Les faiseurs et défaiseurs des directeurs généraux des hôpitaux devraient s’en réjouir pour avoir atteint leurs objectifs. Depuis une dizaine de jours le directeur général du CHU de sidi bel abbés est muté à un hôpital de la région d’Oran, il est remplacé par la directrice du nouveau hôpital 120 lits de sidi Djilali de sidi bel abbés. A priori une histoire de mouvement de responsables qui semble banale, néanmoins elle cache des péripéties marquées par des conflits orchestrés par du personnel médical et para médical qui se ménage du temps pour l’activité syndicale au profit de l’activité professionnelle. Au CHU de sidi bel abbés on parle de médecins hospitalo-universitaires qui excellent dans l’art de la rédaction des lettres adressées au ministère et des communiqués rendus publics dont la teneur est beaucoup plus efficace qu’un acte médical. La directrice fraichement désignée à ce poste de responsabilité administrative du CHU serait en phase d’hésitation pour le prétexte qu’elle aurait des engagements à honorer dans son ancien poste de responsable du nouvel hôpital des 120 lits. La face cachée de l’iceberg n’est pas évoquée du fait que cette femme qui aurait été mise au parfum de l’ordre établit au CHU serait en phase de réflexion entre l’alternative de prendre le taureau par les cornes et subir les mêmes conséquences ou se résigner à appliquer à la lettre la feuille de route que son prédécesseur a certainement refusé de faire ce qui lui aurait couté le siège éjectable. On dit communément que tout ce qui brille n’est pas or, au CHU De sidi bel abbés on est persuadé que tous ceux qui portent des blouses blanches ne sont pas forcément des paras médicaux, des médecins ou des chirurgiens. On dénombre des prouesses concrétisées sur des responsables qui se sont dressés contre les forces du mal qui gangrène cette institution de la santé décriée par toutes les lèvres. Des sommités en chirurgie ont été « chassés », des médecins chefs de service ont été « déchus » de leurs postes pour avoir dénoncé du matériel périmé, des responsables de l’administration ont été trainés devant les tribunaux et condamnés pour des faits concoctés …
Une femme pas très expérimentée aux commandes d’un CHU aux traditions syndicales avec des experts en manipulation et en rédaction syndicale, c’est pratiquement pareil à une agnelle perdue dans une forêt.
Elle ne pourra pas tolérer cette situation et cette lourde tache, les dirigeants du CHU ne peuvent rien faire face au cartel de Maghraoui et sa Campanie de pseudo-professeurs qui détiennent tous, tous dans ce CHU, c’est eux qui désignent le chef et qui les obligent à partir ou non !!!
Oui il faut frapper d’une main en fer pour redresser les choses dans cet établissement qui comme la fac de médecine est devenu une grande zriba ou tous les monde dans sa garde est devenu un chef et que seulement le pauvre malade, seulement lui et sa pauvre famille vont souffrir et souffrir jusqu’à la mort….telle est la cruelle réalité dans un soit-disant CHU Dr Hassani AEK.