La reprise dans l’après-midi du 19 décembre de la plénière de l’APC , propulsée encore une fois par le Wali, devait en principe aboutir à un consensus entre élus sur l’avant-dernier point considéré comme point de discorde de l’ordre du jour et qui a été posé comme préalable à tout débat et adoption du Budget primitif de 2019. Il s’agit de la révision de toute la composante de l’exécutif de l’APC à savoir les 20 postes de responsabilités communales rémunérés que compte l’exécutif or pour le maire, cinq postes qui ont été attribués par ses soins, au début du mandat, sont exclus de cette revendication et c’est le blocus qui dure depuis une année.
En effet, ce quatrième point inscrit à l’ordre du jour de la séance du 25 novembre écoulé (Voir article s’y référant) et établi d’un commun accord entre les chefs de files de partis , énonçant la révision de la composante de l’exécutif, devait en principe déboucher sur une solution médiane puisque il a été annoncé que deux Vice-présidents avaient exprimé leur vœu de se retirer de l’exécutif , laissant la voie à d’autres postulants d’y pourvoir en sus de huit autres postes de responsabilité offert par le PAPC à la seule condition de ne pas revendiquer les cinq postes en question vu que leur tenants ont entamé leur tache et se sont même accommodés à leur mission depuis le début de mandat .
Et, ce sont ces cinq attributions qui sèment la discorde entre élus jusqu’à n’aboutir à aucun compromis pourtant et selon une déclaration du maire lors de cette plénière , les chefs de files de parti ont convenu pour une solution médiane que même le Wali n’y voyait pas d’inconvénient pour la reprise des travaux de la plénière vu que la solution proposée par le maire à savoir , le pourvoi de 10 postes de responsabilité demeure l’unique sortie de crise. D’autres parts, il est fait part que les deux démissionnaires n’ont pas encore remis leur démission du poste de Vice-président. Bref, la séance de ce 19 décembre a été reportée au dimanche 23 décembre suite à une entente entre PAPC et les quatre chefs de files de partis. Affaire encore à suivre!