Depuis la parution de l’article relatif à la situation des travailleurs du secteur des PTIC de manière générale et ceux de l’unité postale de Sidi-Bel-Abbès en particulier due en grande partie à la léthargie du Syndicat d’entreprise et à la représentativité du Personnel, en l’absence d’un Comité de Participation dont les prérogatives ont été illégalement squattées par le Syndicat d’entreprise, les choses ont commencé à bouger du plus bas au plus haut niveau de la Hiérarchie syndicale qui profite de la rente au niveau du secteur d’Algérie Poste notamment. Ce remue-ménage soudain, est dû, il est vrai aux revendications devenues pratiquement quotidiennes et qui interpellent la Direction d’Algérie Poste, voire La Ministre et même la Chefferie, mais aussi des coup de gueule fréquents de la Ministre à propos du manque de prise en charge des problèmes socio-professionnels des travailleurs. Des réactions ont eu lieu pour la prise en charge de ces situations et ont fini par perturber la sérénité des membres de syndicats en place.
D’abord, il y a lieu de relever la teneur du communiqué que vient de diffuser le Syndicat d’entreprise d’Algérie Poste, (Cliquer pour visualiser le communiqué du 4/10/2015 )avec pour alibi, la rencontre avec La Ministre du Secteur. De facto, le Secrétaire Général du Syndicat, fait siennes les observations de Madame FERAOUN à propos de la prise en charge des travailleurs qu’elle ne cesse de dénoncer depuis sa prise de fonction et notamment le repositionnement du personnel et la promotion interne.
Après une longue tirade faite de langue de bois taillé dans le lexique de l’UGTA et destiné à rentabiliser l’audience que lui a accordée la Ministre, concluant par le véritable sujet de l’entretien, à savoir l’urgence de l’installation du Comité de Participation qui doit exercer ses prérogatives conformément à la loi 90-11 et jusque-là confisquées par l’UGTA. Il est clair et comme de tout temps, que le Comité de Participation demeure le véritable enjeu de par les moyens qu’il donne pour assurer le soutien des travailleurs et en particulier l’usage fait du Fonds des Œuvres Sociales.
Alors que le Syndicat d’entreprise d’Algérie Poste fait face à des désaveux généralisés au niveau des différentes structures de l’entreprise, et après avoir tenté de rentabiliser à son compte le rappel à l’ordre fait par la Ministre pour une prise en charge réelle et surtout juste des problèmes socioprofessionnels des travailleurs, il profite du communiqué pour balancer aux Salariés une lettre transmise par le Secrétaire National de la Fédération des travailleurs de la Poste et des TIC, Monsieur TCHOULAK, qui l’informe de la reconduction de son mandat déjà expiré depuis le 31 janvier 2015, et ce, jusqu’à renouvellement dont la date n’est pourtant pas fixée (Voir Document joint lettre prolongeant le mandat) et son additif de madame la minsitre). Pareille décision qui n’a rien de légal, dans la mesure qu’il appartient aux adhérents de l’UGTA et exclusivement à eux seuls de prolonger ou mettre fin au mandat des élus. M. TCHOULAK qui est lui-même censé être un élu agit en administratif et en chef hiérarchique, puisqu’il décide au mépris de tout le collectif d’Algérie Poste qui compte pas moins de 20.000 salariés !
Il semble que cette sortie inopportune de M. TCHOULAK ne soit qu’un instinct de conservation. En effet, à la rencontre de mardi dernier sur l’évaluation de la convention signée entre Algérie-Télécom et l’ANSEJ, organisée conjointement par les ministères du Travail et de la Sécurité sociale, de la Formation professionnelle et de la Poste et des Technologies de l’information et de la communication, le secrétaire général de l’UGTA, Abdelmajid SIDI-SAID, a placé à sa droite Idir BOUKABOUS, membre de la Fédération nationale des travailleurs de la Poste et des Technologies de l’information et de la communication (Ptic), et a zappé ainsi le président en exercice de la dite fédération, Mohamed TCHOULAK, absent carrément de la rencontre. Des indiscrétions disent que le patron de la Centrale syndicale entend placer M. BOUKABOUS à la tête de la fédération, d’autant que le mandat de son bureau actuel a expiré au mois de mars dernier. Aucune date n’est avancée, jusqu’alors, pour le renouvellement de la représentativité de la fédération. Par ailleurs, les élections pour le renouvellement du conseil syndical des syndicats d’entreprises d’Algérie Télécom et Algérie Poste, programmées initialement pour les 26 et 29 octobre courant, ont été reportées par la Centrale syndicale qui a invoqué comme motif l’examen des recours des candidats.
Enfin, il est étrange de relever dans ce micmac, la sortie honorable de l’Union de Wilaya de Sidi-Bel-Abbès à travers son Secrétaire Général, M. MEHDI qui déclare que la composante du syndicat d’Algérie Poste de Sidi-Bel-Abbès est illégal et que le renouvellement est programmé et que s’il n’a pas eu lieu à ce jour, c’est à cause de la position ambiguë de l’employeur qui refuse de répondre pour l’organisation de l’Assemblée Générale. Connaissant la position de la Direction d’Algérie Poste de Sidi-Bel-Abbès par rapport à ce problème, il est clair que c’est la Direction Générale qui est en train de bloquer le renouvellement par manipulation du Secrétaire Général du Syndicat d’entreprise, qui tente, tant bien que mal, de se perpétuer.
En attendant, ce sont les salariés qui continuent à pâtir. Leur réaction risque de provoquer de gros dégâts si les mesures idoines ne sont pas prises. A bon entendeur, salut!
ce qui est regrettable c’est que les syndicats sont manipulé par les parties politique..un syndicat doit etre indépendant des partis politiques, car le partis politique tyravaille pour ces propres interets qu’il soit de rente de vol de raquette ou de developpements…les partis politiques avec leurs adherents restent muet face au gouvernement en laissant installer un bras de fer gouvernement syndicat, alors que le bras de fer doit opposer les partie politiques entre eux…
Donc l’ugta doit lutter pour son indépendance et rester dans le domaine de son champs d’action des luttes pour les intérêts des travailleurs surtout
»lutter pour avoir une augmentation annuelle égale a l’inflation »
ensuite faire main basse sur le discours de toute action dite sociale..un parti politique ne doit pas faire dans le discours du social il doit occuper le terrain de la production allez sur les terres agricole et relever le defit et aller aux zones industrielle et taper les portes..
Les logements sociaux, le transport en commun la santé le hadje sont du domaine du syndicalisme c’est a dire »faire pression sur les partis politique pour tirer un budget des mains des industrielles..
Le fln le rnd et les autres bouffent de l’argent de l’État sans rien faire dans leurs domaine d’actions ils se cachent derrière les syndicats pour rester tranquille et transférer l’argent du sociale vers leurs compte personnel en devant les matériaux vers leurs villas et le villa d’un seul syndicaliste pour l’avoir entre leurs mains en s’utilisant pour faire pression ..tout le monde le sait..voila il faut etre ferme chacun son domaine et si le partis politique n’investie pas le terrain la subvention sera fermé