Désormais la friperie après avoir enfoncé ses racines dans la société depuis bien des années, elle s’avère bien loin d’être aussi facile à extirper. La lenteur du pouvoir à intervenir dès l’émergence d’un nouveau né social, expose à la fin, les autorités à de véritables duels dont-ils n’arrivent pas à s’en sortir sans peine, le plus facilement possible malgré les lois et l’autorité de décision qui, normalement devrait les rendre maitre.
La friperie s’installe comme tout autre fléau dans la société algérienne avec des raisons justifiées, celles de nombreuses familles qui vivent de ses ressources et d’autres qui dans l’impuissance de se diriger vers les magasins avec des poches juste de quoi nourrir leurs familles.
Le rassemblement de centaine de fripiers ce matin devant le siège de la wilaya de sidi bel-abbes est une preuve que la friperie est loin d’être fragilisée par la décision du ministre des finances de stopper l’importation de ce tissu à grande convoitise devant des solutions inexistantes de rechange afin de ne pas jeter ces millions de jeunes dans la rue en plein ventre du monstre du chômage.
Les contestataires avancent que l’importation de la friperie a été autorisée par l’état après une étude et un contrôle de la qualité et de ce fait, une attestation de conformité a été délivrée par le ministère de la santé et celui du commerce.
Une décision annule une autre. Faut-il comprendre cette fois que cette décision c’est la solution, la bonne ?
Sans aucun doute non. Les études afin d’aboutir à des solutions qui évoluent avec un programme s’avèrent enfin et à chaque fois, de simples ouvertures à un trafic plus réservé, au Début. Concurrentiel, incontrôlable et non-maitrisable après. C’est une pratique qui devient un rituel avec ce système, on ouvre la porte juste le temps de faire bénéficier une frange bien visée et on la ferme après, pour dire que se n’était pas une bonne décision.
Malheureusement, Dans cette pratique se développe et s’intensifie l’inattendu, ce qui n’a pas été prévu et la solution présumée, s’avère en fin une simple décision pour annuler une autre en guise d’une situation du moment. En d’autre termes, jamais une solution définitive qui rassure chaque acteur dans l’équation.
La friperie alors reste une solution malgré ce qu’elle fait subir de désagrément à la *chaine* locale. A sidi bel-abbes, précisément, à el GRABA, tout un marché, qui rassemble chaque vendredi des centaines de marchands qui vivent des revenues de cette marchandise et de centaines d’autres acheteurs qui n’ont guère le choix devant leur impuissance financière à affronter la cherté des magasins.
Les fripiers n’ont pas quitté la place, ils ont tenu jusqu’à être reçu par les autorités de la wilaya qui leurs ont promis des assurances de revoir leurs cas et de transmettre leurs revendications aux autorités supérieurs concernés. Certains, dans cette foule, disent qu’ « ils ont des locaux avec des registres de vente de friperie ». Les obliger à stopper cette pratique sans autres solutions c’est tout simplement les pousser au chômage, les sanctionner sans raison et renforcer le tunnel de l’insécurité et l’instabilité du pays.
Salem ouaâlikom chers lecteurs/ces,
Une parenthèse à »Monsieur Halfa » la couardise comme tu l’as si-bien mentionner n’est pas uniquement Bel Abbèsienne elle est nationale avec toutes sortes de magouilles je voudrai te faire remarquer,à partir du moment où tu vis sur le territoire national tu cautionnes automatiquement et indirectement comme le reste du moins.Pour vivre où plutôt survivre chez nous il faut dans chaque corps de metier une connaissance pour s’en sortir, pour ne pas devenir schizophrène la situation est ce quelle est et aucun pourrait changer quoi que se soi ça fait cinquante ans que ça dure la situation chez nous est comme un caïman gueule grand ouvert à l’affût au bord du fleuve cherenguéti tous ce qui bouge en un clin d’oeil c’est happer par ces crocs:dixit élus locaux, et tant d’autres institutions à qui a le pouvoir il est le maître incontesté dès qu’on ouvre sa bouche les coups pleuvent le mal sorts de partout comme une thermitière bonjour les dégats.Depuis l’exterieur du pays on se rend compte combien le peuple algérien souffre de tous les maux,Un grand Monsieur que je ne nommerai pas m’a dit actuellement, on est comme la transhumance,(on mange,on dort et les T… bien à vous.
Et dire que la ville de Sidi Bel Abbes est pilotée par un pilote ,qui pilote à vue ou en pilotage automatique,ce dernier lui est plus convenable,quant au co-pilote,lui,tout lui convient la pluie et le beau temps,sinon l’arc en ciel c’est son dada.Pour revenir à « infime espoir »,tout à bord je vous remercie pour votre intervention qui est un acte citoyen,ma perception rejoins la votre,pour moi l’espoir de vivre paisiblement dans notre pays avec la recherche des solutions à nos problèmes quotidiens,commence à virer vers son contraire,je dirais même qu’il n’y a pas de visibilité à l’horizon,les gestionnaires de la ville devraient être à la hauteur de leurs taches,se pencher sérieusement à trouver des solutions à ces pratique qui génèrent l’anarchie,sinon où allons nous ou doit-on se poser la question du défunt BOUDIAF où va l’Algérie?.
A bon entendeur…….
Les raisons qui ont poussé la fripe à se développer dans notre pays n’est qu’un des facteurs du fléau social que vie le citoyen dans notre époque les 3/4 de la population s’habillent de la friperie non seulement elle a donné naissance à un commerce informel il y a création d’emploi(occupation temporaire) alors que le vrai informel se trouve là où l’on approuve les lois.Dans tout le monde il y a la fripe régie conformément aux lois et aux règles commerciales . L’anarchie règne chez nous devant un désordre placé d’avance ; quant à nous il y a démonstration que le citoyen n’arrive pas à joindre les deux bouts LA MISERE la corruption une injustice sociale ; le bas prix est le premier facteur de cet engouements mais chacun à ses raisons trouver une solution n’est pas étrange simplement (laisse le ghaffel )comme çà on pourrai s’occuper de nos affaires sans quiétude voilà la politique de nos jours chacun pour soi dieu pour tous.
Sommes nous condamnés à subir et à endurer cette dégradation qui semble s’éterniser et qui affecte profondément notre bien-être quotidien. Un centre ville « squatté » et infesté par des marchants ambulants criant à longueur de journée sans le moindre respect pour ses habitants et encouragés par l’indifférence des policiers supposés maintenir l’ordre. Des odeurs nauséabondes se dégageant des entrées du souk el fellah en permanence. Une saleté ayant élue domicile un peu partout etc…..Faut il croire que les responsables sont totalement indifférents ou tout simplement absents. J’ose espérer que les « élus locaux » se penchent sérieusement sur cette situation dramatique qui nous empoisonne la vie
Je comprends parfaitement votre indignation et partage votre révolte. Tout comme vous je souffre de ce vacarme incessant à longueur de journée sans aucun répit.Un centre ville devenu invivable, du tam tam aux gémissements des mendiants postés à chaque coin de rue aux klaxons des voitures aux cris des marchands ambulants dont le nombre ne cesse d’augmenter. Faute de moyens je ne peux déménager.Je prends mon mal en patience en espérant un miracle divin. Visiblement les autorités locales ont d’autres préoccupations plus importantes et semblent loin de se soucier de notre bien_être.
Que je comprends votre abattement cher(e) compatriote!Vous avez un infime espoir!!!N’en ayez pas je vous le conseille pour préserver le peu de bien être qui vous reste!Oui,nous sommes condamnés,à subir et à endurer cette dégradation,car l’algérien actuel est un « indigène » sauvage de surcroît qui est entrain de retrouver peu à peu sa nature après être décolonisé!Cela dit vous m’avez bien fait rire en parlant des « élus locaux »,et de « responsables »,ceux là peuvent dormir les poings fermés car les bel abbesiens réputés pour leur couardise ne sont pas prêt à les déranger, »takhti rassi we tfout » telle est leur maxime.