AÉROCLUB DE SIDI BEL -ABBES : À L’HEURE DES ÉVALUATIONS DE PILOTE-INSTRUCTEURS (video)

Suite à un accord Algéro-Français conclu récemment par le biais des deux fédérations des sports aéronautiques (FASA du coté Algérien et FFPLUM coté Français) et relatif au suivi, l’évaluation et la validation des licences de pilote-instructeurs en Paramoteur, une nouvelle discipline qui a été introduite en Algérie, il y a presque une dizaine d’année mais sans y avoir été réellement ancrée au sein de la jeunesse faute justement du manque d’un règlement adéquat, d’un programme technique de base et surtout d’instructeurs dans ce domaine qu’une session de diagnostique et d’évaluation du vol à voile motorisé devait avoir lieu.

C’est l’Aéroclub de sidi Bel Abbès en raison de son espace approprié et infrastructures de base qui été choisi pour abriter ce regroupement et mener à bien cette première prise de contact avec une dizaine de futurs instructeurs Algériens choisis parmi la centaine que la Fédération Algérienne a formé au niveau national dans cette discipline au cours de dix dernières années. De plus, en dehors du cadre agréable pour une telle évaluation, l’aéroclub de Sidi Bel Abbès renferme déjà quelques élèves aptes dans cette discipline qui ont brillé par le passé dans des championnats nationaux et internationaux.

La fédération Française de planeurs Ultra-légers Motorisés (FFPLUM) a dépêché auprès de la fédération Algérienne des sports Aériens (FASA) un examinateur et instructeur de vol à voile et motorisé pour dégager les futurs instructeurs Algériens qui demain formeront à leur tour des spécialistes du vol à voile motorisé notamment le paramoteur et les planeurs ULM (Ultra-léger motorisé).

Au cours de ces deux journées d’évaluation (15 et 16 mars 2017) à l’aérodrome de Sidi Bel Abbès , l’instructeur Français M. Bernard Bonnet devait ausculter et évaluer avec précision le niveau de formation acquis par ces jeunes instructeurs au cours de ces dernières années par son prédécesseur, un autre Français qui avait surtout axé sa formation sur des cours pratiques puisqu’il était fabricant de ce matériel volant. Un autre rendez-vous devait être fixé pour finaliser cette première opération de prise en main par la Fédération Française d’ULM en collaboration étroite avec la fédération Algérienne des sports Aériens (FASA) et dégager les instructeurs Algériens.

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