C’est une romance ,c’est une belle histoire, c’est plutôt une cantilène venue de la Lybie pour que la cantique soit ramager en Syrie par une presse anti syrienne devenu une automotrice menaçante derrières des psittacismes journalistiques spécialistes du mensonge . Au tout premier jour de la révolte en Syrie .la corporation médiatique occidentale et arabo-sioniste s’est accaparée d’un produit monopoliste très bon marché et dont sa distribution à travers l’écrit, l’image et le son représentait un concept fabriqué devant une population désarmée et crapuleusement profanée par un corps constitué surarmée avec ses sbires et laquais .
L’image devenait encore plus claire car on nous montrait la cruauté du régime dictatorial et tyrannique à la fois , cette bande d’alaouites trop privilégiée faisant fi de la majorité sunnite , des sunnites qui ressemblent à des esclaves ou l’odeur de la liberté et trop rare et qui ne peut se trouver que dans ce champs démocratique bien gardés par l’occident relayé par l’Observatoire Syrien des Droits de l’Homme (OSDH) fermant leurs yeux sur une bonne grande partie des victimes de la guerre en Syrie qui sont alaouites mais ne le disent pas… La narration ne peut être conter que sous l’ angle de celui qui garde bien les intérêts et dont le résultat ni l’élan populaire ni un putsch, ni la dislocation de l’armée ni transfuges des ressources diplomatiques ni autres n’a produit leur attente( jouissance) par un miracle qu’ils voulaient l’implémenter.
L’armée syrienne est constituée par le peuple syrien et non par des extra-terrestres, le régime s’écroulera de fait si le peuple est vraiment hostile ; mais avec des extra- terrestres on comprend mieux la peur des medias à sous. Les chansons de Paris , de Londres, de Qatar, de Washington, de Riyad ou autres n’ont pas encore trouvé le fil du refrain pour composer leur poème que l’opposition n’arrive toujours pas d’accorder .Le régime, l’armée et le pouvoir syrien ont montré une cohésion plus que remarquable qui s’est traduite par un nombre limité de défections et de beaucoup de chagrin de l’opposition et leurs supports.les défections sont inscrites sur les agendas de Mme Clinton-Sarkozy-Morsi-Benjassem-Emir du Qatar et la liste sera encore ouverte pour Tayb Aardogan…. Nicolas Sarkozy, Hamad Ben Khalifa Al Thani et son cousin Hamad Ben Jassem Al Thani, Morsi qui avaient pronostiqué la chute imminente du président syrien et de son régime dès les premières semaines de l’éclatement de la crise en Syrie, en mars 2011, ont disparu de la scène politique.. Bachar al-Assad, lui, est toujours dans sa capitale Damascène , dirigeant son armée qui reconquiert le terrain petit à petit sans trop de fanfaronnade ,c’est le terrain qui est maitre de la situation et c’est aussi la carte jockey de ce sale jeu.
La population syrienne ne s’est pas soulevée comme on le raconte, ni par la violence, ni par des manifestations de désobéissance civile. L’unique évidence, pour une grande majorité du peuple syrien, c’est bien la peur d’une part et la sécurité d’autre part que se soit pour la famille et tous les problèmes qui en découlent à savoir les difficultés à se nourrir et à se loger à……. dans une guerre qui ne dit pas son nom ,où les opposants Syriens et surtout ceux venus d’ailleurs ( takfiristes+Wahabbistes+Talibans…) ont choisie stratégiquement de s’implanter au cœur même dans des villes .L’économie syrienne est la première visée par une « guerre internationale », après l’échec des ennemis de la Syrie à briser l’armée syrienne, a indiqué le Premier ministre Waël al-Halaqi
« L’économie nationale est depuis quelques semaines l’objectif principal de la guerre internationale, après que (…) les ennemis de la patrie ont échoué à briser la volonté de notre armée » à combattre les groupes armés en Syrie, a affirmé Halaqi. Les ennemis n’ont pas réussi non plus à «isoler » la Syrie au sein des organisations internationales «grâce à la position ferme et stable de pays amis « le gouvernement a mis en échec un plan pour provoquer une pénurie de pain et une crise dans le secteur électrique à Damas ». « La majorité des champs pétrolifères ont été sabotés, obligeant le gouvernement à importer en grande quantité les dérivés pétroliers ». Après avoir réalisé la sécurité alimentaire au début des années 70, le gouvernement « importe maintenant du blé en raison des attaques terroristes contre les silos et les minoteries ». Selon les experts, l’impact de la crise est énorme sur l’économie. Les investissements, le tourisme et le commerce extérieur sont proches de zéro. La production pétrolière, importante source de devises, a chuté de 95%.
Le cas de l’histoire récente d’al Quosayr, cette ville moyenne de 40.000 habitants située à une quinzaine de kilomètres de Damas et tout prêt de la frontière du Liban, ville stratégique qu’ Hollande-Obama-Cameron- Nataniyaho+ les larbins arabo sionistes connaissent de plus prés, car elle encercle la résistance libanaise. Cette ville était dans un passé récent le théâtre de durs combats entre les «rebelles» et l’armée gouvernementale épaulée par le Hezbollah qui sont en passe d’en reprendre tout le contrôle.
Al Qussayr n’est pas et ne sera pas un nouveau Guernica ( Picasso vous contera en image pour cette petite ville). D’abord parce que ça fait bien longtemps que la totalité des habitants a fui bien avant la ville à cause de la guerre et non pas par des prétextes avancés par les medias à sous, ( elle a été chassée au moment où cette dernière est tombée entre les mains de l’opposition). Les plans occidentaux( démocratie-révolte-plan de destruction de l’armée-droit de l’homme –TPI- embargos-……) contre la Syrie sont voués tous à l’échec et les takfiristes de tout bord, allant au petro-djihad pour retrouver les « Hor El Ain », et la romance commence . C’est après de blessures profondes au combat ,d’un de ces djihadistes suivit d’ un long coma. Il s’est réveillé par la suite, dans un de ces hôpitaux syriens et de voir en face de lui une jolie et très belle fille( infirmière) en train de le soigner , fou de joie, le takhfiri djihadiste lui rétorque bonjour « Hor El Ain » enfin je suis au paradis .
Benallal mohamed