Les patients assurés de la CNAS se sont aperçus cela fait plus de sept mois sommés de payer des tarifs supplémentaires entre 500,00 da et 1.000,00 da, selon le taux de couverture sociale de 80% ou 100% pour les patients atteints de maladie chronique. Les patients assurent que malgré avoir présenté la carte chifa et sa saisi par le médecin spécialiste pour percevoir le montant convenu avec la CNAS, le médecin exige encore un tarif supplémentaire à payer ou d’aller chez un autre médecin.
Une menace claire et nette, selon le témoignage d’un patient égaré devant cette attitude dépourvue de professionnalisme et d’humanisme. Un choix cornélien qui n’arrange pas le patient vu son âge et sa capacité physique, encore moins financière déjà aux aboies vu une cherté accablante de la vie, dont le médecin est bien loin d’être épargné bien sur. Faut-il trouvé un consensus pour épargner l’un et l’autre de cette tension qui pénalisent le patient de tourner en rond portant le fardeau de sa maladie à la recherche d’un médecin non exigeant, et ce docteur de le pousser à commettre des délits d’escroqueries en exigeant des tarifs supplémentaires de patients fragiles dont la situation sanitaire exige un traitement particulier.
Questionnés sur ces cas de figures, les services de la CNAS ont répondu ne pouvoir intervenir sans la présence d’une requête écrite du patient victime de ce traitement. Selon eux, il faut voir le type de convention conclue entre la CNAS et le médecin. Une alternative loin de répondre aux besoins de ces patients affaiblis, dont une grande majorité dans le besoin d’être accompagnés et souvent trés pressés de revenir à leurs domiciles vu leurs états de santés consommé par des maladies chroniques différentes.
Certains ont été conviés à faire des efforts et aller déposer des requêtes pour aider les services de la CNAS à accomplir leurs devoirs, la réponse était « on préfère préserver ce peu d’énergie pour aller chercher un autre médecin qui n’exige pas de tarif supplémentaire. Dieu est grand ». Une intervention est de mise pour mettre au clair cette situation. Le patient est égaré entre une volonté du gouvernement de soutenir la couverture sociale des assurés sociaux ou d’approuver cette manœuvre de certains médecins qui crient aussi à une vie meilleure.
djillali Toumi
Le probléme est en amont des que l.étudiant va s.inscrire dans une faculté de médecine.
Il ya au moins deux questions qui douvent etre légimement posées. Est que tu veux etre un médécin pour offrire une préstation de service ou est que tu veux etre un medecin de famille?
Les deux conceptes sont differents. Le premier est dans son cabinet ou dans une
Entreprise hopital ou clinique privé ou publique. C.est une entreprise comme toutes les entreprises elle offre un service selon un tarif claire et net..
Le medecin de famille c.est different il ya un accird ecrits dans lequel le médecin c.est lui qui se déplace chez ces patients..il n ya pas de tarif car ce n.est pas un service.
Ce n.est pas le malade qui se déplace chez le medecin.
Meme dans certain pays dite develloppé la medecine est sortie de son cadre est redevenue que du bisness. Lorsque le malede se déplace c.est une forme de chantage pour payer plus.
Lirsque les choses sont claire au départ tout ira pour le mieux. Chacun fait ses propres calculs et le choix est disponible..