Avec 1200 citoyens syriens assassinés parmi la population désarmée rapporte la chaine française (antenne A2 ).
Et 8500 réfugiés vers les frontières constatés par les experts de l’ONU qui se trouvaient mardi à la frontière syro-turque pour recueillir auprès de milliers de réfugiés syriens des témoignages sur la répression du régime de Bachar el-Assad qui a touché de nouvelles régions du Nord malgré les condamnations internationales.
les réfugiés disent :
préférer cet exil et sa précarité à la barbarie des soldats
Plusieurs témoins, dont un colonel déserteur interrogé par l’AFP en Turquie, ont raconté avoir vu « des snipers iraniens » et des membres du groupe chiite libanais Hezbollah tirer sur la foule.
Un officier syrien, Hussein Harmoush, a par ailleurs confirmé des dissensions au sein de l’armée, racontant avoir « tendu des pièges » avec d’autres déserteurs afin de retarder l’avancée des pro-régime à Jisr al-Choughour. Aprés cette ville , les chars de l’armée poursuivent leur œuvre macabre .
« Une autre ville syrienne affronte la répression militaire »
« Une fois sa mission remplie dans la ville rebelle de Jisr Al-Choughour, l’armée syrienne a entrepris de se déplacer vers Maaret Al-Nomaan, cinquante kilomètres plus à l’est.Cela laisse penser que la ville doit se préparer à une répression sanglante de ceux que le gouvernement appelle des ’groupes terroristes’ », titre ET détaille le quotidien de Dubaï.
un seul espoir !
Malgré tout, la mobilisation hostile au régime ne fléchit pas et des manifestations nocturnes continuent d’avoir lieu, selon l’opposition.