Les nouvelles indemnités sont octroyées avec effet rétroactif à partir de janvier 2012 et non 2008, comme l’ont réclamé des syndicats de certains secteurs de la Fonction publique.
Bonne nouvelle pour les fonctionnaires de certains secteurs et administrations publiques ! La saignée du mois de Ramadhan, de l’Aïd El-Fitr et de la prochaine rentrée scolaire sera finalement amortie. Comment ? Le rappel des indemnités accordées à la faveur de la révision de leur régime indemnitaire servira à couvrir le trou financier causé par les dépenses liées aux trois occasions. Il est vrai que nous ne connaissons pas encore la date du versement des rappels, mais la nouvelle ne pouvait pas mieux tomber. Les fonctionnaires concernés par l’amendement de ces textes sont au moins convaincus officiellement que le RI de leurs secteurs leur a été élargi pour qu’ils puissent bénéficier de certaines indemnités dont ils ont été privés jusque-là. Voulant probablement atténuer la fièvre sociale qui s’annonce des plus chaudes à la prochaine rentrée, les pouvoirs publics ont pris les devants en répondant favorablement à une revendication chère aux syndicats et aux fonctionnaires. La révision des régimes indemnitaires, dont certains ne datent que de deux années à peine, a toujours été au centre des doléances des syndicats et à l’origine d’innombrables tensions sociales. Ce ne sera plus le cas pour certains secteurs à la prochaine rentrée sociale. Pour y faire barrage, les pouvoirs publics ont accéléré la cadence de la modification des régimes indemnitaires. Même la promulgation des textes amendés s’est faite en même temps et sur le même journal pour ne pas faire de jaloux. En effet, les régimes indemnitaires amendés de pas moins de 26 secteurs et autres administrations publiques ont été publiés sur le dernier Journal Officiel
n° 34 du 30 juin 2013. Enseignement supérieur, travaux publics, collectivités locales, transport, habitat, énergie et les mines, solidarité nationale, paramédicaux, anesthésistes, psychologues… sont autant de départements et de fonctionnaires qui bénéficient désormais d’une nouvelle indemnité qui varie d’un secteur à l’autre et d’un grade à un autre. Un seul point commun, toutefois, l’effet rétroactif à partir de janvier 2012 et non 2008 comme le réclament certains syndicats. Les indemnités accordées sont : indemnité de soutien pédagogique et de gestion (jeunesse et sport) ; indemnité de soutien scolaire et remédiation pédagogique (formation professionnelle et solidarité nationale) ; indemnité de gestion des services de la santé (services de santé) ; indemnité de soutien aux activités spécifiques (affaires religieuses et waqf) ; indemnité d’astreinte spécifique (psychologues de santé publique) ; indemnité de gestion et de suivi des projets (fonctionnaires administration ressources en eau et habitat) et indemnité d’inspection (fonctionnaires du corps de la police des eaux et inspecteurs de l’urbanisme) ; indemnité de soutien aux activités pédagogiques (paramédicaux, auxiliaires médicaux en anesthésie-réanimation, enseignement supérieur)… Le taux accordé varie aussi d’un secteur à un autre et se situe entre 10 et 30% du traitement.
M B
Selon le journal chourouk d’hier, le premier ministre vient de donner
un gros coups en envoyant une mise en retraite automatique des gens de plus de 60 ans.
En principe l’age de la retraite se situe a 40 ans. Il faut créer de la séparation. Lorsque le fonctionnaire aura atteint l’age de 40 il sera transféré ailleurs. Un enseignant du primaire secondaire, supérieur, un administrateur, un infirmier, tous les gens qui travail avec un Manuel a suivre doivent être transférer vers les Inspections. Un enseignant du supérieur qui n’a aucune différence entre lui et du primaire car en gros il travail avec des copié collé. Les mêmes modules se répètent sur plusieurs années. Sure le plan scientifique le rôle de ‘enseignant et de transmettre un savoir et évaluer les étudiants. La recherche est une chose intruse dans l’enseignement. L’état doit donc diviser le monde de la recherche est le monde de l’enseignement en 2 segments totalement différents et indépendants. Apres 40 ans l’enseignant doit quitter l’université pour rejoindre le secteur de la recherche. Et ceux du primaire et secondaire vont quitter lycée et école et CEM pour rejoindre le corps de l’inspection et celui de la jeunesse et sport pour activer dans les Ateliers en plein air.
L’université d’un point de vue pédagogique ne tourne qu’avec des gens qui ont moins de 40 ans. Ici l’état peut mieux gérer l’enseignement et le contrôler. Les vieux créent une atmosphère de rigidité et maintiennent le statut quo surtout s’ils sont dans les différents organes de gestion comme les conseil scientifiques. Un enseignant de 60 ans ne pourra jamais changer de méthode, pour chaque génération son savoir et les meilleurs .Si l’enseignant n’a pas pu donner à 28 ans il ne pourra rien donner a l’age de 60 ans, c’est évident.
La mise en retraite de tous les enseignants est souhaitable. Un salaire d’un enseignant peut prendre en charge 2 nouveaux enseignant qui doivent travailler avec 4 millions par mois sur 5 ans, là ils obtiennent le diplôme interne et leurs statut va changer car ils ont acquis l’expérience. Donc un nouveau recrus vu la qualité de formation universitaire est considéré comme encore en formation, car sur 5 ans il va enfin acquérir le savoir faire. L’ancien système parle de stagiaire, mais vaux mieux parler de formation pour que le nouveau recruté prend conscience que son diplôme n’est pas suffisant et qu’il devrait suivre au cours de 5 ans toute une mise a niveau. Donc il doit subir aussi des contrôle continuent et des notations de la part de leurs aînés . C’est normal ça va créer des problème, le législateurs introduit des règles et limite chez le formateur. Le ministre parle d’une exceptons faite aux agents qui ont de l’expérience et qui sont dans les postes sensible. Le principe de la retraite doit toucher tout le monde sans exception, bon maintenant le service voit qu’il a besoin d’une compétence il pourra formuler une demande pour prendre le retraité en poste de vacataire. Comme ça pour éviter que le vieux ne siège dans les organes de décision. Ça y est il a fait son travail, son rôle est terminer et on ne pourra plus maintenir un système de fonctionner de la même manière durant 1000 ans. Ce système 25-40,et 40-50 va permettre de redynamiser la fonction du public. j’ai contacté un grand chercheur suisse de 60 ans , il m’avait répondu qu’il était navré de ne rien pouvoir faire pour moi , car dit il, il va sortir en retraite.
L’erreur de l’université de sidi bel abbes c’était de céder l’actuelle et nouvelle faculté sis l’ITMA pour la biologie. Vue sa position stratégique il fallait la réserver pour la recherche, et transfert des gens qui ont plus de 40 ans. la meilleur place pour les biologiste seraient le CAMPUS, cette proposition a été faite mais le vieux staff préfèrent donner des cours et faire des surveillance a l’age de 60 ans. C’est anti pédagogique de placer un étudiant de 19 ans entre les mains d’un enseignant de 60 ans. Ce genre de chose se fait qu’en Algérie.
J’espère que le premier ministre donnera un coup de nettoyage dans cette fonction du publique qui fonctionnent avec des gens qui ne sont pas a leur niveaux. Voila le journal en ligne de sidi bel abbes a le mérite de donner des son de cloche différent que reçoit le gouvernement de la part de sa base
merci a l’equipe de bel abbes info
et sahha ftourkou