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UNE PENSÉE POUR EL MARHOUM EL HOUARI BOUMEDIENE, SID ELREJAL

ByBenalllal Mohamed

Déc 28, 2014

UN ALGÉRIEN SALUÉ PAR TOUS LES REPRÉSENTANTS DES PEUPLES DE LA PLANÈTE SOUS LA COUPOLE DE L’ONU

L’homme n’est jamais plus libre que lorsqu’ il assujettit ses passions à la raison, et sa raison à la justice. Proverbe

Boumediene, un Homme que l’on ne cessera de faire parler de lui à ce jour et encore plus longtemps, il fait partie de l’histoire. Les uns disent que c’est dictateur, d’autres un communiste, on lui colle toute sorte d’étiquettes spécieuses et fallacieuses selon les degrés de haine qu’ils ont pour lui allant du populiste au criminel sans jamais penser à poser la problématique de la façon ou la dialectique historique s’impose…..
Les petits bourgeois voient t en lui l’origine de tous les maux et drames de l’Algérie d’hier, d’aujourd’hui et de demain. Chacun va avec ses propres préjugés, opinions, on dit de lui que « c’est quelqu’un » qui a commis les plus grandes erreurs et possède les plus grands défauts. Nul ne peut savoir ce qu’aurait pu faire Boumediene s’il avait achevé son œuvre.
Devant cette diatribe, certains ont voulu à leurs manières l’enterrer une seconde fois pour qu’il ne soit plus présent dans les esprits. Il faut dire et reconnaitre en même temps devant tant de circonstances, que Boumediene reste et pour toujours une personnalité mystérieuse. Il a bien soulevé autant de polémique et c’est la preuve irréfutable de la valeur, de sa forte personnalité justement de susciter autant d’impétuosité, de fureur et de passion.
Enfin il n’a laisser personne à ce jour indifférent et c’est pour cela que je me permet d’avancer quelques vérités basées sur des connaissances vraies et non sur des opinions vraies avec un esprit critique et non un sens critique.
Faites-vous des semailles de justice, moissonnez une récolte de bonté Proverbe
A travers l’analyse de ses discours, de ses proches et ceux de son entourage, H. Boumediene ( Allah Yarhamah), les plus sincères disait de lui qu’il était très distrait mais sémillant, timide mais très fier d’être algérien , il était également volontaire mais aussi mesuré, ca se voyait à travers le charisme de ses riches discours.
Boumediene un homme d’Etat, il a lutté pour la grandeur de l’Algérie, en pleine guerre froide entre les deux blocs (l’URSS et USA) ou EST-OUEST il a pu faire un grand retournement du tiers monde à sa faveur pour remettre les choses à leurs places soit le conflit entre le Nord et le Sud, il a consolidé le mouvement des non alignés et intérieurement il a semé les graines des trois révolutions suivit de trois projets bien distinct un projet politique, un projet économique et un projet social.
Le contexte de l’époque était :
*La majorité de la population était rurale.
*l’exode rurale battait son plein
* pays sous développé.
* déficit de cadres de tout niveau et secteur
*lutte idéologique et de culte au sommet
*la pauvreté était à l’extrême
*chômage-femmes et enfants de chahid-….
*Garder un certain équilibre entre l’armée et le politique
*l’absence totale de la société civile.
Et bien d’autres facteurs qui obligeaient Boumediene d’emprunter ce chemin, un autre que lui ne ferait pas mieux sans la societe civil.

C’est bien H. Boumediene qui a avec une façon très opiniâtre dans un discours à Lahore refusé :
* d’envoyer les algériens au paradis le ventre creux,
* il n’a jamais admis, ni conçu l’analphabétisme,
*ni la faim, ni la maladie, ni l’ignorance, ni le gourbi *encore moins l’asservissement.
Il disait : « Les expériences humaines dans bien des régions du monde ont démontré que les liens spirituels (…) n´ont pas pu résister aux coups de boutoir de la pauvreté et de l´ignorance pour la simple raison que les hommes ne veulent pas aller au Paradis le ventre creux. (…) Les peuples qui ont faim ont besoin de pain, les peuples ignorants de savoir, les peuples malades d´hôpitaux. (…)»
Notre génération universitaire de 70, l’avons connu sous l’image d’un homme sur de lui, un moustachu inspirant la prestance ( eroujla), ses yeux perçants , ne recule devant rien pour la justesse de la chose avait une force moralisante. Son burnous en poil de chameau était le seul et unique luxe qui pouvait se le permettre, avec pour usage de l’image une signification de l’Algérie profonde, un habit traditionnel des hauts plateaux ; un symbole pour afficher et affirmer l’identité du grand peuple algérien qui a défié la France officielle et l’OTAN.
Le protocole présidentiel officiel se faisait de la sorte en plus d’un cigare de Castro. Les algériens retenait de lui ce fameux « nous avons décidé la nationalisation des hydrocarbures..) ( Qararna ta emine al mahrouqate), cette phrase qui a bouleversé la face du monde, il avait décidé afin que l’Algérie tiendrait en main sa destinée énergétique. Aujourd’hui, elle est mise en jeu, suivit de grands scandales pour mieux la liquider à tout jamais.
L’équité vient du cœur ; la justice de la raison proverbe

Nous avons connu aussi l’Homme, du haut de la tribune des nations unies ou il avait annoncé un nouvel ordre économique international plus juste et plus démocratique ou les prix des matières premières seraient payés à leurs justes valeurs. Il a défié le monde, les oligarchies (TRUSTS), les USA, l’occident… en avril 1974 c’était peut être le début de sa tragique fin. Tous les présidents sans exception qui étaient dans le front de refus ont été assassinés ?
Certes, le parfait n’existe pas dans ce bas monde, tout homme a sa part d’ombre et Boumediene était bien conscient, des erreurs dans l’agriculture ont été commises, il le disait haut et fort « une révolution qui ne tienne pas sa tête haute, je ne serais jamais à sa tête… » ; Il voulait à qui veut l’entendre et le comprendre qu’il était un révolutionnaire pragmatique. Le problème d’Al Hadjar que les russes devaient le construire, à leur début, il les envoya balader, il ne voulait et refusait catégoriquement la médiocrité.
Gouverner c’est maintenir les balances de la justice égales pour tous proverbe

Toutes ses idées étaient généreuses, il n’a jamais profité de par sa position, ni sa fonction pour s’enrichir ou faire en sorte d’enrichir ses proches.
Son objectif principal était la mobilisation de ce grand peuple et de lui assurer le succès de la triple révolution( industrielle-agraire et culturelle) tout en construisant un Etat qui ne soit pas au service d’une classe de privilégiés mais des intérêts supérieurs du peuple « un Etat qui survit aux hommes et aux événements » , un état qui respecte le droit et la morale et parfaire l’ indépendance politique par la récupération des richesses nationales et mettre sur place les assises du décollage économique. La première ouverture politique, ou l’Algérie entière était devenue un grande assemblée nationale ou la discussion de la charte nationale a permis à tous les algériens de dire et de penser et de s’exprimer le plus librement possible, la liberté n’est en fait qu’un choix.
Si Boumediene avait opéré à son élection avec deux ou plusieurs candidats à la présidentielle, un choix tactique il aurait avec une forte probabilité de l’avoir avec plus de 55% mais la et le contexte extérieur surtout arabe aurait fait des printemps précoces. Il était quand même le premier président algérien élu.
La force économique se voyait :
1-Au niveau industriel :
La conception d’un modèle « les industries industralisantes » élaborée par des éminents économistes était déjà une forme scientifique de modèle de développement (architecture nouvelle), mettre les assises, apprendre à manier la gestion et maitriser la technologie ; telle était la vision et la méthode qui nécessitait bien sur du temps, car la culture du management, de la gestion, du prolétariat et la productivité n’était pas encore acquise, il fallait mettre en place tout un projet de société, la charte nationale était un début prometteur de discussion sur des concepts de liberté et de démocratie en toute liberté . Le minerai de l’ Ouenza était traité à El Hajar produisant de l’acier, des entreprises de liquéfactions de gaz qui était transporté par des méthaniers à travers les oceans , des camions et bus Sonacomes de Rouïba , des téléviseurs ENIE – EMAC -ENADITEX –SONITEX-SONELGAZ – PMA( outils agricoles de SBA)- Complexe Mécanique de Moteurs et Tracteurs ( Constantine)- Complexe de Vannes et de Pompes de Médéa-. Entreprises Chimiques- les Entreprises Electriques- Entreprises de Plastic- Entreprises Pétrolières et Gazières, et bien d’autres entreprises productives, l’Algérie était devenue un grand chantier, le chômage n’existait pas dans le lexique algérien.
Aujourd’hui, tout le tissu industriel a été bradé au point ou on n’arrive même pas à produire quelque chose qui fait le poids en % dans le PIB.
2-Au niveau de l’agriculture :
En 1962, la mise en place de l’autogestion était pour combler la vacance des colons fermiers, c’était déjà un début ou certaines forces voulaient coute que coute socialiser tout le système agraire, sans tenir compte du contexte de la paysannerie algérienne. La reforme agraire ne consistait pas l’abolition de la propriété mais visait à la limitation des grosses propriétés ce qui permettra une juste redistribution des terres.
La révolution agraire ne pouvait donner ses fruits bien que dans sa théorie elle augure une certaine justice et une équité exemplaire. Malheureusement le contexte sociologique de l’époque, ne prêtait pas et cet adage insinue le vrai semblable « El khobza taa ach ra ma tebchi oui- la tabat tan ‘harague »( si dix personnes préparent une galette, elle ne sera pas cuite et si elle est cuite ,elle finie par être grillée) .Par conséquent ,l’échec de la révolution agraire a plus ou moins ternis un peu l’ image de Boumediene. Boumediene voulait que le produit agraire soit à 100% algérien soit un taux d’intégration qui avoisine 100%( input chimique-matériel-sciences et technique)
La socialisation des moyens de production nécessite une culture très avancée, les suédois sont plus aptes que quiconque pour la réussite d’une telle entreprise. L’idée est ingénieuse, mais le résultat était catastrophique. Boumediene l’avait dit grossièrement dans un de ces discours « naal bouha e’taora eli ma tan taj el batata oua ezrodia »( une révolution agraire qui ne peut produire suffisamment de carottes et de pomme de terre ne peut être qualifiée de révolution).
3- La culture :
Boumediene a bâti partout des écoles, des usines, des centres de santé dans les coins les plus reculés du pays, il a tracé des routes, la transsaharienne était un grand défit par l’ANP. Il a ramené du gaz à la ville, de l’électricité, de l’eau pour ceux qui utilisaient encore des fontaines publiques, le barrage vert était une fierté tout cela était bien une culture nouvelle.
Le réacteur nucléaire d Ain Oussara était algérien. En 1975 l’Algérie utilisait déjà le satellite pour transporter le faisceau TV pour couvrir l’ensemble du sud algérien.
L’Algérie a formé qualitativement des enseignants, des ingénieurs, des agronomes, des médecins, des infirmiers des informaticiens ( CERI première grande école du tiers monde en informatique), des chercheurs ,des économistes , des pétroliers, des urbanistes, des administrateurs e t j’ en passe.
Tout cela était bien une culture ; on peut aussi qualifier ceux qui ont osé présenter des films algériens et avoir la médaille de Cannes. La reforme sportive a produit des joueurs de qualité (équipe 82).le théâtre, le livre, les conférences. Par ailleurs, Boumediene ne cessait pas de faire à partir de ces discours à travers tout le territoire national le résumé de ses œuvres (voir les 4 tomes de ses discours dont chaque tome contient plus 650 pages).
Boumediene a engrangé utilement pour le pays presque 20milliards en 13 ans, ce qui lui a permis d’assoir tous ce qui vient d’être inventorié plus haut, aujourd’hui, l’Algérie a amasser plus de 600milliards dont 60milliards pour l a seule année 2007.Qu’avons-nous fait ?
Devant tout cela, quelle Algérie nous propose- t-on à la place de ceux qui ont bâti et espéré faire encore bien mieux.
Regardez autour de vous aujourd’hui, une Algérie saignée par l’ importation tout azimut ( option devenue stratégique= nouveau modèle de la bourgeoisie) et la course à l’ enrichissement par tous les moyens( blanchiments en premier, détournements en second, corruption en troisième….. )
Les plus riches (la nouvelle bourgeoisie parasitaire pilleuse de nos ressources financières) s’envolent pour se faire soigner à l’étranger alors que la populace n’a droit qu’à des hôpitaux sous équipés, des « haragas » ,des « m’hargas », l’Algérie du désespoir, du terrorisme ,du banditisme , des chômeurs , de ceux qui s’immolent c’est le nouveau projet de société ou valeur, morale, science, art ,justice et équité ont laissé la place au désordre sans pareil le proverbe nous dit « qu’il n’y a pas d’ordre véritable sans la justice ».
En 1979, H Boumediene disait à Paul Balta : « Il va y avoir des changements importants. J’envisage pour la fin de l’année ou le début de 1979 ,un grand congrès du Parti .Nous devons dresser le bilan, passer en revue ce qui est positif mais surtout examiner les causes de nos échecs, rectifier nos erreurs et définir les nouvelles options.
Témoins de notre expérience, vous êtes le mieux placé pour juger ces évolutions. »
( P.Balta « intrigué » lui avais posé quelques questions :
* Envisagez-vous d’ouvrir la porte au multipartisme ?
*D’accorder plus de place au secteur privé ?
*De libéraliser la presse ?
*De faciliter l’organisation du mouvement associatif ? Boumediene avait esquissé un sourire prometteur qui allait dans le sens d’une approbation ; « vous êtes le premier à qui j’en parle je ne peux être plus explicite pour le moment mais faite moi confiance vous ne serez pas déçus ».
Le temps a manqué à H. Boumediene Allah Yarhamah
** H.Boumediene a été applaudis par l’ensemble des représentant des pays représentés à l ONU ou il fallait se lever encore pour mieux exprimer la reconnaissance c’était le 10avril 1974 .
BENALLAL MOHAMED

 

By Benalllal Mohamed

ancien cadre

17 thoughts on “UNE PENSÉE POUR EL MARHOUM EL HOUARI BOUMEDIENE, SID ELREJAL”
  1. Depuis la sortie des hebreux d’egypte les soit disant sage d’israel n’ont pas pu trancher sur la question est sera roi sur israel. Ils ont contesté le choix porté sur Talout, ils voulaient un riche personnages. Jusqu’a maintenant les sages d’israel qui composent l’elite des chretiens et israelites ne savent absolument rien de la question car tout boneme’t Dieu ne leirs pas montrer la raison de Son choix. Ils restent encore dans le doute perpetuel depuis des siecles. On ne va pas analysé leurs déboires.Mais chez nous l’exemple de l’ALN. vs Tribus algerienne est semblable au cas de Taloute.
    Boumedienne a signésamort lorsqu’il s’est laissé entrainé pour nationaliser le petrole..il est sortie de l’alan pour commercer avec une brache politique du FLN..il aperdu sa neutralité de l’ALN toutes les teibus algeriennes voulait sa tete..c’est pourquoi notre frere zeroual a été plusieurs fois plébicité . Bouteflika lui aussi a perdu de sa neutralité en faisant des projets politiques..Chadli etait rusé par son silence il a donné le titre de moujahid a son poste de president….
    Bonne année 2015

  2. Bonne année 2015 pour toute l’algerie. Et je vais l’ouvrire sur le départ d’une longue reflexion Moussa 3alayhi essalame contre Karoune. Le premier etait sencé départagé les tribus d’israel, a lui on avait donné le pouvoir des armés symbolisé dans son baton. A karoune on lui avait ouvrie les tresors la finance qu’on aime appelé maintenant, un tresors que souhaite tout homme politique pour entamer son programme de developpement et l’implser a tout le monde. La question qui se pose pour 2015 qui serait été president ou roi ou empereur sur Israel ? Moise ou Karoun?..

  3. En particulier ici en algerie lorsqu’on évoque l’argent de l’homme polotique on l’évoque d’une maniére de culpabilisation, En definition un homme politique doit avoir de l’arge’t halale , doit etre riche de famille notokrement riche et qui est tenue de multiplier sa richesse. La richesse et talabpu el kayrate, est une condition obligatoire sur chaque monothesite homme comme femme..Ceux qui puisent dansla recette fiscale qu’elle soit laique (impot) ou sadakate (islame malékite) ne sont pas quailifié de voleur mais de traitre et de ghoulate, passible a la paine de mort..Boumedienne comme ce feneral a l’armé peuvent faire de l’arge’t si ils passe’t du coté poltique. Mais ta’t qu’ils exercent dans le monde juridique et personne ne les a obligé l’engagement etait volontaire dans les services de la nustice et dans la gestion de l’argent et les biens publiques, il se se tenir au reg,es. Il aura un salaire mais ne cjercje pas a aller au delas, s’il cherche l’argent il va a la zone industriel, c’est ce qui repetaot el marhoum, car boumedienne avait fait des etides de droits il savaient beaucoup de chose mieux que certain francophile illectrés..
    Le pouvoir c’est vrai algerie etait un amalgame de juriste laique musulman et basnassa politique..il falait faire la separation mais jusqu’a maintenant meme les europeens eux meme n’y arrive’t pas car dans leurs anciennes habitudes le roi faisait le double role  »juge et prporietaire partisan » y’a que le mo’de islamique qui a réussi cette prousse le juge d’un cote et le riche de l’autre,, comme au temps de Moise
    Moise le juge entre tribu d’un cote et le milliardiare Karoune de l’autre,,Dommage les judeo chretiens n’ont pas réussi jusqu’a mai’tenant a lire ce cas et l’analyser..il se passait cjez eux..je repette Karoun vs Moise
    Salutation

  4. Honte a vous si vous avez un gramme de dignité de dignité, l’hypocrisie a deux visages et souvent deux cœurs (les méchants comme la mer agitée qui ne se calmer?). Le président Houari Boumediene qui su faire la transition entre 132 ans d’occupation et de l’éducation de son peuple, certains traitres extrémistes aux allures fascistes ont essayer de profiter pour faire valoir des revendications minoritaire au détriment du peuple algérien, ces extrémistes hypocrites ne voudront jamais êtres gouvernés que par un des leurs. el marjoum Houari Boumediene un vrai leader ,ceci explique pourquoi ils ont empoisonné. le méchant si vous le trouvez dans le feu, mettez-y du bois. Proverbe arabe.

  5. Salam aleikoum. selon la CNEP el Houari Boumediene était la deuxième personne a ouvrir un compte d’épargne, a la caisse nationales d’épargne et de prévoyance (CNEP) et ce en date du 06 mai 1966, son numéro de compte était 000002/08 ouvert y déposant la somme de 500 dinars. Le compte du président Houari Boumediene n’a connu aucun changement et la somme n’a pas changé si ce n’était les intérêts qui se sont élevés âpres on années a 198,37 dinars soit un total 698,37 da, le solde laisse par l’ancien président de la république el Houari Boumediene, après sa mort en 1978, le document signé par le chef de centre (CNEP) Alger, N. Bouzidi, montre que le compte CNEP de Houari Boumediene n’a connu aucun versement de somme d’argent durant toute la période indiqué hormis, les 500 dinars déposées lors de l’ouverture du compte. le président Houari Boumediene illustre le proverbe bien chez nous qui dit vécu sans avoir rien possédé, mort sans rien avoir laissé. (3ache-ma-kseb. wa mat – khala) cette histoire montre une rare qualité chez cet homme d’État, connu pour sa droiture, son honnêteté et sa fermete , il veillait sur les intérêts du pays, contrairement a de simples petits responsables dont les avoirs ici et ailleurs sont difficiles a lire tellement il y a plein de zéros a droite.
    Voici le détail du document relatif au compte du président Houari Boumediene.
    Monsieur Houyari Boumediene numéro de compte CNEP : 000002/08
    Date d’ouverture de compte : 06 mai 1966,
    Premier versement effectué : 500 dinars
    Année……. Intérêts
    1966…………8,75
    1967………..14,24
    1968……….14,64
    1969……….15,05
    1970……….15,47
    1971……….19,88
    1972……….20,58
    1973……….23,31
    1974……….22,04
    1975……….22,51
    1976……….23,01
    total……..198,37
    un document rare,dont Ennahar détient une copie (preuve en beton) détient une copie fait état de l’avoir bancaire de l’ancien président de la république el marhoum Houari Boumediene qui en 1976 s’élevait a 690 dinars et ce après 11 années a la tète du pays. Cordialement.

  6. Bonjour,

    Étrangement , après la mort de Boumediène, il s’´est produit une déboumédienisation rampante et les mêmes laudateurs de la période précédente devinrent des Fouquier-Tinville en puissance. Tout fut démonté, au propre comme au figuré. Curieusement aussi, le personnage de Boumediène n´a jamais fait l´objet d´une étude de son action. A tous les détracteurs, qu´il suffise de retenir les données objectives suivantes: de 1965 à 1978, date de la mort de Boumediène. l´Algérie a engrangé, en 13 années, l’´équivalent de 22 milliards de dollars. Ce qui a permis d´asseoir une industrie chimique, une industrie mécanique, une industrie sidérurgique. 30 ans après, il ne nous reste que l´outil de raffinage (22,5 millions de tonnes) et pétrochimique. Nous sommes bien contents de l´avoir car, depuis, nous n’´avons pratiquement rien investi dans l´aval. Tout a été investi dans l´amont pour rendre plus facilement exportables les hydrocarbures liquides et gazeux et être des bons élèves de l´Occident au détriment de nos obligations vis-à-vis des générations futures. Depuis 1979, l´Algérie a engrangé près de 400 milliards de dollars dont 59 milliards de dollars pour 2007.
    Il est donc malvenu, objectivement, de nier ce qui a été accompli par le président Boumediène. Naturellement et comme tout homme, Boumediène avait sa part d´ombre et avait fait des erreurs, dit-on, dans l´agriculture, il n’´empêche que ses idées étaient généreuses et il ne profita pas de sa position pour s´enrichir. Pour avoir donné des motifs de fierté aux Algériennes et Algériens. Pour avoir entretenu l´aura de la Révolution algérienne contre vents et marées. Pour avoir simplement fait son devoir, il quitte l´histoire, il entre dans la légende. L´Algérie a plus que jamais soif d´Algériens de sa trempe pour lui redonner espoir.
    Quant à Ghozali est mal placé pour parler de Si Boumediene allah yerhmah
    Bonne année à Tous lecteurs de BAI.

    1. Boumedienne travaillait pour le compte de son parti apres l’indépe’dance. Boumedienne est un personage de 3 facettes comme resistant dans les année 30 comme soldat dans les années 50 et comme preside’t d’un parti dans les 60..
      Si boumedienne n’existait qu’aurait fait le FLN en majorité composé par la classe ouvriere et financés par qui? Un parti doit avoir de l’argent pour ces activités.
      Dans le FLN qui n’etaot pas homogéne comme maintenant car le FLN a éliminer la creme plurielle. Maintenant il est devenu homogéne. Les regles so’t devnue claires  »koule et wakale » ensuite apres chadli et la’crise du petrole la regles s’est inversée  »wakale el klile et koule el yassére »..c’est cela en gros le but de la corruption…
      Boumedienne etait un homme parmis ta’t d’autre.. un general de l’armée de l’epoqie de chadli dans un interview a la question  »est ce que tu n’a pas construi une usine? Oui répond t’il apres ma retraite, mais lorsqie j’etais. La caserne je disais a tout le monde  »lorsque vous me voyez voler. Volez. »
      En arabe  »kitchoufouni nakhwane. Akhawnou,, » il est encore viva’t que Dieu lui offre 120 ans.
      Salutation

  7. De l’avis même de ses pires ennemis, Boumediene était un président hors-pair. Sa vie durant, il batailla pour le développement de l’Algérie, pour son émergence parmi les grandes nations et pour la prospérité du petit peuple. Contrairement au commun des dirigeants, il n’admettait aucun passe-droit pour ses proches et ceux qui le connaissaient de près disent que sa vie privée était une «leçon de morale». Certes, Boumediene n’était qu’un être humain et, à ce titre, il ne pouvait point ne pas être infaillible. Comme toute âme donc, il a pour lui ce qu’il a pour lui et contre lui ce qu’il a contre lui. Quant à nous autres citoyens lambda qui ne faisons pas de la politique, nous ne serions pas sincères si nous ne disions pas que nous avons beaucoup aimé ce Président.
    P.S: Mes salutations les plus distinguées à Madame Le Cygne dont j’apprécie énormément les interventions.

  8. Ce que nous voulons c’est que les choses reviennent a leurs justes places car la révolution de l’algerien contre l’oppression ne demarait pas en 1954.. la lutte a commencé depuis la chute de l’empire arabe sous le coup fatal des mongole. Depuis ce tte nuit l’agerien nos gra’ds pare’ts generation apres generation avions refusé de baisser les armes, et la lutte continu jusqu’a maintenant. Certain de nos administrateurs algeriens fo’t pire que l’administrateur d’hier marocain turc romain français etc..on veut des institutions ou les regles sont imposés sur tout le monde. On ne veut pas de tonne de lois qui renferment des regles qui ne sero’t appliqués pour appliquer sa lois local. Un president qui sait parler et mobiliser sert un clan politique si ce clan le gratifie pour la prise de pouvoir c’est leurs affaires internes. Un president qui fait la politique d’un coté et la justice de l’autre ne sera ni homme politique ni juge.
    Ou tu lache la nustice ou tu lache la politique, car si tu tiens la justice tu vas légififéré pour bloquer la majorité et previligier les tiens..Houari boumedienne etait de lALN ensuite du FLN a l’indépendance, en politique tu as des amis et tu auras tpujoirs des opposa’ts pas des ennemies. En politique on utilise le mot opposant c’est a dire qu’il n’est pas d’accord avec toi sur un projet que tu vas faire. On ne lache pas la police contre un opposa’t on négocie avec lui. Ce n’est un ennemie

  9. Bonsoir, Je suis d’accord avec Lila. Trop d’algériens fonctionnent sur le mode affectif et c’est un triste constat quand le rationnel fait défaut. Boumédienne était un dictateur et c’est avéré même dans la bouche d’un commis de l’État comme Ghozali. Les gens qui n’admettent pas de juger la politique d’un homme du passé et quand on parle du passé automatiquement on s’adresse vertueusement à l’histoire avec un grand H sont à mon sens des irresponsables ou bien ont des reproches à se faire de par leur contribution dans de basses besognes vis à vis de leurs consciences, si conscience, il y a ou bien tout bonnement des tarés puissance mille qui s’accordent harmonieusement avec la conception même des personnes soumises et masochistes. Sinon, c’est à ne rien comprendre. Certains se prévalent d’une telle moralité et de sainteté de bazar pour employer des superlatifs dépassant tout entendement. L’armée des frontières y compris Boumédienne ont contribué au résultat que connait l’Algérie aujourd’hui et peu ou prou la vision et l’amour qu’elle portait à l’égard du pays. Boumédienne était de cela ! L’histoire est là pour le signifier. Tout le monde peut-être juger même à postériori. Y a pas de mal et puis avant tout ce n’est rien d’autre qu’un homme qui a certainement fait de belles choses et des actes impardonnables comme Boussouf et sa clique. L’histoire est entrain de s’écrire et de révéler bien de choses obscure qu’il en déplaise à tous les adeptes de l’immobilisme ou les amoureux du culte de la personnalité. Pour finir un dicton qui embarrasse pas mal de susceptibilité rongé par des remords et qui nous sortent des formules du genre laico-hizbo frança-sionistes-ennemis et j’en passe car c’est tellement pitoyable et ridicule qu’il ne faut pas s’attarder devant des neurones bloqués depuis 1965. Qui se sent morveux se mouche

  10. Je vois que vous vous placer en tant que juge, vous êtes entrain de juger l’injugeable, notre président Houari Boumediene (rahimah Allah) le plus charismatique et le plus intelligent des présidents depuis l’indépendance, vous osez inculper une victime qui c’est battu pour votre liber, vos droits, le droit d,exister entant que (ghachi) peuple algérien dans le monde, je ne suis fier de voir qu’il y a des lâches parois notre communauté, et je serai fière d’avoir eu et d’avoir encore un dictateur comme lui pour briser et châtier des gens comme vous, la souffrance est une chose qui ne s’applique pas! a l’époque de Houari Boumediene ces traitres vécurent sous la surveillance déterminante des services spéciaux que el marhoum Abdelhamid Boussouf (si Mabrouk) avait a l’origine initiés. les traitres, les faux opposants, les extrémistes, les déviants, voire les simples brebis galeuses, les renacleurs, furent traqués et mis au pas par la toute-puissante sécurité militaire. y’a el marhoum Houari Boumediene repose en paix quand tu te rendre compte que ceux qui vous critiquent aujourd’hui n’auront jamais eu l’occasion de le faire? Quand le lion saigne les chacals reprennent courage, proverbe africain. Cordialement.

    1. Sallamou Alaykum
      @navajo31, cher frère, il faut éviter de de porter atteinte aux personnes qui émettent leurs opinions personnelles, tout comme vous.
      Nous sommes entre nous, des algeriens, nous devons debattre des sujet sans passions. Nous ne devons que soumettre nos point de vue et laisser les lecteurs appréciser et nos argument et nos manières.
      C les lecteurs qui tranchent.
      Sallamou Allaykum mon frère
      DZiri

  11. Je pense de ma part qu’il est temps de marquer un arret émotif. Boumedienne etait l’algerien des années 20. Musulmans arabes qui vivaient en indépendance totale du colonisateurs. Le’fln n’a rien fait en face de l’aln.ni en face de la gauche franco algerienne d’avant guerre qui voulaient faire scission du pouvoir de Paris. Et obtenir l’indepeda’ce comme l’ont fait les eropeens de p’afrique du sud. Donc Boumedienne n’etait ni un super man ni un genit. Il ressemblait a des milleirs d’algerien et d’algeriennes
    L’algerien etait rude travailleur homme de parole pas de monsonge pas de trafique droit, il ne savait pas écrire mais il savait produire du blé de l’orge du beurre des tapis de toite les couleurs.
    Salutation

  12. el marhoum le président Houari Boumediene, l’homme qui faisait trembler l’entité sioniste ?
    on ne peut cacher le soleil avec un tamis (echems wala tedreg bel-ghorbel) comme on dit chez nous, le président houari Boumediene fut un digne fils du pays, il ne visait que du bien, non seulement pour son peuple, mais pour toute l’humanité et surtout les pays du sud, un homme d’une intelligence exceptionnelle, il n’a eu le temps qu’il faut pour concrétiser son projet qui n’est rien d’autre que d’élever l’Algérie au rang des grandes nations, seul Allah sobhanah est a l’abri des erreurs, pour les humains c’est inévitable, en ce qui concerne el Houari Boumediene, il ne visait que du bien pour l’Algérie, les algériennes et les algériens. Houari Boumediene reste la seul légende? Rahimek Allah sa Allah yarham chouhadas.

    Cheikh Ibn Badis Abdelhamid réside dans son appel a l’Union sous le signe de l’islam, de la nationalité, de l’arabisme a coté de la formule instruisez-vous, c’est celle d’unissez-vous que el marhoum Cheikh Abdelhamid Ibn Badis emploie le plus. le peuple algerien arabo-amazigh-musulman? l’islam et la religion d’État, l’arabe est une langue nationales et officielle. L’Algérie n’est pas la Francafrique? l’Algerie ce n’est pas la france? L’Algerie ce n’est pas un pays francophone et le grand president Houari Boumediene est un arabo-amazigh-musulman. Vive la langue arabe dans le pays. plus de cent trente deux années d’occupation des odieux colonialistes français n’ont pas domestiquer nos corps. vive la langue arabe vive l’Algérie libre indépendante et souveraine. Mieux vaut vivre enchainé près de celui que l’on aime, que libre au milieu des jardins près de celui que l’on hait. vivre libre et digne même misérable, la dignité de l’homme n’a pas de prix. Cordialement.

  13. Il est évident que Houari Boumediene a marqué son époque de par son intégrité et son amour pour l’Algérie, c’est incontestable et depuis sa mort, les vautours se sont accaparés les richesses de l’Algérie, l’Algérie des convoitises, de la corruption à qui s’enrichit le mieux, le plus haut. À peine enterré, les couteaux s’aiguisèrent pour placer un protecteur en la personne de Chadli Bendjedid afin de mieux voler et de placer le fric en lieu sur Zurich, Paris, Madrid, Caracas, Mexico pour certains New York.
    Pour dissiper toute rumeur de l’argent pillé, on étouffera sous un nuage de fumée le scandale des enrichissements personnels, alors pour des règlements internes, on sortira le dossier de Belloucif pour faire croire au peuple, que le pays est bien dirigé. Donc, l’aspect iconoclaste du défunt et l’homme d’État est incontestable !
    Cependant, il faut retenir une chose, l’Algérie a été dès le départ à partir de Oujda, Tunis et Nouadhibou une terre des convoitises. Le clan Boussouf et consort pour ne pas évoquer ses acolytes : Belkacem et Bentobal ayant liquidé le cerveau de la Soummam Abanne Ramdane pour des raisons liées au politique (l’ascendant du politique sur le militaire) et l’autre concerne le commerce ou le balbutiement de l’industrie de l’armement. Le colonel Boumediene qui soutenait Ben Bella lors du premier coup d’État de 1962 pour évincer Benkhedda élu démocratiquement à Tunis et non paraphé à Tripoli (voir ‘’l’été de la discorde’’ de Ali Haroun). Le coup d’État de 1965 a vu quoi que l’on dise des historique malmenés ou emprisonnés : Ferhat Abbés et Mohammed Harbi pour ne citer qu’eux. Je ne cite pas les assassinats de Khider à Madrid, de Krim Belkacem à Francfort encore moins les disparitions mystérieuse des colonels Saïd Abid et Chabou. Plus tard après la tentative de renversement de Tahar Zbiri, plusieurs hauts cadres ont disparus dans des conditions bizarres de même que l’assassinat de Medeghri. L’autre échec sous la présidence de H. Boumediene, les 3 R. Révolution agraire qui a anéanti l’agriculture et encouragé l’exode rurale, la révolution industrielle qui sans planification sur le moyen et le long terme avec une embauche sans rendement et qui par la suite à fait des algériens, un peuple d’assisté. Enfin la très grande catastrophe étant l’arabisation sous la pression des militaires formés en Irak et en Syrie. Mustapha Lacheraf qui était son conseiller avait reçu une carte blanche pour lui fournir un rapport sur l’arabisation qui allait être promulgué, malgré ce rapport. Cette mission finalisée par le conseiller du Président contenant plus de 300 pages mettait en garde surtout la précipitation d’une décision qui allait être cruciale pour la jeune Algérie. La branche arabisante parrainée par Taleb Ibrahimi l’avait remporté. Les meilleurs cadres de l’Algérie s’envolaient sous d’autres cieux et la suite on la connaît.
    Depuis, le pays ne s’est plus relevé contrairement à d’autres pays africains qui émergent et qui n’ont pas rejeté la langue française –tribu de guerre- disait le grand Kateb Yacine. Aussi sous la pression de certains islamistes couleur FLN, des mosquées s’érigeaient comme des champignons et c’est là que campaient les artisans de la décennie noire. Houari Boumediene était un véritable bilingue (voir l’une des premières interview par Gérard St Paul) et un laïc sans complexe. Son discours à Lahore, lors de la conférence des pays islamique est sans contestation laïc pour ne pas dire marxisante Je pense malgré ce que l’on peut lui reprocher cité ci-dessus s’était rendu compte des erreurs politiques et d’après Paul Balta : Boumediene allait convoquer une réunion extraordinaire pour un virage politique cohérent. Je suis certain, qu’il allait le faire pour la simple raison qu’au moment où il survola pour la dernière fois la France de retour de Moscou, un message appelant adressé à Giscard qu’il ne portait pas dans son cœur, un rapprochement des deux pays pour une vision portant sur le long terme. Ce grand dirigeant avait lors du coup d’État de 1965 avait promit un livre blanc sur la gestion de Ben Bella, or on sait que rien n’a été fait, ni procès ni livre et le premier président ayant été porté par celui qui allait le démettre est resté plus de 12 ans en prison. Boumediene avait deux équipes sur lesquelles il s’appuyait pour diriger le pays. La plus clairvoyante était francophile qu’il en déplaise à certains. Les hauts cadres. L’autre partie arabisante s’était forgée une légitimité en s’appuyant sur les anciens moudjahidines et officiers formés en Egypte, Syrie, Jordanie, Irak. Nos pays frères la Tunisie et le Maroc sont parfaitement bilingues. Ils maitrisent la langue de Molière et d’Ejahed. Ils ont des universités d’excellence et le résultat est sans équivoque. Chez nous on a placé la charrue avant les bœufs. Cela s’appelle le populisme. Des universités partout pour des résultats inconséquents. Notre tort c’est d’avoir sourit à ces sirènes de gouvernances nuisibles et comme dit le proverbe, on récolte ce que l’on sème. Il a eu des positions courageuses notre président : les deux guerres 67 et 73 Roujla, il n’ y a rien à dire. Seulement voilà, l’Algérie depuis paie le tribu lourd de ce soutien aveugle aux palestiniens. Il fut un homme intègre, aimant à sa manière l’Algérie, mais loin d’être un ange. Allah yerhmou. S’il était de ce monde et avec des SI, ni FIS, ni FLN rentier, ni Bouteflika, ni DRS, ni Hamadèche. Il aurait aimé post mortem, la pertinence d’un Kamel Daoud.

  14. Des minables et beau marché osent critiqué une denrée si rare ou presque inexistante comme notre regretté Houari Boumediene, il m’en demeure pas moins qu’en dépit des conditions déplorables de travail, âpres l’indépendance, le grand homme Boumediene, se debattais a mettre sur pieds de manière concrète et sérieuse un pays digne de ce nom y, au profit exécutif du peuple, de ce fait un travail malgré tout été accompli en un lap de temps record , d’où indiscutablement des résultats palpables ont été rensents sur le terrain et dans le monde entier,ben tout point de vue, seulement, je considère et déplorable a constater que la félonie et la propension attentatoire aux intérêts de l’État, puissanteêtres aussi efficace au point ou une personne de ces traitres se voient forcés et contraints de critiqué et jugé les morts, auprès d’Allah assumeront leur propos et leur responsabilité au terme de la de crépitation qui prend de l’empleur, de ces traitres par un climat glauque régnant au sein de notre cher pays grâce a des minables moins que rien de…? Vive l’Algérie, vive Houari Boumediene et tous nos martyrs, que dieu tout puissant leurs accorde paix a leurs âme et l’entrée dans son vaste paradis. Cordialement.

  15. El marhoum Houari Boumediene, c’est inconstablement l’une des rares figures révolutionnaires a s’être opposé viscéralement au diktat de l’impérialisme et au néo-colonialisme français, pour les traitres qui ont monnayé l’indépendance algérienne et la glorieuse révolution, el marhoum Boumediene a su prendre les disposition idoines afin que l’Algérie ne vive pas une deuxième indépendance et ne soit pas assujetti aux desiderateurs des néo-colonialistes et des nostalgiques pervers de l’Algérie française, a l’instar de la côte d’Ivoire, du mali et du Maroc, (francafrique) pour ne citer que quelques uns sa légitimité a été démontré et l’histoire ne se fait pas a reculons, que bien même El marhoum Boudiaf aurait pu prendre les mains du pays en 1962 mais a été évincé par un moudjahid au nom de Benbella qui a juguler le danger venu de l’ouest en 1963 ou les assaillons marocains voulant modifier le tracé frontalier entre les deux pays. Un homme peut mourir pas un symbole. ya houari Boumediene rahimak Allah wa Allah yarham chouhadas. Cordialement.

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