À l’image de cette fosse, la frousse est aussi importante, à conclure des révélations de certains locataires. Un grand trou s’installe tranquillement au beau milieu d’une route qui desserve des centaines de voitures de jour comme de nuit mettant en risque continu des automobilistes.
La route à été fermée au niveau du quartier de chabriere vers la sortie en direction de sidi bel abbés pendant plus de 3 mois pour une éventuelle réparation d’une fuite d’eau, raconte-t-on. À sa réouverture c’est un immense trou qui apparait au plaisir des longues attentes, comme pour punir d’avantage une paisible population déjà en mal de vivre par des fuites et un sol d’apparence labouré.
Les travaux de branchement en gaz de ville ne devront en être une justification pour détruire et dégrader la vie du citoyen, comme circulent des rumeurs. L’entreprise en charge de réalisation d’un quelconque projet similaire doit consulter un plan des canalisations et surtout suivi par l’APC étant seule responsable sur le lieu de ces cas de situations.
La conduite qui desserve, de par le quartier de chabriere à la commune de Boukanefis, l’hôpital Hassani Aek et quelques quartiers de la ville de sidi bel abbés nage au beau milieu d’une fosse submergée d’eau usée qui coule de partout et ne trouve plus ou finir son parcours.
L’eau potable en amont de sidi Ali ben youb réputée pour sa qualité et souvent conseillé par les médecins, pratiquement aux malades de l’hôpital de sidi bel abbés risque de devenir un grand danger pour les consommateurs. L’on se demande si la biodiversité à un sens dans cette commune qui donne l’apparence de rouler sans ‘’pilote’’ !
Depuis l’ouverture de la route à la circulation, l’image semble satisfaire l’autorité de la commune qui ne manifeste depuis, aucun souci ni moindre gêne, comme si un lac vient d’être réalisé pour d’éventuelles promenades. D’ailleurs les riverains, en manque énormément de ces paysages de détente, quant aux passants qui empruntent par ‘’bonheur/horreur’’ cette route auront de quoi se distraire dans leurs discutions en cours de route.
Djillali T