C’est un autre scandale qualifié de récidive. Le premier sur le même sujet, un concours d’administrateur que le centre de psychiatrie de sidi bel abbés avait organisé le 08 décembre 2014, et qui s’est fait annulé par la fonction publique pour non respect du nombre des membres de jury et leurs grades jugés équivalents et inferieur, contrairement à ceux prévus par la le règlement de grades supérieurs à celui du poste offert. Les candidats ont à ce propos, dans une correspondance adressée au wali et la fonction publique, accusé l’administration de vouloir favorisé une candidate travaillant dans le cadre de l’Anem dans cet établissement.
Le concours a été annulé par l’inspection de la fonction publique après avoir déterminé les faits. Une autre date a été fixée le 29 décembre 2014 pour refaire le concours et permettre une meilleure transparence qui donne la chance au meilleur sans le recours au favoritisme criminel.
Désolation totale, c’est une transgression pure et simple des lois, jugent une autre fois les candidats à ce concours dans une autre correspondance adressée à Mr le wali, à madame la DSP et aux services de l’inspection de la fonction publique. Comme si l’administration s’en foute éperdument des lois, des droits et de l’autorité.
Le deuxième concours qui devait être le rachat, le rectificatif des erreurs précédentes qui ont fait souffrir moralement les candidats, s’est avéré en réalité une affirmation d’un affront grotesque. Les candidats dénoncent de nouveau le non respect de l’instruction n°1 datée du 20/02/2013 déterminant l’exécution des lois relatif au décret exécutif n012-194 daté du 25/04/2012 signifiant les modalités de l’organisation des concours et examens ainsi que les consultations professionnelles dans les entreprises et administrations publiques.
Les candidats se constituent comme témoins dénonçant que les membres du jury était 02 seulement pendant l’examen, contrairement à ce qui est prévu réglementairement ; 02 membres et un président dans la personne du directeurs du centre de psychiatrie qui, malheureusement était absent durant l’épreuve, apprend-on.
Aussi, les convocations qui devaient arrivées avant 10 jours à l’avance, comme stipule le règlement, ont été envoyées le 28/12/2014 comme témoigne le timbre à date de la poste et reçues le 29 du même mois. 24 h n’ont pas suffit, disent-ils. Cette façon de procéder à pénalisé la majorité des candidats qui n’ont pu assister aux épreuves du concours.
Les candidats ont qualifié ces comportements récidives de ruses bien intentionnées à écarter des les uns en faisant d’eux des victimes pour en favoriser une personne bien précise. Ils appellent cette fois l’intervention personnelle de Mr le wali.
Djillali T