Il y a, à peine une quinzaine de jours et après rappel à l’ordre du Wali, tous les indicateurs de bonne entente entre élus de l’APC semblaient virer au vert, une entente qui a débouché sur cinq points inscrit à l’ordre du jour de la plénière ordonnée par le Wali, le 25 novembre 2018 . Cette dernière qui a été entamée (voir article) pour finaliser les grands axes du budget 2019 , n’a malheureusement pas encore abouti à cette date et depuis quelques jours, on observe qu’elle est toujours en suspens pour divers motifs dont le principal grief demeure le fameux quatrième point touchant la redistribution de la vingtaine de postes clés de l’APC que revendiquent les élus.
Or ce quatrième point est brandi par des élus frondeurs comme l’épée de Damoclès, avant de passer au dernier et important point à savoir le débat et adoption finale du budget 2019, et qui demeure l’énigme à toute reprise des activités des élus de l’APC jusqu’à devenir la principale source de discorde entre élus de cette majorité partisane, sortie victorieuse au scrutin de novembre 2017 , il s’agit de la révision de l’attribution des postes de responsabilités au sein de l’assemblée qui, disent-ils, ont été attribués unilatéralement et sans leur consentement alors que du coté du maire, on avance que même la dizaine de postes offert depuis l’intervention du Wali, n’a pas suffi à cette majorité qui en veut plus et presque la totalité et c’est le blocus qui dure.
Aux nouvelles revendications qui enveniment la reprise de la plénière bloquant dans son sillage, toute activité de développement de la commune depuis le 25 novembre, on assiste depuis ce matin à un autre son de cloche qui vient s’en mêler aux dissensions observées, il s’agit des travailleurs de la commune cette fois-ci, qui se sont donnés le mot d’ordre par réseaux sociaux et se sont rassemblés devant le siège de la wilaya, exigeant du premier magistrat, tout d’abord l’écartement de leurs représentants syndicaux qui « ne sont présents que pour se servir » disent-ils et ensuite « le départ du maire » , un slogan scandé par une autre partie de ces travailleurs, alors que d’autres exigeaient « qu’on laisse le secrétaire général de la commune travailler sereinement ».
Il est clair que les conséquences de ce « remue-ménage » au sein de l’APC ne laissera pas indifférent le Wali qui avait déjà , rappelons-le, piqué d’une colère lors de la première séance du 25 novembre, vient d’exiger en ce début de semaine, une fin urgente à cette discorde avant ce jeudi 12 décembre et suit de très prés les développements de cette affaire . Hier,11 décembre et suite à cette instruction, le maire les a convoqué pour une dernière réconciliation, malheureusement on signale que cela n’a pas abouti laissant la porte ouverte à toutes les supputations. Affaire à suivre !
Il n’y a pas si longtemps , Monsieur HELLAL, vous souteniez le contraire en osant crier victoire, la bêtise n’aurait pas été mieux configurée . C’est ce que j’ai tenté d’exprimer, malheureusement l’inquisition en a fait autrement, alors que n’ai fait que rappeler que se jouer de la démocratie n’est à l’honneur de personne. Maintenant que le brouillard s’ajoute aux ténèbres on s’éveille avec les regrets , et des larmes de crocodiles pour s’apitoyer sur les atermoiements de la composante de l’APC . J’avais dit en son son temps que les ingrédients du gel du fonctionnement de l’APC n’ont rien de différents par rapport à ce qui se dit aujourd’hui , comment voulez-vous qu’il y ait du changement , d’autant plus que travaux de coulisses malfaisantes sont plus nocifs que jamais. La mascarade d’où qu’elle provient n’est pas l’apanage d’un groupe par rapport à un autre, c’est SIDI BEL ABBES QUI EN SUBIRA LES SÉQUELLES PENDANT DE LONGUES ANNÉES . Gamineries ou stupidités ou les deux se cumulant ont eu raison de l’innocence des citoyens qui en attendaient tant de leur ÉLUS RÉCALCITRANT À UN DEVOIR FINALEMENT TRAHI