Dans une grande ville telle Sidi Bel-Abbes ou autre , tous les regards des citoyens sont généralement braqués vers deux ou trois centres d’intérêt général qui touchent de près et directement leur vie quotidienne. Il s’agit tout d’abord de la propreté de la ville, de l’éclairage public et enfin l’environnement et les espaces verts.
Si le nettoyage et la propreté de la ville restent du ressort de l’entreprise public d’intérêt commun (EPIC) NADHIF COM qui en assume la responsabilité en procédant au ramassage quotidien des déchets ménagers, il en est de même pour le nettoyage des canalisations des eaux usées qui est pris en charge par l’ONA, une autre EPIC créée pour les circonstances de décentralisation des missions spécifiques à l’assainissement. Cependant, bien que ces deux entreprises sont de tout temps à pied d’œuvre, elles n’arrivent pas à maîtriser la situation de ramassage pour la première et d’éviter des inondations provoquées par des canalisations sous-dimensionnées ou avaloirs non débouchés à temps pour la seconde.Pour le commun des citoyens, ce dysfonctionnement réside ou trouve son origine dans la gestion en général de l’entreprise.
Vient ensuite le sempiternel problème de l’éclairage publique qui était jusqu’à, il y a quelques mois géré tant bien que mal par les services communaux avec leur propre parc roulant, insuffisant au demeurant même avec l’apport de quelques privés . En effet, au problème d’insuffisance de moyens matériels, s’est ajoutée une querelle entre élus qui a paralysé totalement les dits services pendant plus d’une année jusqu’à en faire de Sidi Bel-Abbes, une ville fantôme , la nuit. Cette situation catastrophique , tant décriée par la population et observée un peu partout , a fait réagir les autorités en créant une troisième EPIC dédiée à l’éclairage publique.
Malheureusement la crise interne qui secouait l’APC de Sidi Bel Abbes avait fait retarder les échéances de mise en service de cette EPIC tant attendue par les riverains. Et ce n’est qu’après la suspension des élus APC en début d’année , que la dite EPIC malgré l’absence de moyens financiers et matériels que devaient être mis à sa disposition, a réussi à décoller avec un strict minimum du matériel roulant existant de la commune .
Depuis quelques semaines déjà et suite à la réception de nouvelles pièces électriques (Lampes et kits LED) qui étaient souffrance depuis plus d’une année, les agents de cette EPIC travaillent jours et nuits , pour rattraper le retard immense observé en matière d’éclairage de la ville. Il faut dire, avouons-le, que plusieurs quartiers de la ville se sont illuminés comme par enchantement ces derniers jours, grâce au travail exécuté méthodiquement par le premier responsable de cette EPIC. Ce dernier ne cesse de recevoir à longueur de journée, des requêtes de tels comités de quartiers ou de citoyens le sollicitant pour intervenir dans différents endroits, a-t-on relevé.
Agnieszka
il faut s’attaquer a l’agroalimentaire abel abbes pour produire plus et faire baisser les prix.. les salaire vont augmenter sans les augenter en billet..bel abbes est res riche..il faut creer de petite et moyenne entreprise dans l’agroalimentaire »transformation des produits du terroire pour augmenter la demande sur les matière première..bel abbes est la traine par rapport a d’autre wilaya boumerdess setif blida constantine borjbouaredije et pourtant ces wilaya n’ont pas le meme avantage que bel abbes avec sa superficie et son nombre de commune…il faut tout d’abord lancer la foire de sidi bel abbes
comme ça les fabricants de matériels et de machine viennent pour exposer leur produit et donner des idées au jeunes etudiants