C’est étrange, même les problèmes n’arrivent pas à vivre dans leur milieu problématique. Pourtant, tout, donne l’air de pouvoir vivre dans un même milieu et que l’espèce demeure une assurance même étant problème parmi tant d’autres.
Les problèmes ont en mare. En Algérie, par la pression, tout devient miraculeusement sensible. Les problèmes, après avoir frappé à toutes les portes, toutes les bouches, après toutes les transformations en cri, en torches humaines, en marches, en différents moyens de prouver son existence comme problèmes avec une identité problématique reconnue, ils décident de changer de stratégie et réclament leur droit d’être entendus et résolus.
Ils n’ont pas été reconnus sur terre,ont été négligés, piétinés et délaissés par une prise en charge qui a commencé par une longue discussion qui s’est close pour ne jamais surgir, comme si l’urgence n’est pas d’urgence. Les problèmes n’arrivent pas à comprendre et surmonter cette indifférence, pourtant ils s’en sortaient si bien à travers les différentes façons d’exhiber leurs messagers, ce citoyen qui s’est trouvé victime entre le problème et le mensonge à chercher désespérément un sésame.
Les marches, les démarches, les suicides et tant d’autres, les problèmes n’arrivent pas à admettre qu’avec toute cette artillerie, leur messager demeurent sans force ni reconnaissance, devient étrangement fragile et renonce à une relance.
Alors, ils décident d’agir autrement, dans l’espoir de renverser les commandements, après avoir échoué jusqu’à l’instant sur terre, les problèmes veulent tenter leur chance dans les airs. Les avions ne décollent plus, l’espace aérien algérien est en déclin, le ciel est paralysé. Les problèmes envahissent les airs en réclamant des droits sur terre.
La condensation de la société problématique a explosé. Mer, terre, et maintenant c’est le ciel, mais rien à faire, alors quoi faire ? Se demande les problèmes. Des dépressions, des personnes disparues, des corps repêchés sans vie, vidés de leurs problèmes à jamais, libérés pour renforcer la tendance problématique et étouffer encore plus le reste des messagers survivants.
Faut-il comprendre que les problèmes ne savent pas se qu’ils font, l’être, est-il, le mauvais messager ? Tout laisse à croire que les problèmes non pas trouvé le meilleur remède à leur infini croisade.Terre, mer, ciel. Y’a-t-il après ces trois, un autre endroit ? Une solution à cette confusion ?
Trop de question mais aucune réponse. Les problèmes n’en peuvent rien, le messager est en trop plein. Seul, un mariage des trois rivages sortira les problèmes d’un clivage et délivrerai l’être d’un surmenage.
Et bien je suis là ,là où quiconque ne m’attend pas,je partage avec toi ton extrait de naissance érroné je confonds l’écriture arabe à celle du français un E qui n’existe pas et un RE qui fuit l’arabe je suis l’erreur je vis avec toi je gongrène ton esprit je te hante pas moyen de m’expulser , le suis le pouvoir absent dans le couloir ,la loi qu’on crois , je suis l’etat non fondé , l’élu le senateur inconnus le système imposé encore plus le pouvoir d’achat qui ne remplie quère ma panse;tu me déranges il n’y a plus de place pour toi humain concret dans cette nature conquis par moi problème invisible qui ronge tes douleurs et malheurs à chaque instant as moyen de me laisser un répit. laisses moi règner au pays de l’indiference de l’injustice je cherche à me débarasser de toi ètre car tu es mon soucis je t’echappe le someil quand tu dors longtemps avec les fleurs avec la joie, je te rends malheureux,impuissant devant les faits ,écartes toi de mon passage n’oublies pas je t »accompagnrai à ta dernière demeure je serai témoin de tes péchers.oui moi je suis ton problème ! vas y te faire pendre que de te faire prendre.