manifestement je ne suis pas à mon aise lorsque je fais partie de ce peuple organisateur surtout à Sidi Bel Abbes en commençant par Mr MIME representant de la nation c’est rigolo de le voir figurant dans cette soirée fuyant le jour où le devoir l’appelai à visiter les malades dans les hôpitaux, circuler dans les citées voir ce que le citoyens à besoins , demander aux jeunes ce qui les préoccupent voir l’état des citées mises dans les oubliettes et lui perdu depuis son mandat dans notre commune il n’a rien fait pour cette ville il fut appelé pour ne pas parler , ne rien apporter, ni donner simplement applaudir et mentir .Ce message s’adresse à tous les élus du mème genre vous êtes ici par la non volonté du peuple et vous n’en sortirez que par la force du peuple , les hommes loyaux à leur patrie sont ceux qui ne se pique de rien vous êtes les plus haut placés que vous ne servez à rien . quant à cette vermine de Halima qui rode encore je crie haut et fort que tu n’es pas digne de représenter notre ville soutenue par votre ministre qui s’assemble se ressemble malheureusement vous êtes entouré de lécheurs de bottes, ces soit disons hommes qui t’on servi je les appellerai domestiques ,si ils le sont ! , c’est que ta directrice t’a bien traité elle a eu beaucoup de ce genre ils ont multiplié tes valeurs car l’infidélité est partagée cette femme usée de ces capacités intellectuelles, professionnelles et plus encore aucun charme d’une femme respectable est digne de prononcer la clôture du festival avec une tenue pareille.que la honte vous hante. C’est un déshonneur pour notre ville et pour la nation complète.

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