Nous apprenons de sources sûres que le ministère de l’Intérieur n’a pas autorisé les six rencontres régionales du secrétaire général du FLN destinées à contrer ses détracteurs.
Il n’y a pas de fumée sans feu. A vingt jours de la tenue de la session ordinaire du comité central du parti du FLN, prévue du 31 janvier au 2 février, les adversaires de l’actuel secrétaire général, Abdelaziz Belkhadem, accentuent la pression.
Certains misent même sur le fait que ce dernier puisse jeter l’éponge avant le jour «j». Mais, le plus inquiétant pour le patron du vieux parti, ce sont les informations faisant état de la non-autorisation, par le ministère de l’Intérieur de la tenue des six rencontres régionales, destinées à riposter à ses détracteurs du mouvement de redressement.
A noter que le souci du ministère de l’Intérieur en prenant une telle décision, est la préservation de l’ordre public, sachant que lors de ces rencontres, des affrontements ne sont pas à écarter entre les ailes rivales du FLN.
Même si la direction du parti avait anticipé en annonçant le report de ces rencontres, il reste que, selon des sources bien informées, ce revirement serait dicté par des pressions extérieures.
Soumis à la fronde de ses ministres, de surcroît membres du bureau politique, qui avaient d’ailleurs «séché» sa dernière réunion, Belkhadem engage une véritable course contre la montre pour reprendre la main. Ce qui, apparemment, s’avère être une chose difficile, notamment après la nomination dans le tiers présidentiel de deux de ses adversaires les plus acharnés, à savoir El Hadi Khaldi et Salah Goudjil. N’est-ce pas là un message destiné à celui qui, contre vents et marées, se cramponne à son poste de secrétaire général du parti.
La décision d’interdire la tenue des rencontres régionales du parti, n’a-t-elle pas pour objectif de «déconnecter» Belkhadem des structures locales à quelques jours seulement de la tenue de la réunion du CC? Il s’agit donc, bel et bien d’un nouvel épisode dans le processus de désintégration de la direction du parti.
Autant de pression, croit-on savoir de sources proches du mouvement de redressement, qui pousserait Belkhadem à se démarquer du Président Abdelaziz Bouteflika, en annonçant sa candidature à la prochaine élection présidentielle.
Il convient de rappeler que ce n’est pas la première fois que le torchon brûle entre le ministre de l’Intérieur et le premier responsable du FLN.
Le précédent épisode en date remonte aux dernières élections locales.
En effet, lors d’une réunion du bureau politique du parti, au lendemain du scrutin du 29 novembre, Belkhadem pressé par sa base militante, explique son échec par les «interprétations de la loi électorale, notamment celles de l’article 80 par le ministre de l’Intérieur Daho Ould Kablia».
Des interprétations, poursuit Belkhadem, «qui ont privé le FLN de son droit de gérer des dizaines d’APC». Belkhadem, n’ayant pas eu de réponse à ses doléances de la part du ministère de l’Intérieur, s’est adressé au Premier ministre Abdelmalek Sellal.
Une attitude qui n’a pas manqué de faire sortir Ould Kablia de ses gonds, en critiquant sans les citer nommément -allusion au FLN- l’attitude de certains partis qui, dit-il, «fuient leurs responsabilités et tentent de créer des situations de conflit pour s’adjuger le poste de président d’APC».
Pour le ministre «il n’y a aucune confusion quant à l’application de la loi. Ce qu’il y a, ce sont des conflits suscités par les ambitions de certains élus à présider les communes». «Il n’y aura pas de blocage car les solutions juridiques sont disponibles», a-t-il souligné.
En somme, c’est la première fois depuis sa désignation à la tête du parti que Abdelaziz Belkhadem est confronté à des pressions aussi bien de la part des autorités que des structures internes du parti. Quant au sort de M.Belkhadem, seule la prochaine session du comité central tranchera.
Par Arezki LOUNI: L’expression
Re salem !
c’esdt ce genre d’énergumenes qui sévissent dans les rouages du pouvoir du clan d’oujda IMPOSTEUR ramené des frontieres sur des chars pour usurper et squatter l’algerie de zabana et boumelik avec son lot d’opportunistes d etout bord ,depuis 1962 à nos jours .
repeché par boukharouba de son douar d’aflou , il est devenu aprés la démission de « bitat » et ensuite saint egedio : incontournable .
ENFIN ! les choses se retournent contre eux .
salem alikoum !
et voilà comment l’histoire se répéte avec ce larbin de sougueur ;ce qu’il a semé avec benflis : il va& le recolter avec abada et consorts !
bien fait pour les khobzites qui salissent l’histoire de ce parti fondamentalement algerien
il est temps de le préserver en le mettant au musée car patrimoine de tous les algeriens mm les fils de harkis .