la trêve n’est désormais pas pour demain. Ni les chauffards ni les vendeurs à la sauvette ne semblent baissés les bras. La circulation fait à sa guise se référant à multiples conditions complexes, et les vendeurs s’agrippent à la voie publique comme recours à leur situation mettant en évidence le chômage et les ‘’besoins’’ sociaux.
La lutte s’allonge et prend d’avantage d’élan dans le temps et ouvre bien des ‘’guillemets’’ avides de solutions plausibles qui assouvissent ce conflit existentiel entre les forces de l’ordre, l’activité informel et la folie des routes. Une vraie guerre sans armes, démunie en plus de doctrine de vrais connaisseurs et chercheurs dans ce domaine qui nuit au développement et à l’économie du pays.
Une semaine a suffit de mettre au diapason les chiffres des services de la police avec une réalité qui persiste malgré d’énormes efforts. Quatre accidents (04) de la route, dans un bilan hebdomadaire, l’équivalent presque d’un accident par jour. Heureusement pour cette fois il n’y avait que des blessés mais d’avantage de dégâts. La route impose son régime, ses règles de jeux dans l’absence de cameras et d’autres techniques ou moyens de surveillance ayant trait à une meilleure sensibilisation.
Les policiers font ce qu’ils peuvent, ou plutôt se limite à ce qu’ils sont appelés à faire. 164 permis de conduire ont été retirés et plus de 53 infractions routière enregistrées, 04 infractions en relation avec la santé, les immondices et les espaces vert. La traque au commerce informel comprise dans 26 opérations policière s’est soldée par la saisie de 2.797 KG de produits de consommation et 148 pièces de matériaux non consommable, selon un communiqué de la police.
Djillali T