Petite chronique d’un SDF français au pays de Nicholas….
Et voilà, je redeviens le forçat… Alors là , rien avoir avec la tendresse et surtout pas la douceur ; c’est le matin, toujours le matin avant les premiers rayons de chaleur , c’est toujours
Et voilà, je redeviens le forçat… Alors là , rien avoir avec la tendresse et surtout pas la douceur ; c’est le matin, toujours le matin avant les premiers rayons de chaleur , c’est toujours
Le milieu scolaire semble trop éloigné de là littérature et ne profite pas toujours de la pédagogie des écrivains notamment celle destinée aux enfants. Cette lacune nuit à l’engouement des élèves pour la lecture. Les
c’est déjà çà de régler , le soucis de plaire supprimé ; oui , terminé de toujours avancer de belles paroles pour faire exactement le contraire , de balayer d’un revers de main ce qu’on
Qui peut oublier Omar, Aini , Commandar , Hamid Serraj , Meriem et tant d’autres personnages du roman phare de la littérature algérienne « la grande maison » de Mohamed Dib et cela nous renvoie à
cette brève évocation surtout pédagogique pour affirmer que l’art est par excellence le Beau dans toutes ses dimensions . L’artiste devient alors l’outil pour nous rapprocher de cette merveille “Ilahya” , surtout c’est universel , tous les
Parfois on rend hommage à de grandes actions quand les auteurs disparaissent à jamais et on finit par les regretter à cause de petites raisons puériles ou des disputes de cuisine omettant l’essentiel à savoir
Evoquer un bédéiste aussi génial que Slim devient tout de suite un instant exceptionnel. Pourtant la modestie de l’enfant de sidi Ali benyoub garde vivants ses fers de lance , ajouté à cet humour piquant et
Le printemps c’est aussi le retour de la poésie et ses mélancolies douces que les mots de terre , de feu et d’eau vont le temps d’un texte sculpter tant de petites scènes et autres