Oui! elles feront certainement grincer les dents à ceux qui croient que leur service ou secteur fonctionne comme sur des roulettes. Nous commençons pas les services de l’APC
Éclairage public défaillant : Il fait peur de se hasarder dans quelques quartiers en ce mois de Ramadan
La ville est sombre, très sombre surtout dans les quartiers populaires où l’on relève un déficit d’éclairage criarde dans plusieurs quartiers à croire que l’on a privilégié l’éclairage du centre-ville uniquement et quelques centres d’intérêt au détriment des autres cités de la ville. L’éclairage fait défaut même dans les grandes artères à l’image de la rue Semmak Mohamed complètement éteinte et qui traverse Sidi Yacine en long et en large, il semble que les services concernés donnent moins d’importance à un grand nombre de rues et ruelles des quartiers.
Et si parfois il y a éclairage , on dirait que l’on s’en fout pas mal des caractéristiques essentielles d’un éclairage adéquat. L’étude d’un bon éclairage de rue ou ruelle est inexistant chez nos techniciens et artisans et bonjour le bricolage à l’éclairage. Sous d’autres cieux , tout est mis en évidence suite à une étude bien faite pour le besoin de l’éclairage. Par exemple, il est dit qu’un poteau haut de cinq mètres nécessite une intensité bien définie pour permettre au passant de voir selon des normes établies ,à Sidi Bel Abbes, on place une lampe destinée à un poteau de trois mètres à celui de cinq mètres et du coup toute la zone se retrouve dans le noir. Nous y reviendrons ultérieurement par un long papier sur ce phénomène énergivore de la commune puisque ailleurs on éclaire mieux avec moins d’énergie.
Eau stagnante, déchets non ramassés et bonjour les moustiques!
Alors que les anciens locataires de l’APC nous ont habitué, chaque année, en début de saison chaude pour nous permettre de passer un été sain avec des nuits douces à l’abri de tous les insectes y compris les gros moustiques porteurs de dangereux virus saisonniers , ils procédaient à la pulvérisation nocturne d’insecticides dans les grandes artères et rues bondées d’arbres , voilà que le même service sous l’actuel composante d’élus semble ignorer pour la deuxième année consécutive cette action oh combien réconfortante pour le commun de citoyen.
ADE : Ça gicle de partout !
Que ce soit sur l’Avenue Abbane Ramdane (Trig el Kharroub ) , rue de la Fontaine , à Gambétta ou le nouveau quartier mitoyen à la trémie de Sidi Djillali et dès l’ouverture des vannes pour la distribution à la population , ça commence à gicler de partout sur les artères et l’ADE semble avoir sombré dans un sommeil léthargique bien qu’ils possèdent tous les moyens de réparation et d’entretien des conduites installées récemment par leur soin.
Algérie Télécom : La fibre optique tarde à venir pour certains quartiers
Si quelques quartiers de la ville sont déjà branchés à l’internet par le biais de la fibre optique réconfortant ainsi les abonnés qui reçoivent un débit réel qu’il paye rubis sur ongle dès la fin de chaque mois , par contre les habitants des Faubourg Thiers, Graba , Sidi Yacine et d’autres se retrouvent malmenés continuellement par le mauvais débit et parfois entrelacé de coupures régulières en raison des nombreux fils de téléphone suspendus ou de travaux en cours.
A niveau du siège ACTEL de la rue de la Paix d’Algérie Télécom, on s’est habitué aux longues chaînes humaines qui se font et refont à longueur de journée sans que les responsables concernés ne s’y penchent pour y remédier , aussi, les cartes de recharge de l’internet, les plus utilisées à savoir celle de 2000 Da se font rare à chaque fin de mois et même en ce début de juillet.
ONA : Plusieurs endroits puent dans une totale indifférence des riverains
Toujours sur l’Avenue Abbane Ramadane, au niveau des feux de croisement (en panne ou mis à l’arrêt) , une conduite semble avoir été éventrée et dégage une odeur nauséabonde au vu et su de tous les passants , ailleurs à quelques dizaines de la brigade motorisée de gendarmerie de Graba , même topo , un regard s’est effondré et a bouché la conduite au dessous , entraînant une évacuation des eaux usées vers l’extérieur tout cela depuis plusieurs jours à croire que les services de l’ONA sont débordés . D’autres parts, l’on signale plusieurs couvercles de regards manquants ou des bouches effondrées. L’on se demande où sont passés les services concernés.