Le lambda algérien veut s’enrichir par tout moyen au moindre effort, alors que la situation du contexte actuel n’est pas en sa faveur car se sont seulement les riches qui peuvent s’enrichir, les non -riches c’est-à-dire les pauvres ne peuvent que s’appauvrir telle est l’équation économique et sociale de la vie quotidienne. C’est tout simplement les nouvelles contraintes qui cristallisent le système économique actuel qui gouvernent notre pays. Le fric ne peut emprunter que la destination de celui qui a du pognon vulgairement on dit que l’argent va à l’argent, c’est une algorithmique instinctive .La grande masse de la population est peuplée de pauvres gens qui possèdent peut d’argent pour se nourrir, s’habiller, se distraire parfois… la question que les riches via le gouvernement se posent est comment vider les poches de ces lambadas, eh ben ! il s’agit de trouver un mécanisme sinon un système pour qu’il ne soit pas trop compliquer afin de booster malicieusement ce transfert.
Il est clair, et visible que nos riches se sont fait une place aux yeux des « pauvricos » pour quelques miettes de « sous » distribuer lors des fêtes religieuses pour effacer l’image de l’amour de l’argent ou de l’argent « maitre »
L’axiome de la science économique est que l’argent émerge d’une source inépuisable (travail), se propage, coule pour irriguer les êtres humains capables de fournir un effort social positif jusqu’au filet social plus le « fric » se répand plus et plus il fait plaisir en arrosant les lambadas pour un temps.
L’activité économique respire pour que tout le monde soit beau et tout le monde soit joli jusqu’au jour ou le flux tempère par de diverses facteurs hyperinflation, récession ; désinvestissements, tarissement de la rentre…
l’Etat ou le gouvernement ne trouve plus de liquidité, alors il imprime unilatéralement des sommes importantes en monnaie « non conventionnelle » et les infusent dans les circuits économiques pour booster les faux agents économiques, les poches des lambadas devront par principe humain se remplir par de nouvelles activités créatrices de valeurs ajoutées plutôt que de se vider par une récession suivit d’une hyperinflation, suivit par une financiarisation spéculative ou tout se multiplie jusqu’à trois ou plus et le salaire se divise ,ne laissant plus de place pour une épargne sensible .La disparition de l’épargne suivit de l’augmentation des charges et des prix de biens et services font du lambda un petit nouveau « pauvrico » qui devient une charge pour l’état et donc un cout supplémentaire à prendre en charge que le Mr. Le médecin FMI refuse de lui mettre en place un service pour le prendre en charge car ce cout (argent public) doit être destiné pour remplir les poches des riches dans ces temps des vaches maigres.
Ailleurs, les très pauvres se révoltent de temps à autre et surtout pour donner un autre sens de la fête du premier Mai, c’est une théorie Marxiste qui est encore en cour pour des « peuples vivants » les « peuples morts » sont appelé chez nous « AL-GHACHIS ».
Devant cet état de fait que devrions nous faire pour que le lambda puisse vivre décemment et faire face à cette situation économique désastreuse, il ne s’agit pas d’incriminer la bêtise en elle-même, ni l’impertinence en soi, ni l’inconvenance de l’économie, ni la méchanceté du politique .Il s’agit de bien viser et bien cibler l’auteur de ce crime économique pour le mettre hors circuit du contexte politique, économique , social et culturel.
BENALLAL MOHAMED