Jeudi 13 octobre 20011. Direction vers LA DRAG Plus précisément au service des associations. Après avoir escaladé quatre marches d’escaliers, nous sommes retrouvés , nez à nez avec un agent de sécurité aux visage fermés en train de lire le journal .« S’il vous plait où se trouve le bureau des associations » a t-on demandé poliment, après bien sur, les salutations d’usage. Surpris par une présence peu ordinaire, il passa en revue de haut en bas notre silhouette, pour nous orienter, finalement d’un air hagard, vers le chef de service Mr BOUKHARI dont le bureau est situé juste en face. Dérangé apparemment par notre présence ,l’agent qui nous a raconté à l’issue de notre mission, les réelles motivations d’un tel immobilisme, du en partie , à un problème de logements s’est ressaisi ,quelques instant après et alla , après avoir décliné notre identité de journaliste, nous annoncer auprès de la secrétaire. Sans mangement, BOUKHARI – pour ne pas le citer – dont les employeurs ne le porte pas dans leurs cœurs pour ses écarts de conduites dit-on et son langage peu amène , réplique violement « je suis en réunion, dis lui de revenir après. » Des sempiternels fallacieuses réunions derrière lesquelles, ils trouvèrent souvent le malin plaisir de se cacher et ce, en dépit de toutes les instructions d’en haut notamment du wali. Il ne s’est même pas donné de la peine, pour fixer une date ultérieure ou du mois se renseigner sur la cause de notre visite. Il ferma à deux tour, comme s’il est dan sa propre demeure et nous laissa ainsi sur le carreau. Devant cette situation de non sens, Il nous restait que l’agent des associations, objet de notre article, pour glaner quelques informations, somme toute ordinaire. Dans le couloir y menant, nous avons rencontré une femme légèrement vêtue . Elle nous a orienté gentiment vers une autre femme chargée des associations. Nous voilâmes frappâmes vainement à plusieurs reprises la porte d’entrée. Face au silence de marbre, nous osons l’ouvrir, nous trouvâmes devant une vielle femme collée au téléphone portable. Elle y racontait en notre présence toute une histoire, avant de se retourner, nonchalante vers nous « que es-ce que vous voulez » ici le bureau des associations, répond ai-je. NON! elle s’élève de son bureau, avança vers la porte de sortie et désigna au doigt le bureau d’à coté. Nous y dirigeons et tombâmes comme par enchantement avec une vielle connaissance. Il s’agit de monsieur HAKEM, un OULD BLED pourvu d’une expérience non négligeable dans le domaine des associations. Intrigué par notre présence, HAKEM s’est contenté, malgré notre insistance, de nous donner le nombre, seulement le nombre de 16600 associations toutes caractères confondus ni moins ni plus. Il nous a fallu donc toute une demie journée pour glaner une information somme toute banale alors que notre souci évident était de faire la lumière sur la situation des associations à la lumière des nouvelles de la république. Un véritable parcours de combattant .