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Les litanies déconcertent la raison sociale, et interloque la raison d’état

ByBenalllal Mohamed

Août 11, 2021

Les litanies déconcertent la raison sociale, et interloque la raison d’état

« La culture irrationnelle improvise le mal social, la culture rationnelle,  réaliste réagit au moindre mal social».

C’est une modeste contribution allant dans le sens littéraire d’une culture sociale sinon  d’une  romance  fondée sur une complainte de certains élus, et responsables de la cité  qui  manœuvrent dans un environnement d’indiscipline, de faillite et de désordre dont la norme se mesure sur les pas de  l’irrationalité et la perte de la « raison », et donc de la logique sociale :   

« Souvenons-nous de tous les effets démontrables scientifiquement  des très fortes inégalités : diminution de l’espérance de vie, problèmes de santé, covid  19, maladies mentales, criminalité en hausse, populations carcérales en augmentation, problèmes sociaux mélangés  aux problèmes économiques…. etc. Tous ces phénomènes sociaux sont les signes precurseurs d’appréciations de la société
Certaines études, et particulièrement celle du Docteur «Travis Bradberry* » elles révèlent, que la plupart des gens se lamentent en moyenne une fois par minute au cours d’une conversation classique. Geindre (E-Chikaya*), c’est tentant car ça embelli la discussion, et efface les temps morts dans une  quelconque discussion banale.

« L’esprit cette complexité d’où sort l’esprit de l’irrationnel » citation

Car cela soulage comme beaucoup d’autres choses plaisantes , désirantes, par appétence (fumer ou prendre une tasse de café express ou encore s’accrocher à sa vérité absolue ou chauvine sans aucunement accepter l’avis du partenaire, si ça dérive vers le ballon (Barça) c’est le chauvinisme pur sans fin..) ce n’est pas bon pour « al jalssa » (rencontre). Il semble que le cerveau algérien vise l’optimisation, et n’aime pas travailler plus que le strict nécessaire, avec le moins d’utilité possible au moindre cout. Le fait de naviguer dans un contexte routinier, ou rien de beau, ni d’agréable, ni d’utile sinon de la morosité dans un état de fait dégoutant, les appétits rentiers emportent, et piétinent la moralité sociale emportant avec les symboles de ce qui nous unis. Tout cet état de fait force manifestement à reproduire un comportement donné exceptionnel, et spécifiquement Algérien. Il est clair que c’est bien difficile de présenter des normes et principes pour se démarquer , le fait de se plaindre , de se lamenter à tout instant , à tout moment et dans tout endroit sans qu’ aucun écho ne se manifeste , les neurones humaines créent des réseaux, et des ramifications dans un marché virtuels de pensées, et d’idées, ou l’échange entre le bien et le mal se traduit entre eux afin de faciliter le flux d’une information, qui passe à la caisse sans aucune valeur donnée. La routine péjorative semble-t-il des lambadas Algériens ; et même de l’intellect les force à longueur des heures, des jours et ils finissent par reproduire ce fameux comportement des «Chikayates» (se plaindre –lamentation -s’apitoyer- déplorer..) de plus en plus spontanément : à tel point, d’ailleurs, qu’ils ne s’en rendent même plus compte. Le cerveau Algérien n’y est pour rien, il n’est point responsable ; et on ne peut pas en vouloir  au cerveau, ni à l’Algérien mais à l’environnement  culturel toxique  du contexte actuel. Chaque jour et chaque matin, l’habitude de lambadas algériennes est d’espérer, de se lorgner, et de désirer construire transitoirement et virtuellement une petite passerelle pour aller prendre son temps de se rouler les pouces tranquillement dans une petite ile semblable à celle de « Robinson de Crusoé ». .C’est son idée génial de construire une petite passerelle provisoirement juste pour le temps d’y aller à son ile. Quant au cerveau qui ne rime plus dans le sens du sensé, ni du général c’est-à-dire de construire un seul pont permanent, pour toujours , et pour tout le monde, c’est aussi une manière de penser, d’être par la façon de créer des autoroutes ,ou voies express neuronales bien spécifiques dans le cerveau de l’Algérien vivant une mauvaise éducation sociale, économique ,culturelle, et même sportive l’Algérie dont l’immoralité est emportée par les appétits sans fin des rentiers. Des connexions en « wifi » passant par des « routages » se construisent entre certains neurones systématiquement utilisés ; se renforcent, et deviennent soit  permanentes soit temporaires selon le degrés de son intensité.

« Ce monde en lui-même n’est pas raisonnable, c’est ce qu’on peut en dire. Mais ce qui est absurde, c’est la confrontation de cet irrationnel, et ce désir éperdu de clarté dont l’appel résonne au plus profond de l’homme »Albert camus

 Les scientifiques ont démontré que les neurones saines qui se « connexionnent » ensemble, et entre eux se renforcent solidement dans un ensemble compatible contexte sain, ou le sensé prime,  dure  ,et chasse tout état insensé illogique ,et immorale(  culture du bien). Trop de « Chkayettes* » ( fait partie de la culture du mal) c’est-à-dire si l’on se plaint tout le temps , on rouspète à chaque instant , on regrette très souvent, le cerveau plonge aussi dans le calvaire péjorative de la routine, et ménage toujours les mêmes circuits « wifi » ,et « routage », ce qui renforce ainsi la forte circonstance d’éventuels comportements similaires à venir (lorsqu’il n’existe pas de répondant). Avec le temps qui s’en va, tout s’en va , les lambadas Algériens se retrouvent enfin, qu’ils sont plus négatifs dans leur subjectivisme,  et de moins en moins positifs, et de plus en plus péjoratifs le poids des « Chikayettes »( problèmes ) ,le contexte social, culturel, économique, politique, environnemental renforce ce  mauvais comportement très péjoratif ,très immoral et booste l ’Algérie vers je ne sais quoi ? .  Nous sommes déjà  45 MILLIONS d’ALGÉRIENS,  dit moi qui pourrait prétendre avoir fait ou  plutôt pouvoir faire plus que nos  HÉROS NATIONAUX d’hier qui se sont sacrifiés pour que l’ALGÉRIE VIVE  LIBRE, et INDÉPENDANTE, pour se permettre de porter un quelconque préjudice, ou jugement sur eux, car ceux d’aujourd’hui n’ont pas connu le calvaire du colonialisme …..

Ceux qui se sont sacrifiés pour que pour que vive  étaient tout simplement que de simple algériens.

Ii nous appartient tous aujourd’hui, en tant qu’ ALGÉRIENS « f’houl »,  de défendre fort et dur la mémoire de nos martyres symbolisés dans des stèles ,dans les livres ,et autre support culturel que des charlatans malmènent, il s’agit  de faire un front uni commun contre tous les ennemis de l’Algérie…ceux qui attisent les séditions , les feux du régionalisme pour diviser le peuple et régner c’était cette « Issaba », et ses dérivées qui sèment  à ce jour le venin , hier ils étaient au sommet du pays,  et ont dilapider les biens du pays, aujourd’hui assez de « chikkayette » sans distinction  de langue, de religion, de sexe, de statut, d’opinion , de bavardage , d’intoxication langagières , et de désinformation,  rien ne nous empêche d’être plus entreprenant, plus motivant, créateur de valeur ajoutée ; l’union , et la solidarité  feront de nous une force unique qui mettra hors circuits nos adversaires, et le simple lambda retrouvera sa citoyenneté pour être bien écouté sans trop de « chikayettes » .

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 « Achki *» c’est à dire se plaindre devient alors une habitude sociale, une routine ou plus exactement un vrai faux défaut du comportement qui nous colle dans la peau ce qui modifie la façon dont les gens normaux vous perçoivent.
Il parait aussi, que se plaindre sans cesse, et tout le temps, est également mauvais pour la santé.
Pour parachever le tout, le fait de se plaindre, et de se lamenter à longueur de journée, de mois, et d’années risque d’abimer certaines zones du cerveau, et faire éclater bien des « fusibles » ‘ AVC’. La zone des résolutions des problèmes, et aussi de l’intelligence risque d’être altérée négativement.

Par ailleurs, lorsque vous vous plaignez souvent,  trop de « chikayettes », votre organisme libère semble-t-il, une matière, qui provoque du stress. Cette « matière » ou hormone créée fait de l’individu une transformation en mode de pugilat, ou échauffourée, ou fuite, c’est-à-dire pour mieux expliciter, et avoir une explication logique de la médecine , ou de l’anatomie du corps humain en quelque sorte ,  « l’oxygène », « le sang », et « l’énergie », ces trois paramètres essentiels, et fonctionnels se détournent de tout équilibre des fonctions de l’être humain, tout en gardant en veilleuse les systèmes essentiels à la survie immédiate.

La pression artérielle, et la glycémie afin de vous préparer à :

* soit vous enfuir,

* soit vous défendre ceci est une explication pour les hypertendue, et les diabétiques ;

 le sucre n’y est pour rien, c’est le stress muni de beaucoup de « Chikayette* »à fondre le pancréas, et les problèmes qui  faiblissent le système immunitaire se trouve affecter, et permet  de ce fait,  d’être exposer au cholestérol, au problème cardiaques, au A.V.C ……..

*le covid19 doit  être combattu avant tout psychiquement, et le meilleurs médicament ne peut être que la nourriture bio

C’est mauvais parait-il de se lamenter, et de se plaindre sans cesse, et tout le temps

Les êtres humains ont un comportement social, par conséquent leurs cerveaux parodient les états d’âmes de ceux qui les entourent (inconsciemment), et surtout les gens avec qui passent énormément de temps assis en bavardant  au café, au marché, au travail, sur les places publiques au…..

Fumer, chiquer, se lamenter, et se plaindre ont une ressemblance unique ; la fumée a son effet lent mais aussi nocif. Celui qui ne fume pas avale  quand même la fumée dégagée  du fumeur, et celui qui se plaint veut que l’on participe avec, à la commisération afin de se soulager, mais il vous en traine dans son jeu, qui est un cycle infernal et vicieux. Il faut faire attention à ne pas passer trop de temps avec des gens qui se plaignent ; et se lamente de tout, et de rien. Il faut le voir de la façon suivante : si une personne fumait, resteriez-vous assis là, tout l’après-midi, à respirer sa fumée ? Non, vous vous éloigneriez. Eh bien il faut en faire de même avec ceux qui se plaignent « Eli – Nagrechou bezaf* ».

Par conséquent, la structure de notre cerveau peut se transformer à force de trop faire de « Chikayettes* » et « E’tnagriche* » de se plaindre, de se lamenter quoi ! Il y a certes, et certainement un remodelage comme disait le M. Docteur au niveau des neurones, qui chamboulent toute une discipline de l’anatomie de l’organisme naturel vers un pseudo -désordre des autoroutes des flux de l’information, ce qui nous nous poussera à avoir de nouveaux traits de caractère comme celui des « Chikayettes* ». C’est notre nouvel état d’être dans un nouveau contexte. Pour minimiser cet état de fait, il s’agit de se consolider fortement en plaçant un « filtre »ou « tamis » genre masque covid qui vous épargnera d’avoir cette attitude, et vous serez débarrassé de ce mauvais trait de caractère.

« le silence est grand et tout le reste est faiblesse »(citation) ,

 La progression va plus vite dans votre état d’être vers votre objectif, qu’il soit familial, culturel, social, professionnel, et économique .

Pour Sortir de ce phénomène ou processus de « victimisation », et aller vers un autre état d’être proactif, et positif, c’est l’une des clés du succès. L’état de l’esprit est essentiel pour réussir comme par exemple à vous de le prendre. Alors appliquer la citation ci-dessus sinon armez vus de beaucoup de patience positive !…

Comment cesser de vous plaindre pour faire place à l’esprit social de réussite ?

Le système socio-économique, culturel, et politique mis en place y est pour beaucoup dans sa conception non productive ,ou le travail n’est plus une valeur, et les valeurs ne sont pas du tout reconnues en tant que telles, la morale il faut pas trop y chercher, le capital c’est la financiarisation ( tbazniss*) et la matière première est commercialisée pour avoir la rente, qui nous permet de bien dormir, et regarder le chômage grossir, la corruption s’amplifiée et se répandre ,le gaspillage, le mal social s’amplifie, la saleté ronge nos villes qui se « betonvillent », et nos esprits ne trouvent plus de repondant, le « betonville » efface l’art de l’architecture………et pour faire une Algérie prospère il faut penser avant tout à élaborer un projet de société, qui va vers de l’avant pour retrouver le bien ,le bon, l’utile l’agréable, la justice ,de liberté, l’équité, le travail ,la santé, la solidarité, et un projet politique  audacieux en matière sociale, économique, environnemental, éducatif et culturel que l’on ne retrouve pas dans notre cher pays actuellement ; ce projet politique, et social efface tout stress social  dans le court terme!.

BENALLAL MOHAMED   retraité ancien cadre

* 1-Chikayettes : les reproches, critiques, réprimandes

* 2-T’Nagriche : bavardage sans fondement

* Tbazniss : spéculation

*Ach ki : porter plainte

*3 -Le docteur Travis Bradberry est co-auteur d’un best-seller récompensé par des prix : Emotional Intelligence 2.0, et cofondateur de TalentSmart, le premier fournisseur mondial de tests d’intelligence émotionnelle et de formations.. Ses best-sellers ont été traduits en 25 langues et publiés dans plus de 150 pays. Le docteur Bradberry a écrit ou fait l’objet d’articles dans Newsweek, BusinessWeek, Fortune, Forbes, The Wall Street Journal, The Washington Post, et The Harvard Business Review.

By Benalllal Mohamed

ancien cadre