« Les philosophes jusqu’à présent n’ont fait qu’interpréter le monde, il s’agit maintenant de le transformer » K.Marx
Juste après la seconde guerre mondiale les deux superpuissances les USA et l’Union des républiques socialistes soviétiques(URSS) se partagent selon leur appétit le « gâteau monde » en zone « d’influence » de manière plus directe en des régimes communistes et des régimes capitalistes. Wilson avait échoué après la Première Guerre mondiale pour la mise en place de la Société des Nations, par contre Roosevelt a réussi son dossier de Yalta, celui de la future Organisation des Nations unies. La conférence de San Francisco a enfanté l’ONU. Cette déclaration de Roosevelt et Staline, montre libéralement les principes censés permettre l’établissement d’un ordre mondial régi par le droit. Les États-Unis et l’Union soviétique ont cependant chacun de son coté procédé de se surpasser en faisant fi du droit, en premier lieu par la course aux armements nucléaires et l’équilibre de la terreur.
Delà la période de tensions et de confrontation idéologique, économique et politique se manifestait sous la forme de guerre froide ou la paix était devenu impossible, la guerre improbable et le droit infaisable, une confrontation qui proscrit carrément l’affrontement armé direct entre les deux « grands ». La guerre froide prendra alors toutes les formes qui puissent exister : d’affrontements, de l’espionnage aux actions secrètes, en passant par la propagande, jusqu’à la compétition technologique dans le domaine de la conquête de l’espace et même au niveau des compétitions sportives dans les stades.
Des conflits de par le monde ont éclaté, la guerre en Corée, d’Indochine, du Viêt-Nam, ou encore de l’Afghanistan, mais sans que jamais les armées de l’URSS ou des USA ne s’affrontent directement .Dans un monde bipolaire où les belligérants évitaient l’affrontement direct.
Les pays de Nehru (inde), de Nasser (Egypte) de Tito (Yougoslavie) qui ont institué le mouvement des non-alignés, proclamant leur neutralité et essayant en même temps de jouer sur la rivalité entre les deux blocs antagonistes pour obtenir des concessions.
La décolonisation a fourni à l’URSS et à la Chine populaire de multiples occasions d’accroître leur influence aux dépens des anciennes puissances coloniales. La guerre froide a débuté en 1947 et a pris fin en 1990 année de la chute des régimes communistes de l’Europe, suivit en 1991 de l’implosion de l’URSS et de la dissolution du pacte de Varsovie. La suprématie politique, idéologique, économique et culturelle de l’Amérique a permis facilement de faire le ménage via des guerres direct (la Yougoslavie-Afghanistan-Irak- le soudan-printemps arabes…) C’est ainsi des guerres idéologiques furent planifiées et exécutées. DAECH,ENNOUSRA,BOUKO HARAM et d’autres groupuscules religieux ainsi que des nazis de Kiev en Ukraine sont intentionnellement crées par les USA en collaboration humaine et financière, avec certains services locaux pour discréditer l’ennemi que nous sommes tout en nous poussant à nous entre-tuer dans le cadre d’une guerre ou d’un printemps arabe par procuration faisant suite à une lutte idéologique par procuration orchestrée par des chercheurs de richesse et de vendeurs d’armes , ennemis de la liberté.
Aujourd’hui, les USA cette grande machine qui semble nous dominer voire nous opprimer ou nous broyer par toute sa puissance, monopolisant ce centre de décision universel et ce depuis 1991 à ce jour. Actuellement, sa suprématie est peut être en train de se remettre en question, car la géopolitique nous amène à penser que le monde se dirige vers un monde multipolaire.
Il s’agit de voir ce monde du point de vue économique et puis politique car ne dit-on pas que l’économie détermine le politique. La multiplication des points de vue, la transformation de la structure économique entraine forcement une multipolarité déjà dans l’esprit qui forcera de changer ce monde.
L’exemple le plus pertinent sur la suprématie s’inscrit à partir de l’instrument qu’est « l’information et la nouvelle Technique de l’Information et de la Communication –TIC- » .Elle permet de pétrir la réalité des faits, puisque la persévérance de l’empire US repose essentiellement sur leur apanage et monopole de la réalité appréhendée. Un épitomé issu d’un proche de G.W.Bush disait :
« Les USA sont une véritable machine broyeuse (influence-domination- suprématie) et non une civilisation (culture), agissent en créant sa propre réalité à travers le monde. Ce monde doit forcement étudier, cette réalité sainement comme bon lui semble et en toute liberté surveillée. Cette liberté sera aussi une base nouvelle pour créer une nouvelle réalité et ainsi de suite. C’est de la sorte que les choses vont et le monde est guidé de la façon que les USA veulent, car l’Amérique est devenu l’acteurs de l’histoire contemporaine ».
Cette domination se manifeste par un outil très magnétique que les peuples , les états, les gouvernements , les institutions, les entreprises et les individus… se plient devant la volonté de la force de cette valeur d’échange , c’est une monnaie appelée Dollars-$- que chacun de ces segments qui régissent la population planétaire rêve, se déploie, se manifeste…. Pour avoir ce fameux -$- pécule. Le Dollar $ représente en terme économique la valeur effective de la production étalonné sur l’or.
Des contradictions financières, monétaires, économiques et politiques ont conduit le président Richard Nixon à décider, le 15 août 1971, de suspendre la convertibilité en or du dollar pour devenir une monnaie papier qui perd sa valeur en contrepartie de la richesse matérielle (économie en récession, croissance stagne, et profits financiers en hausses.. ?) .
Cette situation a permis de rendre une nouvelle force aux USA pour financer toutes les mesures économiques afin d’étendre son influence et sauvegarder sa domination unipolaire, les révolutions de couleurs et les opérations de diversions, les guerres pour de nouvelle soumission politiques et économiques et mettre sa main sur les pétrodollars de la petrocratie.
Un deuxième outil plus efficace encore est mis en branle, c’est cette gigantesque machine de propagande, elle est unique au monde en dehors du bien et du service, une pensée clé en main pour appréhender la réalité .Ce modèle d’esprit est fabriqué déjà et avant dans les labos des entreprises US , une façon de pensée, de s’exprimer et de parler, façon de manger et de boire, façon de voir, façon de marcher, façon de s’habiller…. Un mode de vie américain exportable (américain way of live). »L’American way of life » en français, mode de vie américain, c’est une expression désignant une éthique nationale américaine : de la vie, la liberté et la recherche du bonheur. Elle peut aussi bien se référer plus généralement au mode de vie du peuple des USA. Le sens de l’expression est souvent associé au rêve américain et à la notion de l’« exceptionnalisme américain », conviction que la nation américaine a un destin unique et à part des autres nations du monde.
Cette manière empirique qui permet de conditionner l’ intellection des faits physiques, que nous subissons par une force magnétisante, la sacralisation des symboles fabriqués par les USA pour nous forcer d’adhérer et y croire et défendre le rêve virtuel américain en tant que système d’abord.
Les USA ont la main mise( sérum financier) sur tous les medias qu’ils soient privés ou publics à travers tous les pays de la planète terre. Central intelligence agency « CIA » est présenté à travers tous les réseaux d’information, beaucoup de journalistes occidentaux ont avoué leur appartenance à la « CIA », et sont utilisés pour la manipulation de l’information. Cet outil est utilisé pour tout ce qui est blanc pour être transformé en noir et vis versa aux yeux de l’opinion locale, régionale, nationale et internationale. Il est clair de voir comment les medias américains (CNN) européens et arabes (aljazeera, al arabiya..) ont déformé la réalité pour diaboliser et mettre a genoux l’Irak, la Syrie la Libye, l’Ukraine……
La machine médiatique produisant des informations tendancieuses, ces informations sont généralement traité par des ordinateurs utilisant des systèmes d’exploitation très avancés tel « Microsoft-Apple » avec des circuits contrôlables( d’E- mail, Google, skype, facebook Gmail…..) ou des milliards et des milliards de données sont explorées ,examinées, traitées, analyser et emmagasiner en un laps de temps très court, pour la recherche , le contrôle et la surveillance comme par exemple ,l’’Agence nationale de sécurité américaine (NSA) a trouvé le moyen de dissimuler un logiciel espion dans les disques durs produits par Western Digital, Seagate, Toshiba et d’autres entreprises, ce qui a été rapporté par les médias européens citant d’anciens agents du renseignement US. Ces révélations interviennent après la découverte par le Laboratoire Kaspersky, société russe de sécurité informatique, de la présence d’un ou plusieurs programmes d’espionnage sur des ordinateurs se trouvant dans une trentaine de pays, notamment l’Iran, la Russie, le Pakistan, l’Afghanistan, la Chine, le Mali, la Syrie, le Yémen et l’Algérie..
Ce monopole de l’information détenu par les USA fait la différence sur le leader-chip de la planète. Par conséquent, établir un monde multipolaire devrait avoir les moyens efficaces pour rivaliser devant ces gigantesques outils que les USA détiennent et qui font sa force indiscutable.
Il est nécessaire dans ce cas la mettre la main sur le contrôle de l’outil d’échange de biens et services c’est a dire concurrencer le dollar -$- et enfin le détrôner par le biais économiques, ou la production de la richesse devrait dépasser celle des USA c’est-à-dire un PIB( produit intérieur brut) largement supérieur à celui de l’Amérique, et que le Dollar -$- ne soit plus utiliser comme monnaie unique d’échange dans le commerce international. Cette situation d’échange ou le BRICS (Brésil-Russie-Inde-Chine et Afrique du Sud) est en train de constituer un bloc à part, la quotte -part de son PIB, donc sa richesse commence à concurrencer les USA. La Russie et l’Inde sont en train d’examiner les moyens susceptibles de supprimer le dollar des transactions bilatérales, ajouter la Chine, l’Iran, le Brésil, le Venezuela, et l’Afrique du Sud cet ensemble représente déjà plus de 50% de la population de la planète .Le résultat serait probant avec une volonté solidarisant.
Les medias de ces pays su- cités devront sortir de l’anonymat , ainsi produire une information réelle et captivante qui ne soit pas aligner à celle des USA pour permettre de favoriser la multiplicité des centres de décision au niveau international, car l’ » American way of live » n’accepterait jamais une information non américaine sinon ,il est étiqueté d’anti américanisme , car l’industrie de l’armement reste un autre pilier à revolvériser.
Enfin pour aboutir a un monde multipolaire et d’éliminer à tout jamais ce dogme d’empire à esprit de domination par la force de l’argent et suprématie par la manipulation de l’information qui servent à amasser la richesse ,la force et le pouvoir afin d’ imposer un esprit soumis à la matière de son maitre.
La multiplicité des points de vue multipolaire, détruira forcement cet empire et changera le mode de vie et les rapports de société dans une optique plus juste, plus équitable et moins contraignante ou la chasse à l’ignorance, à la pauvreté et à l’injustice serait le leitmotiv des gens heureux, mais humains.
BENALLAL MOHAMED
Vous avez tout a perdre a vous abaisser a faire la manche idéologique ad vitaem eternum, insistez au contraire a enterrer la théorie du complot, vous benificierez de retombées multiples.
En causant ces équations,vous devrez faire preuve de lucidité et de précautions.vous causez des autres mais oubliez les notres.Comme pour les dédouaner de toute résponsabilité de notre tragique déconfiture.
Je vous conseille de lire la phénonénologie de l’ésprit de Hegel , les théories de la colonisabilité de notre M.Bennabi ou l’ignorance sacrée de notre grand penseur M.Arkoun, vous allez découvrir que si vous etre dans la queue ou dans la tete du peleton, c’est votre résponsabilité.Il est impératif de vous poser des questions avant de les poser a d’autres.L’autocritique et la perpetuelle remise en questions étant les seuls rempards contre la persévérence dans l’érreur et les conséquences désastreuses sur les nations et les états.
l’économie joue le role le plus déterminant dans tous les rapports de force,l’équation depend tout aussi de la gouvernabilité consentuelle (usa) qui est contraire a la gouvernabilité conflcituelle (russie), sans oublier le savoir ou le know how qui est va en parallele avec l »economie et la politique,la synegie issue de ces 3 élemetns constiuent le paradigme sur lequel des états ont gagnés en puissance.
Ou sommes-nous dans tout ca?
Pour rompre avec le cercle vicieux dans lequel patauge les Arabistanais, Il est fondamentalement vital d’avoir de nouvelles références, de nouveaux reflexes de nouvelles représentations et proposer une noiuvelle synthese qui mettront a l’abri ces pays et les générations futures.Etre conscient que nous ne sommes plus les héritiers des combats perdus ni de la dépendance et la défaite, mais les initiateurs de nouvelle renaissance dans un ésprit avant-gardiste et pas réactionnaire .
Refléchir sur les combats d’avance et pas sur les combats de retard qui incarne une alternative crédible aux sociétés héritées du déspotisme des partis uniques et autres contorsions idéologiques. C’est un enjeu unique et majeur, pour en aboutir, nous devrons repenser l’école et le role de la religion dans l’éspace public, forger de nouveux concepts , tisser de nouvelles alliances selon nos interets vitaux mais aussi rompre avec les habitudes et avec ceux qui continuent de s’embourber dans leurs nostalgies Tout cela n’a rien de commun avec les slogans bravaches de vielles lunes nationalistes ,l’arabisme des déspotes ou de l’islamisme d’un autre age.Cela conduira a la synthese et en forgeant une synthese de la pensée multi sectorielle que nous pouvons faire émerger un nouveau élan national.La liberté de l’homme et son autonomie étant non seulement les mots clés mais elles vont aussi au pair avec les notions de la souverainité populaire authentique.
En ce qui conerne les guerres dont vous évoquiez toute une inflation, et avec une facilité d’explications et bien potassez vos mauels d’histoires,les guerres existent depuis l’éxistence de l’homme sur la terre
Donc, arrettez d’imputer tous vos torts a l’occident
Mais voyons, on ne pourra jamais dédouaner les Oursons en peluche car ils font partie des variables de la théorie C….!!!! Sans eux, il n’y aurait pas la déconfiture voulue…!!!
Entièrement d’accord avec Mr Bennabi sur le concept de « colonisabilité », il a le mérite d’attirer l’attention sur « le phénomène social endogène de la « décadence » qui a facilité l’œuvre de la colonisation. », et ça été vérifié sur le terrain avec les Harkis, les Caïds, les Bachaghas, les collaborateurs..etc…!! Par contre les autres ont fait la guerre de libération…!!!
« Le concept de « colonisabilité » auquel a eu recours Bennabi rend compte de cette dialectique qui explique que l’indépendance politique n’a pas suffi à dépasser radicalement le rapport colonial. Le concept bennabien de « colonisabilité » rappelle celui de « complexe de dépendance » de Frantz Fanon. Mais la différence entre les deux concepts reste importante : chez Fanon, le « complexe de dépendance » renvoie à un rapport psychologique (complexe d’infériorité) que le colonisé ou l’ex-colonisé continue à entretenir avec le colonisateur. Chez Bennabi, en revanche, le concept de « colonisabilité » rend compte d’une réalité sociale complexe qui fait que l’ancienne société colonisée continue à construire son présent et son avenir sur la base d’un schéma hérité de la colonisation qui la condamne au mal-développement…. » Sleeping partner….!!!! Ce schéma est vérifié aussi sur le terrain actuellement, avec les News H, les manchots nourris au fromage puant, les Aras bleus, les orbitons de Hizb França….etc…!!!
Par ailleurs, je suis d’accord avec vous quand vous dites qu’il faut rompre avec le cercle vicieux dans lequel on patauge tous et « être conscient que nous ne sommes plus les héritiers des combats perdus ni de la dépendance et la défaite, mais les initiateurs de nouvelle renaissance » mais pas la renaissance des fous, des extravagants, des ultragauches ou des ultradroits, car ce ne sont pas nos références ni celles dont a parlé Mr Malek Bennabi….!!!
D’ailleurs, Mr Malek Bennabi avait en vue deux thèses apparemment contradictoires mais qui se rejoignent finalement dans une commune stérilité historique.
« La première était défendue par le courant « traditionaliste » qui croyait que la renaissance islamique pouvait se réaliser grâce à une revivification des pratiques religieuses et morales qui viendrait se superposer à un développement technique qui leur serait extérieur. La deuxième thèse était défendue par le courant « moderniste » qui concevait le développement comme une opération d’importation d’un modèle « clé en main » dont la généralisation suffirait à transformer les structures sociales et mentales…. »
Ce n’est pas la religion qui est responsable du désastre des musulmans, ce sont les Minus Créatus attardés mentaux qui n’ont rien compris qui en sont les responsables….!!!!
Puisque Mr Bennabi est à l’honneur aujourd’hui, voici la suite:
« Le concept de « colonisabilité » reste donc essentiellement marqué par une connotation culturelle forte. L’importance du facteur culturel est attestée a-contrario par l’entreprise de déculturation et de dépersonnalisation que le colonialisme a tenté d’organiser à grande échelle dans les colonies.
Après l’accession des pays colonisés à l’indépendance politique, l’œuvre de déculturation accomplie par le pouvoir colonial apparaît dans toutes ses conséquences néfastes : le complexe social de « colonisabilité », dont l’expression la plus spectaculaire est le complexe d’infériorité des élites dirigeantes, explique en grande partie l’échec d’une entreprise de modernisation qui n’arrive pas à s’arracher à la logique perverse de la dépendance laquelle nourrit à son tour de nouvelles formes de sous-développement.
A cet égard, Bennabi compare l’univers des « sous-développés » à celui des enfants, le rapport au monde est conçu comme un rapport à des objets à acquérir. Mais le pire est que cette propension à accumuler des choses d’autant plus étrangères qu’on ne les a pas produites atteint le domaine des concepts et des idées.
Le comportement consumériste des « sous-développés » dégénère en importation de modèles qui n’ont rien à voir avec la réalité sociale des pays sous-développés. Non seulement cette importation ne suffit pas à atteindre la modernisation sociale souhaitée mais elle contribue à annihiler les efforts consentis par des secteurs entiers de la société en vue de sortir du cercle vicieux du sous-développement et de la dépendance.
Cependant, pour Bennabi, si le recours à un concept comme la « révolution culturelle » dans certains pays décolonisés illustre une prise de conscience de la dimension culturelle du développement, il ne suffit pas pour autant pour trouver la juste solution au problème ainsi posé. Bennabi commence par montrer les limites de la définition de la culture dans le capitalisme et le marxisme. Dans le premier cas, une définition idéaliste qui met l’accent sur la connaissance héritée notamment de la civilisation gréco-romaine. Dans le second, la culture est ramenée à ses conditions de production sociale sans pour autant rendre compte de sa singularité complexe.
Bennabi insiste sur le caractère complexe de la culture qui est tout à la fois une morale, une esthétique, une logique pratique. La culture est ainsi définie comme un rapport organique entre le comportement de l’individu et le mode de vie sociale. Elle dépasse la dimension intellectuelle proprement dite et concerne le comportement des individus dans une société déterminée.
Pour expliquer ce phénomène, Bennabi recourt au concept de « socialisation culturelle » entendue comme une synthèse complexe de données éthiques, esthétiques et logico-pratiques qui seule définit la culture.
Cette analyse, dont l’évidence ne saute pas aux yeux, permet néanmoins à Bennabi de dépasser les conceptions développementalistes qui misent soit sur unes stratégie éducative individualiste et élitiste (libéralisme) soit sur une stratégie industrialiste et collectiviste (étatisme). Dans les deux cas, la véritable « révolution culturelle », qui seule pourrait modifier les structures et les mentalités, n’est pas au rendez-vous. Dans les deux cas, on risque d’avoir un développement superficiel et limité. Mais le véritable développement qui suppose un changement social radical n’est pas atteint. »
A méditer….!!!
Très intéressant Mr Benallal… !!!!
Cependant, moi je dis que le communisme, le capitalisme et le sionisme sont la même chose, puisque les trois idéologies ont été concoctées par les juifs pour dominer le monde d’une manière ou d’une autre… !!! Autrement dit « Ma Tachkour 3azza 3la Bent Mbarak »… !!! Et qui sont les dindons de la farce….??? Pareil pour la farce des dindons….????
On en reparlera Inchaallah… !!!