Insupportable, c’est le moins qu’on peut trouver comme refuge à une schizophrénie persistance provoquée par ce manque de liquidités dans les bureaux de poste. Un problème qui dure depuis presque deux ans, il devient par la force d’en vivre et trop en parler, un quotidien, un mal, une douleur habituée qui reste malgré tout source de souffrances plurivoque qui s’agrippe en enflant le lot de la désespérance.
Le drame semble intégrer à jamais un parcours qui mène tout droit à l’asile. La tension ne manque pas. Chaque jour des bagarres. La dépression semble par le fait de voir chaque jour des hommes et des femmes de tout âge s’écrouler en perdant conscience,toucher toute personne osant s’approcher de ce périmètre électrique.
Le personnel, entre le marteau et l’enclume, semble en apparence, lâché à une réalité morbide. Ne sachant quoi rependre à un client dans ses droits plutôt dépassé par les événements, nullement disponible à supporter davantage, il devient en balbutiement à reprendre le même message frissonnant après toute cette durée, une personne soupçonnée de mensonge même en disant la vérité.
Le combat reste restreint, le débat se cadre pécuniairement. Le temps semble d’un seul coup marquer son arrêt définitif. La chaine de l’échelle hiérarchique donne l’impression d’être coupée en deux, ceux du bas du poste avancé sans soutien d’un langage officiel apaisant et ceux d’en haut de l’arbitraire loin de la réalité.
Les instructions pressées par des inattendus sociaux comme solution d’urgence, complique la bonne marche du service. Le chèque de secours par enchantement moyen de répit, se constitue par malheur le pas vers la prison pour les agents. « L’homonymie reste incontrôlable pendant le payement »disent les guichetiers.
Beaucoup d’entre eux se trouvent victimes de décisions provoquées dont-ils ne peuvent que subir les conséquences. Quant au client, sans trop de choix, même s’il est satisfait de ce refuge insidieux, il en demeure par conséquent une victime potentielle de malfaiteurs et de ce climat favorisant de telles pratiques. « Les réclamations des titulaires de comptes constituent une preuve tangible »expliquent un guichetier.
Pris en piège, semblable, d’absence d’information apaisante, l’agent et le client séparé par un comptoir sont livrés à un duel permanent. Le personnel des bureaux de postes devient en majorité dépressif. Les maladies chroniques engendrées par ce climat de névrose sont de billets ouverts gratuits à un âge miraculeusement « débuté ». Le secteur de la poste à la wilaya de sidi bel-abbes comptabilise plus de 50 malades chroniques. Et le nombre risque de devenir alarmant devant ce décalage manifeste de solutions adéquates urgentes. Le client est loin d’être épargné dans ce silence injustifié.
Banque ? …Poste ?…la pénurie semble planer sous un nuage dont aucun responsable des deux entités ne veut illuminer. Les questions sans réponses deviennent embarrassantes auxquelles, répondre, engage une responsabilité à un incident incontournable. Le client et l’agent n’arrivent pas à trouver le chemin d’une réconciliation, un terrain d’entente. Chacun d’eux craint le contact forcé.
Les responsables de l’autre rive de l’échelle ne semblent guère inquiétés. Le problème expire presque sa deuxième année et l’urgence perd incroyablement avec le temps sa valeur profonde, l’intervention alors ne sera pas d’option. Dans ce laxisme et absence d’intervention rapide, les bureaux de poste deviennent un véritable ring où tout est permis. Les services d’ordres sont omniprésents, autrement, « l’enfer serait préférable »raconte un agent.
Pourtant, ajoute un retraité, « les agents de la poste rependent aux attentes du client en travaillant parfois des vendredis comme hier et font la permanence toutes les nuits pendant tout le mois de ramadan pour le seul but que ce client soit satisfait. Si leurs efforts restent insuffisants c’est du, plus au manque de moyens et une prise en charge réelle, rapide aux différentes entraves.
c’est simple algerie poste au lieu de faire parvenir l’argent aux bureau payeurs a obligé le client a se deplacé a la grande poste pour retiré leur argent..